Les Paroles du Cœur (Tome 2)

Chapitre 42 : Awake and Alive

Les Yigas avaient posé le genoux à terre, épuisé. Leur ancien chef en second n'avais absolument rien perdu de toute sa superbe ces derniers mois, pire il semblait même s'être encore renforcé grâce à des sorts Sheikah. C'était à n'y rien comprendre pour les troupes Yigas, depuis le début de ce conflit, tout changeait à une vitesse hallucinante, ils étaient tous perdu.

L'ancien chef de troupe, un Yigas âgé baissa piteusement la tête, vaincu et humilié, un homme contre quarante.

-Maitre Sogga... faîtes ce que vous avez à faire, mais faites le vite je vous en conjure. Cette humiliation est déjà trop grave.

En temps normal, les Yigas aurait immédiatement battu en retraite ou aurait contredit leur chef, mais face à l'épéiste les ayant un jour commandé, ils savaient qu'ils n'auraient jamais aucune chance. Le sbire massif de Paya s'avança, les sabres toujours aux clairs, il regardait ses adversaires vaincu.

-N'ayez crainte mes frères, je ne vous tuerait pas si vous accédez à ma requête.

Ils relevèrent immédiatement la tête, des murmures surpris parvint aux oreilles de Sogga.

-Mais...Nous croyons que...enfin vous nous avez dit que...

Sogga rangea ses armes dans leurs fourreau.

-Les objectif de ma maîtresse sont ce qu'ils sont. Mais en attendant, je vous offre une ultime chance de survie. Dois-je en conclure que vous n'allez pas la saisir ?

Son ton s'était fait menaçant sur la fin, les Yigas déglutirent avant de hocher la tête avec précipitation.

-Si, si. Si bien sûr. Que devons-nous faire ?

Demanda le capitaine des troupes qui, malgré l'humiliation dont il venait d'être victime avec ses hommes, voulais encore s'accrocher à la vie.
Suppa leur pointa l'immense montagne semblable à un immense mur qui séparait le Désert Gerudo de la Plaine d'Hyrule.

-Rendez-vous tout la haut, vous y trouverez d'autres Yigas en compagnie de l'un de mes compagnon. Je veux que vous restiez avec lui.

Il y eu un très long silence durant lequel les Yigas observèrent Sogga avec désarroi. C'était tout ? C'était tout ce qu'ils avaient à faire pour rester en vie ? Le sabreur sembla s'impatienter de plus en plus et finit par les pressées assez violement. Quand enfin ils eurent détaler, le serviteur de Paya se permis de souffler de soulagement.

-Prions pour que votre plan fonctionne Dame Paya.

Murmura t'il avant de disparaitre soudainement de la place qu'il occupait, se rendant à vitesse grand V jusqu'à sa prochaine mission. Les choses allaient devenir sérieuse.

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Les morts massacré étaient impitoyablement piétiner par les deux guerriers noirs à mesure qu'ils avançaient. Ils étaient surprenamment synchroniser, c'était bien la première fois dans toute l'histoire d'Hyrule qu'un Lynel et un humain combattait ensemble, presque main dans la main.

L'humain des deux, après avoir tranché de son immense épée plusieurs mort-vivant, pris appuie sur son camarade et sauta au dessus de ce qui restait des lignes adverse.

-Je te les laisse !

Dit-il à son compagnon en s'élançant sur les Lynels qui s'étaient rassemblés entre lui et le puit. Ils avaient tirés leurs armes au clairs et le mettaient désormais en joue ce que remarqua bien vite le porteur de l'épée colossal.

-Merde !

Il positionna son épée face à lui et se stoppa alors même que les flèches de foudre était décochez dans sa direction. Il se mits en mouvement et planta sa lame dans le sol, fissurant une dalle de pierre de par sa force surhumaine avant de s'abriter derrière. Les flèches ricochèrent sur l'épée indestructible tandis que l'électricité de ces dernières se firent conduire par le métal de l'arme jusqu'au sol, il eut le bon réflexe de la lâcher. Le guerrier en armure pesta en entendant le bruit de nouvelles flèches sur le point d'être bander, il fallait les contrer et vite. Il abattit avec force son poing sur le sol, le Colisée entier en trembla tandis que le sol se fissurait, puis il en extirpa une énorme roche qu'il envoya directement sur les Lynels.
Les créatures écarquillèrent les yeux et se baissèrent pour l'éviter, la surprise les empêcha de voir l'individu qui trancha le tête de deux des huits Lynels d'un seul coup.
Ils rugirent, furieux de découvrir l'existence d'un autre humain (oui, les Lynels arrivaient à faire la différence à l'odeur) capable de les combattre avec autant de faciliter. L'un deux dégaina son épée et son bouclier et se jeta sur lui alors même qu'il reprenait son équilibre.