Une Brèche :
Je ne suis qu'un bambin. Dépourvue de défense. Sans aucun doute je vais en crever. Tout est si moroses. Métaphore menacé d'inculte. Entre mécontentement et détermination. J'en stress à m'en briser les os. En pleure je recrache mes poumons. Essoufflé d'amertume. Souvent de fois j'entends mon heure sonné. Sa résonne dans ma tête des tic-tac. Comme des détonations en moi. C'est prêt à exploser. J'en peux plus de ce vacarme. Ça continue en rafale. En boucle dans mon crâne. J'en perds le fil. Laissant hypnotiser par ce bruit. Des cliquetis percutent mes yeux. D'interminables chiffres s'affichent. Tout ça pour me dire que c'est l'heure. Je laisse mon corps en charpie. Mon cœur en décomposition. Les murmures marmonnent une fois de plus. Dans d'atroces circonstances la description est différente. Une vision trouble perpétuelle. Un calibre de plus pointé sur moi. Une nouvelle fois je suis la cible de tes mépris. Depuis le début tu t'amuses. Tu tires les cordes. Ton rire détonne. Cela t'éclate de me voir m'effondrer. À chacune de tes manipulations tu fais en sortes que je me brise. Une apparition soudaine et tu sais détruire la confiance en moi. Je ne suis que ton Pantin sous tes ordres maudits. Tu déclenches un carnage infernal. Une foi le mal est fait tu reparts comme si de rien n'était. Je me sens incapable de me reconstruire dans se tourment bordéliques que tu as laissé sur ton passage. Tu en renais sans souvenir. Par manque d'initiative. S'égare d'amour. Tu y caches ton cœur sous se plexiglas. Prêt à se briser. Et j'écris encore des dérivés du mot néant. Dehors sous un soleil je ne vois que le ciel grisâtre. Je sens la pluie sur mon visage alors qu'autour de moi il n'y a pas trace de goutte. J'effleure la mort une dernière fois. Sans un toit je convaincrai mes pensées de vivre une dernière histoires.
Tellement de tambour en moi. Ça joue des percussions dans ma tête. Ébranlé d'amnésie. Une fois encore ça tambourine en raisonnant. Je m'écroule d'épuisement. Désespérément je m'échappe. J'affronte en fronte. Les démons de mes nuits. À minuit mes cris s'écrient. D'où mes rires retentissent à bloison. En disparaîtront le son. Remplacer par des pleurs sourds. Sans contrôle d'avenir. Mon typhon d'orgueil s'écoulent. Pas de larmes sur mes joues d'écailles. Décline des peurs sous des averses. Plus connu d'orages. Mon corps s'échappe mentalement. Je ne retiens plus rien. Tout s'envole. En exploitant mes ressource. Cela ne s'arrête pas. C'est frustrant et douloureux. Des ecchymoses se forment sur sont cœur faibrile. Tel une balle me transperçant le crâne. Je ne sens rien. Sous la pression mélancolique. Mes éclats s'accumulent. Percutant mes tympans. En douceur sous la neige chaude. Je me refroidis. En me degourdant les doigts. Comme si des notes y en sortent. Bouleversé d'amertume. Mes balades dans le désespoir sème un boucan sans fin. J'installe le filtre. D'un masque tout grabuge. Le mélange sinistre m'exaspère. Je ne suis qu'impuissant fasse à cette mitrailleuse. Plus qu'à subir ses coups. Les projectiles de ses mots m'effleurent. J'en crispe de douleur. Ses mots si tranchant. Elle ne s'en rend pas compte. La manipulation est en jeu. Silhouette à l'ouest. L'engrenage ne s'interrompt pas. Deux pas en-avant trois pas de recul. Le ventre noué. Demeure en moi des troubles. Un démon enfoui. Entouré de regard. Je ne perçois plus que la haine. Je ne crois pas qu'on m'aimera sans attendre. Je ne crois pas qu'on puisse m'aimer sans toxicité. Ta toxine dans ma chair. Tu te régales du foutoir de ton poisson. Je suis convaincu de vivre dans un néant sans réaction. La tactique se fracture de mot perçant. J'éclate en sanglots dans une marre de larmes rouge. C'est si effrayant de vivre sans abris.
Je déraille à des moments. Par mes rails je guide le chemin. Patient soit il mon cœur en brése. Je suis aigrie d'amertume. D'amour inconditionnellement fiable. Sans aucun doute je m'y prends de tes mots. Doux soit il ce garçon ce perds de tes paroles. Sous tes mensonges son sourire s'efface. Affronte toi pour dénoncer ces méfaits. Mécanisme d'autodéfense activé. Incapable de déjouer se métrage. Tu enclenches des séries. Sans déviation de ses coups prononcés. Tu lâches l'affaire. Marchant dans des tourments. Engrenages déguisés. Dégradé d'opium. Un mélange parfait pour le meilleur film de romance. Tu déranges tes écrits par mépris. Ton écriture tremblante se transforme illisiblement. Tel un médecin incompris. Un géni decraint enfumé ton entourage. Des brides souvenir s'envolent pour laisser place à d'autres. D'autres encrés te seront si souffrant. Tu relâches tes plaies. Tu es la à attendre que tout s'arrange. Dans la dégradation du condamné tu te laisses empiéter. En c'est temps si tu en claques. À t'en verser de l'eau bouillante pour oublier se qui te tracasse. En terrasse tu terrasses tes abons. Par peur de négligence et d'élégance tu engages tes rires faussés. Par des nausées en plume. Toi l'ange que tu étais. Toi l'ange qui a t'en souffert pour des personnes qui ne te méritent pas. Tu ne te soucis de rien sauf de tes pensées. Dans un arrondissement de joie tu endommages tes paramètres. L'ange que tu étais n'as plus d'aile. Comme arracher. On peut y voir sur ton dos les cicatrices laissé par le poids des injures que tu traînes depuis des années. L'heure est venu de t'aider toi. Sous ton impuissance l'impulsion s'écrase. Tu émiettes ta gentillesse. Ton empathie va te jouer des tours à t'en m'effondre. Tu encaisses une nouvelle fois. Sans contentement tu contemple les étoiles.
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Les maux du cœur
PuisiRecueil de textes, de mots, de lettres, je laisse mes maux s'écrire de façon maladroite. Juste par mes pensées ou des émotions que j'ai pu observer autour de moi. Ici j'écris souvent en je pour vous faciliter à vous reconnaître dedans, pour mieux vo...