chapitre 4 partie 1

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Au début de l'été, nous nous sentions encore en sécurité. Depuis son hôpital en Suisse, maman nous écrivait des lettre, nous rassurant sur sa santé et nous exprimant sa peine de ne pouvoir être là, avec nous. Nous lui manquions. Recueillis par les Guibert, nous essayions, mon frère, ma petite sœur et moi, de rester insouciants, nous amuser, et de profiter de nos vacances.

Ernest : c'est la victoire !

Soudain, on entendait des bruits de voitures et il y avait pleins d'allemand qui venait dans notre  village. Antoine a voulut chercher le ballon qui était sur la route mais Ernest la tiré par derrière pour pas qu'il se fait écraser. Le ballon sé fait écraser par une tank. La guerre, encore la guerre.

Jean : ils sont super nombreux !

Cette fois, elle venait s'installait au village. Nous commencions à prendre conscience que nous n'étions pas au bout de notre épreuves.

Colette : que viennent faire ici, les Allemands ?

Jean-Baptiste : on a perdu la guerre, Colette. Ils viennent s'installer.

Pendant le trajet, chez les Guibert

Colette : mais si les Français ont perdu, papa devrait rentrer, non ?

Jean : il doit être prisonnier, pas sûr qu'il rentre tout de suite.

T/P : t'inquiète pas, ma coquillette, il va s'échapper, c'est sûr.

Ont s'était mis à sourire jusqu'à qu'on entend un bruit de marteau qui frappe et on s'est retournés.

Jean : mais qu'est qui font ?!

C'était des allemands qui plantait un panneau et qui partait avant de nous saluer. On s'est précipités vers le panneau d'indicateurs pour voir se qui était écrit.

Colette : "Kom... Man... Dantur...''

T/P : ''Kommandantur"

Ernest : c'est là où il y a les commandants boches ?

Jean : hey, mais... C'est vers chez moi !

Ont s'était mis à courir chez Jean pour savoir se qui passe. Quand on est arrivés chez Jean, il y avait pleins d'allemands qui s'installent chez les Guibert et le drapeau français était remplacer par un drapeau Nazi.

Mme Guibert : ah, les enfants !

Jean : maman, qu'est font là, les allemands ?

Mme Guibert : ils réquisitionnent la maison.

Jean : hein !? On va devoir partir alors ?

Mme Guibert : non, ils nous laissent la chambre du fond. Je suis désolée, je ne peux pas vous garder tout les trois.

Ernest : où va-t-on aller ?

Mme Guibert : chez les Morteau. J'ai préparé un p'tit mot pour Jeanne.

Chez les Morteau ? Soudain, nous avons entendu un allemand, qui doit être leur chef, leur parler qui doit être des ordres.

Le chef allemand : bonjour. Comment vous appelez-vous, les enfants ? *À Colette* tu es mignonne, toi. Tu as perdu ta langue ?

Colette s'est cachée derrière moi quand l'allemand lui avait touché la tête. Mme Guibert a l'air effrayée. Elle commença a rire nerveusement.

Mme Guibert : voyons, Colette ! Qu'est-ce que c'est que ces manière ? Excusez-la, mon Colonel.

Le Colonel : ce n'est pas bien grave. Tu ne manques pas de caractère, ma petite. Tu sais ce que tu veux.

Après que le Colonel soit parti, Colette lui a tirait la langue.

Mme Guibert : Ernest, T/P, filez chez Jeanne sans tarder. Aide-les à rassembler leurs affaires, Jean.

Jean : oui, maman. Venez !

Colette* à T/P et Ernest* : on va encore changer de maison, c'est ça ?

T/P : on dirait bien...

Sur la route

Pendant qu'Ernest et moi nous marchons pour se rend chez les Morteau, Colette était en train de marcher sur des touffes d'herbe.

Ernest : COLETTE !  Qu'est que tu fabriques ?

Colette : je ne marche que sur les touffes d'herbe, comme ça Mamili et Papilou rentreront et on dormira chez eux.

Ernest : on était bien chez Jean. Tout ça à cause des Boches !

On a continué marcher jusqu'à que Ernest s'arrête à côté du panneau d'indicateur.

T/P : Ernest, au nom de dieu, qu'est que tu fais ?

Soudain, Ernest avait déplacer le panneau d'indicateur des Boches pour le mettre devant l'entrée du village.

T/P : mais ça va pas, Ernest ! Tu es complètement inconscient !

Colette avait commençait à rire de la "blague'' d'Ernest. Je lui ai lancée un regard noir.

Ernest : vous direz rien, c'est un secret. Comme ça les Boches ne sauront plus où ils habitent non plus. Allez T/P, tu diras rien, hein ?

J'ai lancée un énorme Soupir avant de hocher la tête pour dire "oui" et on continué de marcher.

Salut, joyeuse fête du 14 juillet ! Rendez pour le chapitre 4 partie 2. Bonne journée/soirée 🎇🎆🎇

Les grandes Grandes Vacances(Fernand x T/P)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant