Partie 4.5 : Penses Maux

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Accalmie :
La lune brillait sous les flammes bleues. Tendis que j'y brûlais. J'y réfléchis encore. Se que tu puisses penser. Que ce passe t'il a travers tes mots ? Je me suis consumé encore une fois. D'une naïveté sans concret. Je ne dure qu'un temps. Je finis par disparaître. D'où l'angoisse s'y mêle. Une photo des mots te resterat-ils. Rien d'autre que cette sphère. Gaiement nous sourions. Nos paroles sont veines. J'écoute nos élans. Dans la grisaille en échec. Je me suis fais malheureusement peur. En m'éloignant de toi. Sans confort je t'ai aimé. En silencieux j'ai mis mes sentiments. Naissant j'en ai pris la fuite. À contre cœur. Je voulais rester à tes bords. Sans abords je me suis jeté à l'eau. Tu ne connais pas mon amour. Et tu n'en seras jamais rien. Je préfère enfuir cela en moi en croisade à mon égard. Je ne voudrais pas me prendre un couteau dans cœur. Vaut mieux le protéger. J'en ai conscience de cette barrière construite. Dans la foulée je ne vaux rien. Pourtant je danse pour toi. À en écrire des échéances. Dans la brise de la campagne. J'ai élu à domicile. Je ne perçois pas ton cœur. Parvenu a autre. Détournant le miens. Je continue à croire que tu ignores mes maux. Sans emprise j'en conserve dans mes yeux. De supplice ne font gare à plus personne. D'un noir éclatant qu'on a remplis pour ne plus rien laisser paraître. D'un sourire personne ne sais se que je veux. Réellement nous nous endormons. Dans un rêve idyllique par chant de nos louanges. J'ai fini par ne faire plus que des plan à l'eau. Tout pour échapper à la réalité. En évitant de couler par mes soins. Mes pleures sourds ne s'entendent pas. Clairement mes cris ne sont que pauvre. Pourtant je passe mon temps à t'écouter. Je m'énerve souvent pour rien. J'essaye d'espiè mes fautes. Je reste quand même incapable de te dire je t'aime.
Tu m'as touché. Enlacer sans jamais me regarder. Je n'ai fais que de regarder devant moi en espérant. Vivre d'étincelles. Brûlé dans les entrailles. Tu as su faire de moi. Ce que jamais j'aurais cru. Être en large avec toi. N'en faire qu'un. Nos corps alourdis. Chaudement préconçu. Nos caresses s'y perdent. Parfois nous nous oublions. Dans d'autres messes. Sous un autre monde. Ou les rayons illuminent nos sourires. De nos chants tout nous traverse. Deux âmes éclairées par le plaisir. D'y goûté. Le pêché du désir nous entraîne. Dans une danse enflammée. Nos cris étourdit s'éloignent. Par notre passion. Nous engageons un long voyage. Tes yeux regorgent d'envies. Ma langue te laissant planer. Nos doigts parcourant nos battements. Dans un rythme endiablé nos cœurs s'égarent. Nos lèvres se touchent. Nous commençons à nous liés. Nos peurs s'évaporent. Le son émit de nos bouches s'évanouissent. Le chant des rossignols nous parviennent. De temps à autre. Nos regards s'écoulent. Dans l'action plus aucunes pensées nous prennent. Notre raison nous a quitté. Quand nos corps ont commencé à s'échapper. Le fruit défendu nous entraîne. Sous une pulsion profonde. Nos mérites seront à nos égards. Nous y prenons. Jusqu'à recommencer toute la nuit. Laissant nous guider par les valses des musiques.  Les vagues ne nous interrompts pas. Nos pas segmenté de nos complexes. Tout oublié par nos élans. Nos étreintes se resserrent petit à petit. Sous le plaisir luisant de nos mains. J'en fini avec des plan d'un soir pour échapper à la réalité. En attendant la magie l'abysse se fossile.
Laissons nos corps se découvrir. Petit à petit sous des caresses sensuelles. Le stress augmente en même temps que la chaleur. On a voulu jouer on a finir par jouir. Nous avons commencé doucement pour finir brutalement. Brusquement nos corps en tremble. Dégoulinant de sueur. Nos tremblements s'échappent. Tu as goûté au fruit du plaisir. J'ai léché le tiens. De le fleur à l'avoine j'aurais aimé y goûter. J'ai effleuré ta cloison. Tendis que tu as emporté la mienne. J'en regrette pas. Nous nous sommes épuisé. À en venir déguster nos battements. Dans un coup de rein tout est devenu flou. Sans contrôle de nos corps. Entre étourdissement et plaisir. Loin d'être la. L'auteur de mes tourments. Sous forme de fantaisie. Je voyageais à travers tes vas et viens. Ma sensibilité c'est écarter. D'ivresse de nos deux péchés. Je t'en redemande. À en avoir le tournis. Plus de repos de mon corps mis en charpie. Par le biais de nos élans. Des étreintes érotiques. Nous nous consommons. Par ce feu d'artifice qu'on a en nous. S'éclate d'un coup contre notre peaux. Une position alarmante. Sans contrainte. J'écoute tes gémissements. Dans une valse de chaleur. J'enfonce mes doigts dans ta peaux. Tendis que tes crocs entre dans mon cou. Quelque sifflement par ci par la. La visite d'étoile. Nous emmènes loin. À travers la dimension une nouvelle paire s'efface. Nos pensées s'égarent. Quand nos âmes ont fusionnés. Tout c'est soudainement intensifié. C'est devenu rudement bon. Au point de m'en retourner. Sous les courbatures nous nous éclairons. Tout en continuant nos idéos. Que ce soit clair pas de sentiments. Juste toi et moi pour une soirée. Tout un déroulement qui se répéta en boucle sans cesse. C'est à fini par un rituel. Une absence se créé. Dans l'abysse harmonie. Le sanctuaire visitait nous enchante. Par l'échec de nos échos. Émis par nos voix qui déraillent. Nous prenons gare aux bruits vassant.

Les maux du cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant