Sixième texte :
J'ai aimé le désarroi. Je suis devenu désastreux. Je me demande juste en quoi est constitué l'univers. Sachez que le mien est construit par toi. Dans cet univers il y a de l'amour mais énormément d'orgueil. Mon nuage moelleux n'est qu'un océan de pluie. Je ne pense pas être celui qu'il faut mais je sais que je serais la à vie. Malgré l'ignorance ou mon corps désabusé je ne sais pas se que je ferais sans toi. Je serais sûrement désagréable mais encore désarmé. Publiquement je suis comme un poisson en cage. Ouvertement je suis un abandon. Mais en solo je serais comme un enfant dans un magasin de jouets. Embrasse mon nuage pluvieux il t'enverra un morceau de bonheur. Enlace moi je donnerais mon cœur. Un jour, je t'ai dévoré toi tu m'as dégueulé. J'étais dégoûté mais tu m'as dérobé d'un regard. Tu m'as pris sous ton emprise je t'ai dégainé.Septième texte :
J'aimerais tellement pouvoir disparaître de se monde. J'aimerais mourir mais j'ai un problème la mort ne veux pas de moi, je suis comme bloqué. Pourquoi je n'arrive pas du tout à passé à l'acte ? Pourquoi la mort ne veux pas m'emporter ? Je suis la a l'appeler mais elle ne fais que de se reculer. J'aimerais tellement qu'elle vienne s'abattre sur moi mais elle s'absente. Je m'assure pourtant qu'elle arrive en la provoquant mais elle s'abstient. Elle m'observe. Je l'envie. J'ai froid, je tremble, je sens quelque chose couler, je regarde c'est rouge et c'est chaud, c'était mon sang qui couler. Il s'avère que je m'étais coupé avec une lame dans la paume de la main. Pourquoi maintenant ? C'était pas la. Je n'avais plus de force. J'étais l'équivalent à un petit animal qu'on venait de trancher. Je vois la scène mais je suis toujours en vie. Comment c'est possible ? Mon esprit avait quitté mon corps. Mon corps toujours en vie mais je n'étais plus dedans. J'étais un fantôme. Mon cœur battait toujours. Je survis dans un monde de vivant.Huitième texte :
Je t'appelle mais j'ai compris qu'il ne fallait pas de provocation. Mon survivant est juste mort. Seulement je ne suis pas rendu compte. J'ai finalement compris que c'était égoïste mais je suis emballé. J'ai persisté jusqu'à te provoquer. Tu as fini par me fournir mais ça n'a pas duré. Je me réveille. Je me suis vu mort. J'étais embué. J'étais blanc. Juste vide. Je me suis retrouvé. J'y suis retiré. Mon cœur n'avait plus vie. Mon esprit divaguait. Mon corps déambulait. J'ai virevolter en étant percuté. C'était la fin, je le croyais. La mort me semblait vrai. Je réalise que ce n'était qu'un rêve. Mon corps branché. Je sursaute puis bondi. J'en crève. Mon souffle se fais court. Mes larmes transformées en sourire. Je plane. C'est la fin. On me réanime. La mort m'inflige ça. Elle m'a influencé. L'acte toujours pas passé. J'en ai marre je suis comme prisonnier. Mon cœur charbonnier.Neuvième texte :
Mon cœur a disparu. Mon corps a entraîné. Mon esprit fais des vogues. Je voyage entre-eux sans qu'il me vois. Les pieds suspendus. Je disjoncte. Les mains posé sur mon visage. Je subit leur regard. Je m'épanouis. Leur mépris m'encombre. Coincé je me jette. Leur courage mon rattrapé. Je m'échappe. Je finis plus loin. Déçu, il me poursuit. Je me lance. Il m'appelle. Je les ignore. Je suis sur le point de sauter. Je me lache. J'y suis. La mort me rappelle que je vais juste succombé. Je réessayerais. Le nœud enfilé. Mon cœur bat vite. La chaise à mes pieds. Je la pousse. Les pieds suspendus dans le vide. Mon cou tordu. Je me vois en plein milieu de la pièce. Alors que je suis dans un des coins de la pièce. Mon corps était là avec la corde au cou. Je ne répondais pas aux appels. Je voulais juste me retrouver seul. J'ai juste succombé. L'acte passé. Je m'étais pendu. J'étais mort suspendus au plafond. Ce n'était qu'un rêve.Dixième texte :
Tout le monde arrive à être heureux. Tout le monde arrive à faire semblant d'être heureux. Tout le monde arrive à jouer un rôle, ce rôle qui dis qu'on est heureux. Pourquoi tout le monde y arrive et pourquoi moi je n'y arrive strictement pas. Pourquoi faire semblant est quelque chose de totalement impossible pour moi. Pourquoi quand j'essaie ça échou automatiquement. Pourquoi quand j'entreprends toujours une chose ça fini par merder. Pourquoi quand j'essaie de faire semblant c'est pas crédible. Quand je m'énerve j'ai aucune crédibilité, mais pourquoi on prend toujours pour un gamin qui tape sa crise. Pourquoi quand je parle je suis incompris. Pourquoi quand je m'exprime c'est du charabia. Pourquoi m'expliquer mets devenu trop compliqué. Pourquoi je suis pas comme vous à savoir m'exprimer. Pourquoi toujours je m'exprime avec la colère ou en chialant. Pourquoi quand je ressens quelque chose je m'énerve. Pourquoi m'expliquer ça mets impossible et pour vous c'est banal. Pourquoi je suis jamais satisfait. Pourquoi j'arrive pas à avoir les attentes que je souhaite. Pourquoi ? Temps de question mais jamais de réponse.
VOUS LISEZ
Les maux du cœur
ŞiirRecueil de textes, de mots, de lettres, je laisse mes maux s'écrire de façon maladroite. Juste par mes pensées ou des émotions que j'ai pu observer autour de moi. Ici j'écris souvent en je pour vous faciliter à vous reconnaître dedans, pour mieux vo...