Inspecteur Todoroki

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... entraînement de tire ...

Dans un sous-sol, seul le bruit du pistolet raisonne dans toute la salle de tire, le dernier tire que donne le flingue de l'inspecteur Todoroki s'implante dans la cible affichée. Tout à coup, une alarme retentit, annonçant que l'entraînement est terminer. Il enlève le casque anti-bruit, passe une main dans ses cheveux. Le responsable actionne un bouton. Donnant à la cible afficher à s'avancer automatiquement vers lui. Décoche.

Responsable : Pas mal, Inspecteur.
Todoroki : Vous croyais ?
Responsable : Oui. Le seul petit bémol est que vous n'aimiez pas tirer au centre. Pour les autres, eux, c'est plus souvent la tête. Alors que vous êtes, plus sûr l'épaule que vous titriez.
Todoroki : Haha.. je préfère les blessés que les tuer directement.
Responsable : Hm, pas faux. Il se pourrait bien que les autres suivent tes conseils.
Todoroki : Ouais.. si seulement.

Une porte s'ouvre en laissant entrer un homme dans les trente ans. Un homme dans les quarantaines, aux cheveux courts de couleurs bruns. Fait un signe vers l'inspecteur Todoroki. Qu'il accepta et compris d'où son chef veut en venir, il glisse un mot qui est destiner au responsable que celui-ci comprend. Il va faire un tour aux vestiaires avant d'aller au bureau du chef.

... vestiaire ...

Il se change tout en se remémore avant qu'il reprenne le travail.

« Je savais que le chef voulait me voir tôt ou tard. Depuis que je suis revenu dans ma ville et que j'ai reprit mon travail, juste après avoir quitter le train. Il y a une semaine environ, il me semble.. . Et arrivant sur le lieu du travail, il y a bien sûr eut des questions à propos du tueur en série si j'ai réussi à le faire coincé avec l'aide de l'inspecteur de la ville B. Mais aussi, cette cicatrice sur mon œil gauche qui ne passe inaperçu. Même maintenant, il y a toujours cette question qui m'agace à force de donner la même réponse, tout en restant amicale avec mes collègues de travail, « cela te fait mal ? » ou encore « comment tu t'es fais cette brûlure ? » . J'ai misé et utilisé une fine mensonge, à propos de ma cicatrice. Pour le rapport que j'avais donné à mon chef le jour de ma reprise du travail, le texte est tout en abrégé qui tient la route et aussi tout en évitant de mentionner les détails concernant mon kidnapping et ma relation avec l'inspecteur Bakugo qui du moins était assez courte à mon goût. Ha~ qu'est-ce qui fait en ce moment ? Une enquête en cours ? Ou ... encore un autre tueur en série, t'être ? Hum... difficile de prévoir.. . Bon ! Voyons voir de quoi le chef veut me voir ... »

Il sort du vestiaire puis se dirige vers le bureau de son chef.

... dans le bureau du chef ...

Il toqua à la porte du bureau du chef. Une voix assez grave retentissant derrière cette porte, annonçant qu'il peut entrer. Une fois à l'intérieur. Dans le grand bureau du chef, bien que l'inspecteur Todoroki, ne sentait pas à l'aise. Avec tout se luxe qui tourne autour du bureau de son chef. L'homme debout près d'une fenêtre. Se met à parler sans se retourner.

Chisaki : Prenez place, inspecteur.
Todoroki : ...

Le chef se retourna enfin vers l'inspecteur. Une main dans sa poche et arpente jusqu'à s'assoir sur son fauteuil fétiche. Annonce une discussion assez pointilleuse.

Chisaki : Notre cher inspecteur. Vous vous demandiez pourquoi je vous fait venir ici et à cette heure-ci. Je présume ?

« J'ai eut un doute au départ. Mais va savoir si ce doute est correcte.. »

Todoroki : Non, bien sûr que non. Chef Chisaki.
Chisaki : Fort bien, fort bien. Hum ... allons droit au but. Inspecteur. Dans votre rapport concernant le tueur. J'ai effectivement vu ou plutôt relut. Et il me semblerait que dans votre rapport, vous ne dévoilez pas tout. Est-ce que je me trompe, inspecteur ?

Un amour à travers la jalousie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant