Partie 1.5 : La Découverte de Mes Maux

0 0 0
                                    

Vingt-et-unième texte :
J'ai été tué mais je vais renaître en une fleur qui sera empoisonnée. Des cicatrices de plus ou de moins que je rajoute à ma panoplie déjà mise en évidence. Un corps meurtri. Remplis de haine comme de dégoût envers lui même. Je continu à le martyriser. Mon sang coule et coulera. Je ferais sûrement une hémorragie. Mon bras ensanglanté. Je ne veux plus vivre. Je n'ai plus aucun espoir pour y croire. Rien. Plus rien. Je suis en train de crever intérieurement. Mon cœur s'éteint. Je ne vois que noir.
Une lame sur ma peau. Je l'enfonce. Ça créé une ouverture. Une vague rouge en sort. C'est beau. Cette sensation de liberté est agréable. Tellement apaisant. Je pourrais jamais vous dire se que je ressens. Je sais qu'au bout de plusieurs plaies j'ai la tête qui tourne. Cet effet de drogue. Tu rentre dans une fase totalement différentes. À des moment je peux y voir une lumière. D'autres fois je suis sur le point de m'évanouir. J'avais tout arrêté mais j'ai tout repris quand mon espoir a été supprimé d'un coup de manchette. Mon esprit c'est transformé en un démon même pire que ça. En quelques mot je peux partir. Je suis principalement détruit. Je m'enfume en me détruisant.

Vingt deuxième texte :
Mon corps est nécrosé quant à mon cœur qui est néfaste. Je suis comme un poison. Tu me prends tu sera comme sous hallucinogène. Tellement toxique que tu en meurs. Sous le long terme tu deviens légume. La toxine en moi fais de toi un poivron. Ce qui fais que je te déconseille de me toucher. Aucun remède. Juste la mort.
Je suis comme les boules de cristal une fois mes quatres faces réunies je me disperse. Pour mieux mourir j'ai 7 facettes. Pour mieux détruire je vous laisse avec une de mes facettes. Pour mieux t'aimer une autre de mes facettes sera la meilleure. Pour mieux m'affronter je te laisse ma troisième facette. Il y en a tellement d'autres que impossible de tous te les cités.
La douleur que tu as la n'est rien contre celle qu'on aura plus rien. La douleur te seras amplifié avec les années. Je peux te détruire comme m'anéantir en même temps. Détruit comme je suis je te demande de me rassurer. Je te donne mon corps tu t'es permis de le faire exploser. Je suis comme prisonnier.

Vingt troisième texte :
Tu as su montrer ton départ en me laissant des parts. Tu caressais mes cicatrices maintenant on est plus que six gars triste. Tu m'as envoyé un point j'ai reçu un poing. Tu me l'as mise à l'envers alors que j'écris en vers. Tête en l'air je suis mon langage deviens de travers. Le nombre impair qui fais un père. Ma mère est amère tel du asel. Je marche pour l'éveil alors que vous vous émerveiller.
L'amour c'est comme si je te disais la mort c'est deux mots se ressemblent. L'amour tu peux en mourir d'où le faite que ça sonne bien. En Espagne et au Portugal ils disent amor car ils y ont compris depuis le début que c'était la mort assurée.
Je suis comme une ombre tu peux me voir mais en aucun cas tu pourras me sentir. Je serais toujours derrière toi. Quand le soleil disparaît je pars avec lui. Quand la lune fait place à la lumière je peux être la mais sans l'être, je serais beaucoup moins présent.

Vingt quatrième texte :
Le mal que je me fais a une histoire. Cette histoire je l'écris sur mon corps vierge. Je détruit une page vierge en la coupant. Cette page n'est désormais plus vierge vu qu'elle a désormais des marque indélébile comme une feuille blanche détruite par un coup de marqueur. Ma peau est pareil que cette feuille mais les marques se font en relief et non en 2d. J'identifie mon corps à une feuille. Une feuille brisée. Une feuille pour laquelle on pourra plus la reconstruire. On contrôle ma vie comme une marionnette. Je me tue.
Mon cœur brisé. Je le marque puis le demarque. Je le détruit. J'anéanti mon entourage. Mon seul remède la survie. Problème je n'ai pas de force je morfonds. Je ne me relève pas je recule. Je me plains mais j'ai pas d'aide. Que dois je faire pour m'aider ? Ma seule ressource la mort. Je ne vois seulement la mort pour éviter la souffrance. Mais je suis trop faible pour me tuer. Je deviens juste un cadavre qui déambule. En détruisant mon corps à petit feu. Peut-être que si je me retrouvais dans le coma ça pourrait faire réagir certaines personnes. Mais d'un autre côté mon chat me maintient en vie.

Vingt cinquième texte :
Lettre à un cœur fissuré. On peut rien n'y faire. Je ne peux pas t'aider à te réparer. Je m'en excuse. Je sais que tu t'accroches. Je sais très bien aussi qu'à la moindre petite occasion tu t'attaches aux petites attentions qu'une personne va te donner. Une personne qui va vouloir prendre soin de toi tu vas t'y attaché. Tu vas même t'y collé car tu crois que cette personne va pouvoir te rafistoler mais tout le monde n'a pas l'attention de me prendre soin de toi jusqu'à temps que tu sois entièrement réparé. Arrête de faire confiance. Méfies toi. Sois dur. Ne devient pas docile au moindre truc. Ne te fragilise pas plus que tu ne l'es déjà. Je veux prendre soin de toi mais je ne sais pas comment faire. Alors je fais comme toi je tends mon cœur à n'importent qui et je vais croire qu'elles ont de bonne intention. Mais je t'en supplie que tu sois brisé continue de battre et ne m'abandonne pas. Ne t'enflammes plus. Reste prudent mon cœur fragile.
Je ne comprends pas pourquoi mon cœur persiste à t'aimer de plus en plus fort. Je ne comprends pas pourquoi mon cœur fêlé continue de s'accrocher à toi. Je ne comprends pas pourquoi il continue d'espérer quoi que ce soit. Je ne comprends pour il fait ça alors qu'il en souffre. Ses fissures de plus en plus profondes s'introduit bien ailleurs. Il persiste à s'en arracher les battements. Un chant sort de mon torse. Des rivières rouges s'écoule sur mon visage. Pourquoi persistes tu, alors que tu as mal ? Pourquoi fais tu ça alors que ne fait que de mourire à petit feu ? Parce que cette personne a su te donner se que tu avais besoin. Parce que cette personne je l'aime comme pas possible. Parce que cette personne à marqué son passage au fer noir. Parce que je veux continuer d'y croire kit a en crever. Je suis celui qui décide de comment m'entretenir. Tu ne pourras rien faire d'autre que d'obéir. Des vagues rouges s'écoulent sur mon corps. Semé d'embûches. Ton empreinte restera gravé. Je m'écroule de douleur, espérant que ça ne soit qu'un rêve enseveli.
Je caresse l'herbe comme si c'était du duvet. J'enlasse le vent comme si c'était un être. J'écoute les bruits autour de moi comme si tes paroles me tournaient autour. J'ai un cœur faible. De fortes pensées. Des douleurs intenses. Un corps frêle. Me toucher c'est comme toucher une bébé. J'ai un stress énorme. Des angoisses permanentes. Je me demande comment mon cœur ne lâche pas sous cette pression. Je peux être fier de mon cœur il en a vécu des choses même en mille morceaux, il continue à être l'orchestre de mon corps. Mon sang traverse mes veines comme des chants mélodieux. Chaque battements représente une note. On pourrait composer des mélodies spectaculaires avec chaque cœur. Embrasse le. J'en frissonne d'envie. Mes émotions changent tout comme le rythme que j'utilise pour ma propre mélodie. Une nouvelle chanson s'écrie grâce au battement prononcé par un cœur endommagé. Ne pas trop y toucher ça pourrait briser le rythme encombrant de ma mélodie entremêlée.

Les maux du cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant