Partie 5.2 : Chaîne des maux

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Démeni :
Sentir son cœur se serrer comme si il s'étouffait dans son propre son sang. Comme si on te l'arrachait et qu'on te le  piétinait en même temps. Les larmes montent bientôt je vais voir trouble. Mon cœur en morceaux éparpillés sur le sol. La peur est envahissante et douloureuse. Ça me broie l'estomac à sec comme un sécateur qui tranche une branche. Cours sont les arbres. Longue est l'herbe. L'héroïne n'a rien fais de grandiose. Juste ouvert une porte vers un monde. Gardien des forêts. Ange de mon cœur.
Mentir. Mépris. Pas de confiance en soi. Sentir qu'on peut facilement être remplaçable. Haine qui me ronge. Le cœur balafré. Les doutes s'installent. Les questions s'en suivent. J'enchaîne les mensonges. La vérité je la connais. Ne te méprends pas. Ne gaspille pas ta salive. J'éprouve de la haine et du mécontentement. Pourquoi vouloir absolument cacher la vérité ? A quoi ça sert ? Alors que tout se sait un jour ou l'autre ? Mes espions sont là. J'entreprends toujours les enquêtes. Les côtoyant tous les jours. J'en flamme mon corps. À contre cœur je t'enlasse. Jusqu'à m'en lasser. Te mécontente pas de simples disquettes. Je les connais par cœur. Tu insinues que je suis naïf et ignorant. C'est mal me connaître. Je te pardonne quand même. Ce n'est pas ça qui va me blesser. L'amour c'est tellement dévastateur mais enivrant à la fois.
Manipulation hivernal. Fraîcheur d'été. Jalousie printanière. Toutes émotions nous ramènent à une saison sans raison. Lié entre elle. J'angoisse à l'idée qu'elles unissent. J'ai beau coupé les liens. Ils se reforgent plus puissants. Herter mon cœur charbonnier. Le feu d'artifice vient d'éclater. Ça fais tambourin dans ma tête. Je cherche une sortie. L'ivresse n'arrange rien. L'orage gronde. Un battement s'échappe. Je suis jaloux. Illusion effrayante. J'encaisse. Ma bouche est immobile. Renversant mes mots sont. Tristesse. Électrochoc. Mes yeux s'en brume.

Lecture Dérisoire :
Détonation. Mes pensées appuient sur le bouton. Une explosion de palmarès vous incombre. Le développement de ma réflexion se fais à travers vous. Ma mémoire est honorée grâce à vos souvenirs. Le mélange mélancolique de nos maux s'affolent. S'effiloché en plusieurs parties. Distincte entre elles. Ça vous infect. Je désobéis et accumule. L'explosion est proche. La session va être déverrouillé. Dévoilé face au monde mes yeux s'embrument. Ma bouche s'embaume de détresse. Je suis mal en point. Mes phalanges colorées de rouge violacé. Mon visage assombrit. Les expressions s'effacent. Tout deviens vide. Je devis les lumières en acceptant ton tir qui atterrit droit dans mon cœur fragile.
Une mélodie entremêlée dans mon cœur si fragile. Un battement de cils sous contrôle de note. Tu mènes la dance en entreposant les mélodies. Le brassement de l'air que fais ta bouche est si doux. Les yeux lourds. Les sons m'endors. Apaiser par les blessures. Enchantement par les pouvoirs de la nature. Couché dans l'herbe. La terre m'absorbe peu à peu. Chacun de mes muscles entièrement dégourdis. Mes paupières se ferment doucement. Je me laisse partir. Entre animaux et insectes. Perdu dans deux monde qui m'entoure. Les deux me tires pour m'avoir. Un combat mené d'embûches. Les cordes fines se brisent. Ça s'entretue. Au point de laisser un fil invisible si frelatée. Dans les flammes de l'enfer. Tournoyante et lumineuse. Ton sang s'emballe. Ton cœur s'embaume. Ton souris apparaît. Tu m'apportes du bonheur. Je suis heureux. Quel sensation magnifiquement agréable.
Tu as séduit mon cœur avec tes mots. En quelques temps tu m'as eu. Mon être tout entier t'embrasse. Mon cœur sous charme veut envelopper le tiens. Envahi par l'amour j'en somnole. Enveloppé par tes bras mon cœur s'enflamme. Les mots ne viennent pas. L'amour s'emballe. Les flammes semblent s'étaler. L'eau s'éteint. L'éclair s'allume. Le temps que l'orage gronde. Abasourdi par se que je ressens mes doigts se perds. Mon regard se détourne. Quand un sourire dégage la tristesse. Touché je me restreins. À ta vu tout mon être s'enchaîne sensiblement pour te fuir. Tu me rattrapes avec tes paroles. Je me laisse attendrir.

Frustration :
Je me tue à petit feu sans le vouloir. Les pensées. Les questions. Les mots. Tes mots. Mes maux. Me flingue à m'en brisé le cœur. Pourquoi je ne fais que d'y penser ? Pourquoi tout ce bordel me tourmente ? Je me sens comme une bombe prêt à exploser. Je suis qu'un recueil de maux et de souffrances. Banni par le soleil et l'ombre. R ejshésidant dans l'entre-deux. Menant ma vie comme un vagabond. Un corps vide sans âme. Une âme brisé cents éclatement. Tournant les mots traités. Pour finir abasourdi en me les enfonçant dans ma chair. Éclair d'espoir. S'assombrit sur le malheur. Rayonne à mille feu dans l'eau de la mort. Éparpillez les entrailles. Enfoui dans le chagrin. Je t'aperçois. J'essaye de t'attraper mais je ne suis qu'un fantôme errant. Un esprit meurtri d'amour. Un deuil écarlate se créa. Adoucira mes peines. Sanglante mes larmes. Perçant seront mes regards vides. L'horloge sonna quand ton âme c'est évaporer. J'ai essayé de la récupérer sans rien. Perdu d'amour à la morgues.
J'agis comme un pilier pour tout mes amis. Je vous laisse croire que je suis fort. Mais regardé de plus prêt je ne suis qu'un pilier fissuré de partout. Prêt à se briser en morceaux et s'écrouler lentement au sol. Chacun morceau que j'ai peu vous donné fais de moi un pilier à trou. Mon corps est là plus grande preuve qui peut témoigner de la souffrance vécue. Marqué par c'est fissuré fragmenté. Des débris de mon cœur peut se retrouver n'importent ou. J'ai semé mon cœur en cours de route. En le lâchant. Maintenant il ne me reste plus qu'un morceau accroît de noirceur. Un morceau de cœur fracturé. Je prends sur moi pour vous offrir un sourire. Vous voir sourire me rends tellement heureux et m'évite de me briser. De me retrouver en morceaux. Des éclats lumineux peuvent encore être aperçus avec beaucoup d'observations. Une couleur rouge pourpre. Ébahi par la lueur. Cette main tendu finira ton par me l'attraper. L'espoir se fera sans attendre. Attaché à ses lueurs angéliques. Les démons s'encaissent en s'enchaînant à mon cœur. Déploierant soudure et entaille. Sanctuaire erroné.

Sanctuaire :
Cœur en morceaux. Brisé. Entendu sur le sol. Essayant de récupérer chaque partiel. Sous la lumière levant des éclats brillent. Alors que d'autres non aucune lueur. Je suis seul. Dans le vide. A ramassé mon cœur parsemé. Entaillé par l'amour. Blessé par balle. Un couteau planté dedans. Saigne. Mon cœur bat. Faiblement. Atrophié. Mes mots se paralysent. Maintenant réunis. Mon cœur sous clé. Le coffret fort sous terre. Hémorragie. J'ai du mal à respirer. Mon regard s'assombrit. Je m'écroule au sol. Sans force pour me relever. Les larmes d'un rouge. Coule sur terre. Dans une pièce blanche lumineuse. Seul en plein milieu. Personnes ne voit se que tu ressens. Ton corps fais tour le travail. Alors que ton esprit s'enflamme sanglotant. Recroquevillé sur toi. Le sol de ta pièce se fissure. Morceaux par morceaux s'écroulent. Destruction massive. Survivre sans cœur mort sous l'amour. L'angoisse et l'agonie se sont fait connaître. La mort ne te préoccupe plus.
Le manque de paresse se fais ressentir. Un corps vide. Sans âme. Un cœur qui appelle à l'aide. Chaque battements devient plus fort. A se faire sentir sur le sol jaillissant par séisme. Mon corps se met à trembler face à ça. Recroquevillé. Persécuté par l'emprise douloureuse. Tout mon être appel à l'aide. Rien ne se passe. Les mots ne sortent pas. Même si j'ai beau hurler la mort. Aucun song juste un cœur battant la mort. Un cœur affaibli par les appels à l'aide sans réponse. Il se laisse aller. Cœur fracturé. Assommé par le désarroi. Le désastre s'inflige. Sonne l'alarme. Le song s'évanouit. Emmitouflé d'amertume. Rien n'est réparable. Le cercueil du cœur se décomposa. Te réjouis tu ? Tu crèves par amour. Personne ne te viendra à ton secours. T'embrasse l'entre deux. Tu te laisse crever d'amour pour lui.
Un cœur révolver prêt à tirer. Cœur meurtri par le temps. Emprisonné soigneusement. Une cage de fer l'entourant. Quelque coupure par ci par la. La douleur s'affole. Éclaboussure. Le sang gicle. A tout tête tu chantonne la même mélodie. Cette mélodie enjouée. Diverses sources. Une voix mélancolique. Cette musique rends cet acte favorable. Plus rien ne t'effraie. Tu laisse coupé ton corps. Entaillé. L'œuvre contemporaine commence. Assailli. Dissocié. J'en pleure. La douleur s'écoule. Pas de ressentiment. Plus aucune sensation. La métamorphose se fait. Tu es mort. Ton âme c'est envolé en morceaux. Il ne reste plus qu'un être vide. Sans émotion. Sans attaches. Le bouffi t'engloutit. Rancœur. Raclures. Les balafres se font apparaître. Doucement.

Les maux du cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant