chapitre 4 partie 2

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Quand nous étions arrivés chez les Morteau, Ernest a donné la lettre de Mme Guibert à Mme Jeanne. Elle l'a lue pendant quelques minutes avant de soupirer.

Mme Jeanne : je m'en doutais qu'avec tout ce bazar chez Mr maire, vous allez débarquez. Venez, on va se serrer un peu.

Marcelin : QUOI !? Mais...

Mme Jeanne : Ça suffit !

Tout à coup Quatorze, le chien, avait commencé à aboyer et nous avons vus que il y avait un camion allemand qui s'installait chez les Morteau.

Mme Jeanne : allons bon ! Que veulent-ils, ceux-là ? La ferme, Quatorze !

Deux allemands était sortis du camion, l'un avait un nez crochu et l'autre était un peu rond. Ils s'avançaient vers Mme Jeanne avec une feuille dans la main.

Soldat allemand 1# : bonjour, Mme Morteau. Nous réquisitionner un peu votre ferme  pour loger soldats et aussi pour nous manger.

Mme Jeanne : je crois que j'ai pas le choix, va falloir se serrer encore plus ! Je m'occupe des loupiots et j'suis à vous. *Au enfants* Colette et T/P vous dormerez dans la cuisine avec moi. Toi, Ernest, on va t'installer un lit à l'étage. Tu seras pas tout seul il y aura Marcelin et Gaston.

On était choqués que Ernest va dormir à l'étage avec ces crétins de Marcelin et Gaston.

Pierre : ils veulent quoi, les Boches ?

Mme Jeanne : parle pas si fort ! Tu veux qu'ils t'entendent et qui brûlent la ferme !? * À Marcelin* toi monte un lit pour l'Ernest et tu monte au grenier.

Marcelin : hey ! Il peut faire lui-même, j'suis pas son chien !

Pierre*en frappant Marcelin* : t'écoute la mère et tu discutes pas.

J'ai suivie Mme Jeanne pour poser ma valise sur le lit. Après avoir finir poser mes affaires, j'ai entendue une dispute et je suis sortie de la maison pour savoir qui se disputait.

Marcelin : ...ben tiens confisqué !

Marcelin avait pris le bâton d'Ernest que papa nous avait donnés avant de partir au front.

Ernest*voulais reprendre son bâton à Marcelin* : c'est un cadeau de mon père, alors t'y touches pas !

J'allais intervenir quand soudain le bâton s'est cassé en deux.

Marcelin : je me fous de ton père. C'est un fumier, comme toi.

Ernest : JE TE DÉTESTE ! TU M'ENTENDS ?! JE T'DÉTESTE !

Marcelin : c'est ça, cours le parigot !

Je me dirige vers Marcelin et je commencé à lui criée dessus.

T/P : T'ES LE PIRE GARÇONS QUE J'AI RENCONTRÉE DE TOUTE MA VIE ! T'es qu'un crétin ! C'est le dernier cadeau que notre père nous avez offerts tous avant de partir au front ! Et toi, tu l'as détruit !

Marcelin avait commencé à rire d'un air moquer. J'en avais tellement assez que j'ai levée ma main et je lui donne une gifle tellement forte que il y avait une marque sur sa joue droite. Mme Jeanne était arrivé et nous avait forcé de dire se qui s'était passé.

Mme Jeanne : Marcelin, je suis très déçue te ton comportement envers Ernest ! Quand tu le reverra, tu t'excusera, c'est clair ?

Marcelin : oui, maman...

Mme Jeanne m'avait aussi punie pour avoir giflée Marcelin et je me suis excusée auprès de lui.

Quelques minutes

Quatorze avait commencé à aboyer quand Colette était revenue

Mme Jeanne : COUCHÉ, QUATORZE ! Colette, viens voir.

J'étais assis sur le banc en train de lire "les fables de la fontaine". Marcelin me lança un regard noir.

Mme Jeanne : qu'il est passé où ton frère ? Paraît qui s'est chamaillé avec Marcelin, tu sais où il est ?

Colette : non. Je sais pas.

Mme Jeanne : il faut me le dire.

Soudain, Colette avait commencée à sangloter et elle est partie en courant à l'intérieur de la maison.

Gaston : c'est pas sa faute si l'Ernest il est pas là.

Mme Jeanne : j'tai sonné les cloches, toi ?! Pfff.

J'étais en train d'aider pierre à porter les sac de blé quand les deux allemands était sortis de la maison. L'allemand au nez crochu me fie un clin d'œil en mangeant une pomme. Je fie un visage de dégoût. Soudain, Mme Jeanne est sortie de la maison d'un air en colère et se précipite vers l'allemand au nez crochu.

Mme Jeanne : faut pas vous gênez pour chiper mes pommes !

Soldat allemand 1# : quoi, pommes ? C'est réquisition !

Mme Jeanne : des réquisitions, mon œil !

Soldat allemand 1# : Nous vainqueurs. On prend tout si moi veux, compris ?! C'est nous commander ici maintenant.

Tout à coup, Pierre a lâché le sac de farine par terre et a lancé un regard noir à l'allemand. Avant l'allemand allait vers Pierre, l'autre allemand avait appelé son collègue.

Soldat allemand 2# : Hans !

"Hans" a mangé la pomme devant Mme Jeanne avant de la jeter par terre.

Soldat allemand 2# : Hans ! Komme jetzt !

Le camion avait commencé à partir pour rejoindre la kommandantur. Gadoue a voulu manger la pomme sale mais Mme Jeanne l'à empêcher.

Mme Jeanne : mange pas ça, c'est sale.

Foutu Boches ! J'espère que Papilou et Mamili soient saufs. Surtout Fernand...

Salut, j'espère que vous avez passé une bonne journée/soirée. À la semaine prochaine pour le chapitre 4 partie 3🙋😄

Les grandes Grandes Vacances(Fernand x T/P)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant