chapitre 3 partie 3

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Ça fait environ 1h que nous marchons pour rentrer à Grangeville et que tout le monde était fatigués.

Colette : Jean-Baptiste, j'ai faim. Et puis j'ai soif.

Jean-Baptiste avait sorti une gourde de son sac et a donné à Colette.

Jean-Baptiste : tiens.

Colette : mais elle est presque vide.

Jean-Baptiste : termine-la.

Ernest : on trouvera bien une fontaine.

J'ai sortie de ma poche quelques gâteaux LU et j'en ai passée à Colette. Elle a bu les dernières gouttes d'eau et elle a redonné à Jean-Baptiste.

Colette : merci. 

Et on a recontinués à marcher.

Une 1h plus tard

Nous étions en train de marcher quand Gadoue avait senti quelque chose et a commencé à courir.

Colette : oh non ! Gadoue, reviens ici !

Jean : Colette ?

T/P et Ernest : Jean ?!

Jean : Ernest ! T/P !

Ernest a fait un câlin à Jean et nous étions tous contents de le retrouver.

Ernest : quel plaisir de te voir ! La vache, ce qu'elle a pris !

Jean : on nous a mitraillés, maman a été blessée et la voiture est fichue.

Mme Guibert a été blessée ?! Mme Guibert était sortie de la voiture avec un bras cassé.

Mme Guibert : ça va ? Que faites-vous là ?

T/P : bonjour, Mme Guibert.

Jean-Baptiste : Mme Guibert ! Dans quel état vous êtes !

Mme Guibert : c'est gentil, je vais bien. C'est juste une égratignure. Mais où sont vos grands-parents ?

Ernest : Mamilie a franchi la rivière. Papilou est parti à sa recherche.

T/P : j'ai faillit me perdre un œil à cause de l'explosion, mais Papilou m'a sauvée in extremis.

Colette : il y a eu un grand boum. Et après, Picotin n'était plus là et la charrette et le vélo de Jean-Baptiste. Et plus rien à manger.

Jean-Baptiste et Mme Guibert se sont regardés tristement.

Ernest : et ton père ?

Jean : il est resté à Grangeville. Il m'a dit qu'il était comme un capitaine de bateau et jamais il abandonnera la mairie. Il a pas peur, mon père !

Ernest et moi avons lançait des whaou. Il est courageux le père de Jean.

Jean-Baptiste : justement, on rentrait. C'est bloqué. On vous emmène ?

Mme Guibert : oui. Je prends quelques affaires. Et il me reste des provisions.

On était content que il restait assez de nourriture pour tout le monde.

Au bout du chemin

Pendant que je tenais ma valise et  Colette en train de tenir Gadoue, Jean et Ernest était en train de tenir une valise lourd.

Jean-Baptiste : Ça va ? On a fait un bon bout de chemin.

Soudain, Ernest s'était arrêté et a entendu un bruit.

Ernest : attendez !

Ernest avait lâché la valise qu'il tenait avec Jean se qui le tomber. Qu'est que Ernest est en train de faire ? Il était parti dans le champ de coquelicots en cherchant quelque chose.

Ernest : Venez voir !

On était tous partis en direction d'Ernest pour voir se qu'il a trouvé.

Jean-Baptiste : nous voilà bien !

C'était un bébé tout mignon qui gigotait dans tout les sens et à côté de lui, il y avait une valise.

Mme Guibert* prenant le bébé dans ses bras* : le pauvre petit diable ! Que fait-il caché là, tout seul ? Hmm ?

Colette : il très mignon. Où est sa maman ?

Jean : il y a toutes ses affaires. Son biberon et ses vêtements.

Jean-Baptiste et Mme Guibert se sont regardés pour savoir où est la mère du bébé. Jean-Baptiste était parti pour voir se qu'il y avait de l'autre côté du champ de coquelicots.

Ernest : hey regarde, T/P !

Ernest était en train de jouer avec les jouets du bébé quand il remarque que Jean-Baptiste était resté immobile en regardant le sol.

T/P : tu as trouvé autre chose ? Jean-Baptiste !

Jean-Baptiste : restez où vous êtes. Ne venez surtout pas, JE VOUS L'INTERDIS !

Jean-Baptiste est bizarre. Mme Guibert était elle aussi voir l'autre du champ avec le bébé. On dirait qu'elle est choqué.

Colette : de quoi ils parlent ?

Jean : j'sais pas...

Après qu'ils ont fini de parler, on a repris notre chemin pour rentrer à Grangeville.

À plus pour le prochain chapitre 3 partie 4. Bonne soirée/journée 😊


Les grandes Grandes Vacances(Fernand x T/P)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant