chapitre 10 partie 2

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Pdv de T/P#

La personne enlève sa veste et le pose sur un porte-manteau, je commence à réaliser que la personne arbore, sur son couvre-chef, une tête de mort, se qui signifie qu'il fait partir de l'organisation la plus crainte de toute l'Europe : la Schutzstaffel, soit, la SS. Tandis que ses subordonnés se poste devant la porte et que le soldat au nez aquilin se pose derrière moi en tenant les deux bouts de la chaise, le SS s'approche vers moi et s'assied. Il avait des yeux bleus profonds, des cheveux bruns et avait un cicatrice au coin de l'oeil gauche.

Le SS : vous avez des jolies yeux C/Y...

T/P : ne me touchez pas !

Le SS me regarde pendant un instant avant de sourire. Ce n'était pas un sourire sincère mais un faux sourire. Il sort un dossier et le pose sur la table, devant moi.

Le SS : je m'excuse mais je me ne suis pas présenté : Hauptsturmführer Kummer. Et je suppose que vous êtes la fameuse T/P Bonhour, la fille du terroriste Bonhour.

Alors que je suis sur le point de lui mettre une claque, je m'abstiens à répondre à ses provocations et reste toujours neutre. Le Haupsturmführer Kummer se met à se lever en prenant le dossier et commence à l'ouvrir.

Hauptsurmführer Kummer : je lis dans votre dossier qu'avant la guerre ne se déclare, votre mère, Lucie Bonhour, exerçait le métier couturière et votre père, Robert Bonhour, comme ouvrier dans une usine de voiture, avant de devenir un criminel. On m'avait fait comprendre aussi que vous sortiez avec un youpin...

T/P*se lève de la chaise* : n'insultez pas Fernand comme ça !

Alors que le soldat, qui était derrière moi, pointe son fusil sur mon dos, l'Hauptsturmführer se rapproche vers moi et continue toujours à sourire.

Hauptsturmführer Kummer : mais c'est la vérité. Les juifs ne sont intéressés que par une seule chose : l'argent. Et que si on ne débarrasse pas de tout ces sous-rats, notre monde sera envahis par ces vermines. Mais on s'éloigne du sujet. Dites-moi maintenant, où se trouve votre père ?

Je lui lance un regard méprisant tandis que son subordonné pointe toujours son fusil. Comment des personnes peuvent croire à ces stupidités ? Reste calme T/P. Reste calme.

T/P : je ne sais pas où se trouve mon père et mais si je le savais, je ne vous le direz pas.

Kummer repose le dossier sur la table et commence à perdre son faux sourire. Il enlève sa veste, tends son bras vers le soldat blond, qui était posté devant la porte, et celui-ci lui donne une batte et Kummer le prend. Il brandis la batte et...

Pdv de Fernand#

Cette nuit. Cette incroyable nuit restera à jamais gravée dans nos mémoires comme la plus longue de notre vie.

Joquet : on est bientôt arrivés. T'es prêt ?

J'acquiesce tandis que le véhicule roulait toujours. Alors que la sirène retentit et que je remarque les avions Américaines et Anglaises arrivait, un soldat commence les tirs de mitraillettes et on fis de même avant que Chaulin ne lance une grenade, qui atterrir en dessous d'un camion Boche et n'explose en mille morceaux, où on peut voir la fumée noir. Le conducteur entre dans la cour principale pendant que les autres et moi continuons de tirer. Lorsque le conducteur s'arrête devant l'entrée principale, Robert sort du véhicule et nous commençons à sortir du camion.

Robert : couvrez-nous !

Alors que les autres se réfugient derrière un camion allemand, je reçois une balle sur l'épaule, ce qui me fait gémir de douleur. Je rejoins Robert et les autres, tend mon pistolet vers le bidon d'huile, que nous avions placés en dessous du camion. Je vérifie la distance avant de tirer deux ou trois sur le bidon qui commence à couler et qui est en train de prendre feu. Je commence à sourire car notre plan à fonctionné. À l'intérieur du camion, nous avons mis un sac remplis de dynamites qui ne tardent pas à exploser. Pendant que le camion prend feu petit à petit, j'enlève ma veste et la déchire pour faire arrêter l'hémorragie.

Robert : Fernand, tu bouges pas d'ici tant que les Boches nous tirent dessus. C'est un ordre !

Fernand : je viens avec vous ! Je veux savoir si T/P est avec les autres.

Robert : non, tu restes ici ! tu vas te faire tuer bêtement. 

Alors que j'allais répliquer, le camion explose et presque toutes les voitures sont flammes. Nous restons assis pendant quelques temps avant que les autres sort de leurs position.

Fernand : vous... vous avez raison. Je fait pas me faire arrêter ou tuer bêtement.

Robert sourire avant de repartir avec les autres et continue de tirer, avec son fusil. Je m'allonge sur le camion et regarde ciel qui est infesté de missiles et d'avions. Je vous le promet... 

Bonjour/bonsoir, j'espère que vous avez aimé.e le chapitre 10 partie 2 et on se retrouve la semaine prochaine pour le chapitre 10 partie 3. Bonne journée/soirée 😁

Les grandes Grandes Vacances(Fernand x T/P)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant