La Guerrière Louve

Métamorphose

Après les révélations, j avais besoin de me détendre.
Je sifflais Tonnerre, lui et moi on prit le large. Je voulais prendre du temps et pourtant je pensais à elles.
Elles qui n étaient plus présente et malgres continuer de vivre à travers moi.
Des feuilles volantes apparurent dans les air, je les guildais, les fit tournoyer et les amener vers des obstacles sans briser leur formation, je gardais le contrôle.
Le soleil n avait pas encore décliner que je m écroulais au sol.

Je repris connaissance dans un autre lieux, j ignorais comment j avais fait pour arriver là. Je savais que cela avait un rapport avec le phénomène qui se produisait en moi.

Je cherchais une réponse dans la méditation, je pouvais voir des hommes loups du passé ou des meutes en liberté. J étais une femme or c étais que des hommes qui avaient ce privilège.
Apres plusieurs fois à émerger loin du lieux où je m étais trouvée la veille, je découvrais mon reflet à travers un point d eau.
Une tête de loup, des poils noir, des crocs, une queue et des yeux vert vifs. Je ne trouvais pas cela aberrant, après tout ce qui m arriver. Je n avais jamais été frivolte, les bijoux, les coiffures et les robes m était indifférent et là je ne pouvais pas me détacher d admirer mon pelage aussi noir que les corbeaux et la couleur de mes yeux aussi vert que l émeraude scintillante.

J avais le loup! Incroyable!

Je me concentrais pour reprendre ma forme humaine. Un bout d un moment j y parvins, me retrouvant encore une fois toute nu.
Depuis que je vivais dans la nature, grâce à mon Don je pouvais me vêtir.
Le comportement de Tonnerre était normal, il n osait plus s approcher de moi, la peur et la crainte se voyaient et il continuait de répondre à mes appels tout en gardant ses distances.

Les jours suivant je faisais ma routine. Sport méditation et maîtrise de la Terre. Je me servais de la méditation pour m approprier ma forme de loup à volonté, j y parvins pour une fois assez facilement.

Une lumière apparut venant de la cité, s élevant vers la lune pleine dans le ciel noir étoilée. Une odeur de brûlée envahit l atmosphère jusqu'en dans les bois où je me situais.

Je me mis à courir, sous ma forme de louve j etais rapide et atteignis la cité avec diligence. Ce n étais pas la cité qui était en feu, ni un siège n avait lieu, c était le palais royal dût moins une partir. Cachait dans les bois je vis un jeune homme sortir d un tunnel, sur son visage il y avait quelque chose.