Seizième texte :
Seul, ma tête me fais faux bont. J'admets que la solitude m'envahit. Ma tête me joue des tours et redeviens un gamin. Ma colère m'envahit. Mon âme disparaît. Fais de moi une simple cendre embrasée. Mon cœur s'emballe comme un état de panique, je l'entends résonner dans tout mon corps. Seul, mon cœur vagabond. Ma solitude m'échappe. Je m'isole. Mon isolement se fait régulièrement. Je suis écoeuré par ce que je suis. Mon écoeurement devenu des coupures. Ma colère me réanime. Mes coupures deviennent un problème. Mon sang m'emporte. Je m'empresse. Mes mains m'empêchent de me tuer. Ma mort lente. Je l'entends. Je regarde autour de moi. Je vois noir. Je m'embrouille. Je m'emballe. Je détale. Je finis par m'évanouir. Déçu je recommence. Un désespoir se créé.Dix-septième texte :
Je suis dépourvu de pouvoir mais jamais on m'enlèvera ce pouvoir. Je suis démuni d'arme mais celle que j'ai personne pourra me l'acquitté. Mon regard est mon pouvoir et mon cœur est mon armes. Me les arracher serai impossible. Mon armure n'est que de chair mais je peux l'endurcir. Les coups cesses. Mon corps rempli de bleu. Mon organisme saigne. Je suis effectivement broyé. Séquelles internes. Bain de sang visible. Je souris. Je cris mon dernier souffle. Poings ouverts. Doigts explosés. Mains écarlates. J'entends des pas. Les sirènes éclatent. Mon pouvoir c'est anéanti. Mon arme détruite. Mon armure éclaté. Le désespoir prend la place.Dix-huitième texte :
Je te passe la bague, tu crois que c'est une blague. Je t'aimais mais tu m'as abîmé. Vivre était ma vocation alors que toi tu étais ivre. Ce n'était qu'un rêve ou fallait crever. Je meurs devant ta demeure. J'ai pu ouvrir mon cœur pour mieux mourir. J'avais l'attention mais tu n'avais aucune intention. Je te l'avais affiné alors que toi tu me l'as raffiné. J'étais qu'illusion, tu faisais allusion. J'aimais être en infraction pour t'aimer en effraction. Je t'infecte pour mieux t'affecter. Je me suis scarifier pour te sacrifier. Je t'ai induit pour enduit le doute.
J'ai un pied sous terre mais j'essaie de garder l'autre à la surface. Je suis la à me morfondre. Je m'enfonce de plus en plus. Tout en m'enfermant sur soi. La noyade est lente. Je m'ennuie à attendre. Je t'enfonce avec moi. Je t'emporte dans mon élan. Tu me rattrapes, me relève. Je t'envoie des mots mais rien ne sort. Mes lèvres bougent mais il n'y a pas de sons.Dix-neuvième texte :
L'amour m'envahit. Mon cœur est périmé. Mon enthousiasme est la. Je t'offre tout en espérant la guérison. Ma tête s'absente. Mon âme totalement enrobée. Je fais croire à un désastre. Mon esprit a divaguait jusqu'à toucher ton cœur. Mes mains ont évolué. J'étais distrait. Tu m'as surpris. En m'envoyant un câlin. Je t'ai pris sous mon aile. Tu m'as enveloppé d'amour. Tu as su toucher. J'ai été sauvé. Tu m'as réchauffée. Mon cœur s'emballe. Tes baisers m'apaise. Un bonheur inouïe mais très vite destructible. Je suis déstabilisé par tes mots. Ton sourire m'éblouit. Je deviens aveugle devant tes paroles. Ta gestuelle m'émerveille. Je t'aime.Vingtième texte :
Tout le monde peut voir un sourire, tout le monde y crois mais derrière ça il y a un chagrin, une peine, des déceptions. Une tristesse énorme qu'on cache derrière un fichu sourire ou un "Oui ça va". Je sais mentir en disant ça se n'est que mensonges. Au lieu de vous contentez d'un maudit sourire, d'un rire. Regardez mes yeux. Mon regard est si vide. Vous y verrez seulement un regard sans vie. Se regard dis tout sur ma souffrance. Mon regard est noir comme celui des ténèbres. La mort m'appelle j'essaye de lui résister. Plus les jours passent plus je m'enfonce. J'effrais tout le monde avec mon allure somnolente. Comment croire en une chose si plus rien n'existe, si je n'arrive même plus à avancer sachant que le monde est défoncé. Mon étoile qui devait m'illuminé c'est éteinte en même temps que mon regard devenu ténébreux, au même moment ou mon cœur c'est mis à sombrer à en devenir une miette. Mon corps je le maltraite jusqu'au point d'en laisser des traces, des plaies profondes. Je ne suis devenu qu'une ombre une fois ma flamme c'était éteinte. Je reste à tour jamais une cendre.
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Les maux du cœur
PuisiRecueil de textes, de mots, de lettres, je laisse mes maux s'écrire de façon maladroite. Juste par mes pensées ou des émotions que j'ai pu observer autour de moi. Ici j'écris souvent en je pour vous faciliter à vous reconnaître dedans, pour mieux vo...