chapitre 2 partie 2

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M. Tissier se mit en colère contre Fernand pendant que Paul, son fils, commence à ricaner.

M. Tissier : ça y est, les Fritz ont déjà envahit la France !

T/P : mais il n'est pas allemand, il est alsacien, c'est pas la même chose !

M. Tissier : allemand ou alsacien, c'est la même chose et moi, je sers pas les boches !

Je remarquais que Fernand serrait son sac d'école fort pendant que, M. Tissier, ouvrir la porte pour faire sortir Fernand. Soudain, une femme et un jeune garçon sont entrés.

??? : Bonjour M. Tissier.

M. Tissier : Mme Guibert ! Comment allez vous ?

Mme Guibert : très bien, M. Tissier. Et je voulais savoir si vous avez ma commande ?

M. Tissier : bien sûr qu'on a votre commande. Paul ! Va chercher la commande de Mme Guibert !

Pendant que Paul allait chercher la commande de Mme Guibert, Ernest, Colette, Fernand et moi faisons la connaissance de Mme Guibert et l'ami de Ernest.

Ernest : Jean, je te présente mes  sœurs, Colette et T/P.

Mme Guibert : bonjour les enfants. Et vous pouvez me rajouter un peu de kilo de Sucre, s'il vous plaît ?

M. Tissier : bien sûr, Mme Guibert ! Paul, va chercher du sucre pour Mme Guibert !

Pendant que Mme Guibert discutait avec Fernand et Ernest, Colette s'était mit en colère.

Colette : quoi ?! C'est pas juste ! M. Tissier, il ne voulait pas donner du sucre a Fernand et qu'il avait affirmé qu'il en avait plus !

T/P : c'était vrai ça, on était tous là !

M. Tissier était gêné pendant Ernest, Colette, Fernand et moi on faisait tous la tête. Mme Guibert avait l'air comme si M. Tissier était en train de mentir.

Mme Guibert : M. Tissier, vous pouvez m'expliquer ce qui se passe ?

M. Tissier : en faite, c'est que j'ai n'avais pas compris l'accent du jeune homme et que... Vous voyez quoi. Paul, va chercher du sucre pour ton copain !

Ernest : et nous aussi...

M. Tissier : pour tes copains...

Après que, Paul, avait lâché un soupir, j'ai fait un regard noir a Colette qui s'était transformé en un sourire. Après que nous avions acheté du sucre, Fernand était parti rentré chez lui pendant que Ernest, Colette, jean et moi allons rentrer avec Papilou et Mme Guibert.

Ernest : whaou, t'est le fils du maire ? C'est pour ça que M. Tissier tremblait comme une feuille.

Jean : oui je sais. Dit, maman, est-ce que je pourrais aller avec Ernest et ses sœurs ?

Mme Guibert : je ne vois pas d'inconvénients. Si M. René est d'accord.

Papilou : pourquoi pas ? J'ai juste besoin de mains forts.

A la maison

On était rentré à la maison quand Jean-Baptiste et Mamili était assis sur la table.

Colette : jean-baptiste !

Jean-Baptiste : bonjour ma petite Colette. Et ma bise, alors ?

Quand Colette et moi avons fait la bise à Jean-Baptiste, et que Jean a salué Mamili, Colette a pris la lettre de maman et avait demandé à Ernest de la lire.

Ernest : "Mes chers enfants. J'espère que vous allez bien, vous me manquez énormément et je pense à vous tous le temps..."

Lucie : "... Ici je passe mes journées à me reposer et je vais déjà mieux. J'ai des nouvelles de votre père, il est stationné bien à l'abri sur la ligne Maginot et il va bien aussi. Et comme moi, il vous embrassent tendrement. Soyez sage et aidez Papilou et Mamili..."

Ernest : "... votre maman qui vous aime très fort."

Colette et moi avons commencé à pleurer, pendant que Papilou et Mamili se regarder en souriant tristement.

Colette : donne la moi. Je vais ranger dans ma boîte.

T/P : bon, ont c'est qu'elle est bien soignée, je suis sur qu'on s'occupe bien d'elle au sanatorium.

Ernest: tu crois ? Elle sera bientôt guérie ?

Mamili : T/P à raison, elle sera bientôt guérie. Allez on goûte !

Après qu'on était tous assis, Papilou avait commencé à parler.

Papilou : allez les enfants, on se dépêche d'avaler son goûter et ensuite, on se retrouvera à la plage pour une mission très importante !

À la plage

Ont était à la plage quand Papilou nous avait donné des pelles et nous a dit de ramasser du sable. Colette s'amusait avec gadoue.

T/P : RAAAAAAAAH!!

J'avais hurler tellement forte que les mouettes sont partis, pendant que Papilou rigoler.

Ernest:  j'en peux plus ! Dit, Papilou il y en a assez ?

T/P : on peut s'arrêter ? J'ai des crampes partout !

Papilou : il n'aura jamais assez ! La ligne Maginot, sa peut arrêter des chars. Mais ça peut pas arrêter les avions. Alors, pour se protéger des bombardements, plus ont aura des sacs de sables, mieux se sera.

Pourquoi l'homme avait inventé des avions ? Pendant que Ernest Jean et moi nous nous regardons en même temps, j'avais remarquait une fille, qui avait des cheveux courts Violet, avec une robe violet clair et un gilet beige, qui Ramasser des coquillages. Mon frère avait salué la fille mystérieuse avec une main en haut. J'allais faire la même chose mais Jean avait fait baisser ma main.

Qui est cette fille mystérieuse ? Pourquoi jean avait baissé le bras de T/P ? Vous le découvrirez dans le prochain chapitre 2 partie 3, bonne journée/soirée

Les grandes Grandes Vacances(Fernand x T/P)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant