Les maux du cœur

Partie 2.2 : Des Maux en Vin

Fragments 3 :
Désarmé comme je suis. Tu as su me réarmer. Cœur brisé. Tu as su le réanimer. J'étais juste sur le point de mourir mais tu m'as sauvé. L'amour que tu me portes m'a sauvé. J'envisageais de mourir quand tu es venu ma pris la mains et ma sortie du brouha qui me tourmentait. J'étais meurtri. Tu m'as tendu la mains. Être avec toi ma permis de revivre. Tu m'as remonté du noir. Je suis impuissant mais j'ai un amour puissant. Tu es cette force qui me détourne du mal. J'étais assoupi devant le vide mais tu m'as pris pour me ramener en arrière. Tu m'as décollé pour nous recoller. Nous nous sommes réconciliés puis reconstruit. Nous sommes liés par des liens invisibles je dirais par des chaînes tellement puissantes qu'elles nous ont rapprochés. Je t'en pris ne me laisse pas sinon la mort sera la. Je t'en pris aide moi et je t'aiderai de mon plein gré. On surmontera tout ensemble. On va y arriver ensemble à monter au dessus de tout et n'importent quoi.

Fragments 4 :
Je suis en face de vous tel un meurtrier. Mais au fond je suis seulement meurtris. Je crève silencieusement devant vous. Je passe pour l'insensible. Un regard noir vous fais penser à un meurtrier ou un psychopathe. Mon regard noir veut surtout dire que je suis mort intérieurement. Je suis la devant vous mais vous ne me voyez pas comme si j'étais une simple ombre qui passe juste une ombre qui disparaît quand le soleil change de chemin. Je suis la au milieu d'une foule mais je reste une ombre. On me bouscule. On me piétine. Je reste debout mais si vous me voyez je suis effondré. Cassé. Rayé. Brisé. Mort. Je chiale devant vous accroupi. Recroquevillé sur moi-même. Mais je suis juste une simple ombre pour vous. Une ombre passante. Qui disparaît et qui revient. Juste une simple ombre.

Fragments 5 :
Cœur saignant. Corps meurtri. Poignard. L'amour est-il un piège ou une simple illusion ? Illusions d'optique qui nous fait croire au bonheur. Un piège qui nous prend par le cœur jusqu'à en finir sans. Un piège ou on a du mal à se libérer ou on se laisse aller mais sans retour. Sans relâche nous sommes comme une prison. L'amour fait mal au point de s'autodétruire. L'amour c'est un martyre une fois tomber dedans tu t'en sortiras pas c'est un piège un mensonge. Cœur affaibli. Corps affamé. Je suis affreux mais j'avais un cœur d'or devenu pierre. Une flamme c'était allumé mais avec le temps elle a fini par s'éteindre une cascade de larme à fini par lui couler dessus ceux qui a fini par la noyer.

Questions sans réponse :
Dois-je vivre ? Dois-je survivre ? Dois-je crever ? Tellement de question me tourmente mais jamais de réponse. Je me laisse bouffer par le gouffre. Je sais que je n'en ressortira pas vivant. Pourquoi dois-je autant souffrir ? Que signifie réellement être heureux ? Faut vraiment il souffrir autant pour connaître enfin le bonheur ? Trop de questions qui tourbillonnent dans ma tête. Je les entends raisonné. Je les entends se fracasser sur la paroie. Les une après les autres tel une explosion dans mon crâne.

Fragments 6 :
J'ai fais faillite. Mon cœur c'est arraché tel un arachide. Je me propage pour finir noyer. Je me brois dans le bras comme si c'était un arbre. Briser en petits fragments qui se sont éparpillés dans le sable pour détruire le sabre. Le fléau de larmes éteindra cette étincelle en moi. Cette brise prends le large. Je suis qu'une chimère. J'étais crispé comme une simple statue de fer.
Libert moi. Ouvre moi la porte de la liberté. Je te livrerai mon cœur. Offre moi la joie de la liberté. Je te donnerais ma reconnaissance. Libre à toi de m'aimait. Libre à toi de me laisser crever. Nous sommes libres. Nos choix sont se qui provoquent la liberté. Libération. Délibération. Juste illusions. Nos choix sont tous contrôlés. Nous sommes tous concernés. Libérant ton toi le plus profond. Reproche toi d'être libre sous contrôle. Comme un contrat signé depuis ta naissance avec le monde adulte. Plutôt la société pour laquelle nous sommes liés. Cette société qui nous complexe en nous emprisonnant dans des misogyne de genre. Je me sens oppressé. Libert moi. Je t'en serais reconnaissant.