chapitre 5 partie 4

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On lui avait montré des Journaux, des anciens cartouches, des badges allemand, des propagande et etc...

Ernest : et voilà, ça, c'est notre trésor de guerre.

Fernand était émerveillé de voir tout notre découverte et contemplait tous avec passion.

Fernand : whoah ! C'est extra ! *Prend un journal* Oula ! Ça a bien bardé pour les avions des Boches, au-dessus de l'Angleterre.

Gaston : ho, les copains ! Hé ho ! Hé ! Bah, pardi, qu'est que tu fous là ?

On avait oubliés dire à Fernand que Gaston avait rejoint notre groupe.

Muguette : qu'est qu'il y a, Gaston ?

Gaston : il y a...hh, bah il y a Otto, chai pas où s'qu'il s'est fourré, mais il y a une garde s'cette aprèm et Hans est pas là, c'est sûr. Par contre je l'ai vu c'matin mettre des trucs dans son camion.

Ernest : c'est le moment qu'on attendait ! On y va, les Robinson ?

On avait tous acceptés d'espionner Hans.

Fernand : quoi, où ? C'est qui ce Hans ?

T/P : c'est un beau fumier ! Allez viens, on va t'expliquer en chemin.

Alors que les autres sont partis en courant, je tenais la main à Fernand sans que j'en aperçoive. Muguette et Colette on décidées de restées au repaire pour terminer l'enclos de Gadoue et nous souhaiter bonne chance.

Chez les Morteau

Nous étions cachés derrière les buissons pour ne pas se faire repérer par Hans ou Marcelin. Nous avons courut vers la barrière en bois pour entrer sans se faire repérer. On avait passé la barrière un par un et nous nous sommes cachés derrière le moulin à vent.

Ernest*chuchote* : par ici, chut ! Attention, discrétion absolue. Faut pas se faire repérer. On est en guerre, les gars.

T/P*chuchote* : t'exagére pas un peu ?

Soudain, Gaston est tombé de la barrière en bois et je vers lui pour voir si il va bien.

Fernand*chuchote* : fait gaffe ! L'ennemi n'est pas loin.

Jean*chuchote* : bon sang, mais taisez-vous ! V'là quelqu'un.

Jean était revenu vers pour se cacher. Et si s'était Hans ? Mon cœur battait de plus en plus vite. Ernest avait pris son courage à deux mains pour savoir qui nous a repéré.

Otto : ah enfants ! Ça va ? Vous allez bien ?

Ernest et Jean : euh...

Otto : ah... Pas jouer au phare. Verboten jetzt. Verboten.

T/P : promis.

Après ça, Otto est parti en sifflotant et nous avons lancé tous un "ouf".

Ernest*chuchote* : il parle le français maintenant, Otto ?

Gaston*chuchote* : oui, il apprend la langue avec maman. C'est pas un pourri comme le Hans.

Fernand*chuchote* :non mais fermez vos gueules, un peu !

Les grandes Grandes Vacances(Fernand x T/P)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant