Aria est la suite de Maze, si vous n'avez pas lu le premier tome, vous risquez de ne pas tout comprendre malheureusement... Mais rien ne vous empêche de lire Maze 😉.
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Kidnappée, séquestrée et contrainte d'ob...
Aujourd'hui c'est jour de fête !🥳 Vous avez fait passer les 20k de lectures sur ce tome... 🤗🙏🏼
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Honnêtement j'en reviens pas, et c'est grâce à vous...
Alors pour vous remercier je vous laisse avec la suite ...
On se retrouve à la fin du chapitre, bisous 😘 My little Angels.
XoXo Stormy ❤️
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Aria
Je me réveillais dans la pénombre, sous une énorme couverture. Le ciel mauve à l'extérieur m'indiquait que le temps avait filé et qu'il ne tarderait pas à faire nuit.
Apparemment j'avais dormi plusieurs heures, encore totalement déphasée de cette sieste, je tâtonnais doucement dans mon dos, ne trouvant que le froid des draps.
En me retournant, je frottais doucement mes yeux, et à la place de mon tourmenteur, je vis un énorme bouquet de roses rouge.
Me redressant sur un coude, j'admirais avec un immense sourire aux lèvres, la centaine de fleurs d'un rouge vif, étalées devant moi. C'était la première fois qu'on m'offrait des fleurs.
- Mazeeee???
Je helais son prénom, mais seul le silence me répondit.
Il était parti.
À cette constatation, mon cœur se serra dans ma cage thoracique. J'avais envie de pleurer, et peinais à retenir mes larmes.
J'aurais vraiment voulu lui dire au-revoir.
J'attrapais mon téléphone sur la table de chevet pour vérifier l'heure, d'ailleurs c'était étrange je ne me souvenais pas de l'avoir mis en charge.
Mais un nouveau sourire béat se dessina immédiatement sur mon visage quand l'écran s'alluma. Je souriais sans pouvoir m'en empêcher.
Une photo trônait en nouveau fond d'écran: moi en train de dormir et mon tourmenteur dans mon dos, un sourire en coin qui aurait facilement le pouvoir d'embrasser pas mal de petites culottes, alors qu'il embrassait ma tempe.
Mon dieu, j'avais dormi tellement profondément que je n'avais rien calculé. Je priais intérieurement pour ne pas avoir ronfler.
Dix-neuf heures douze.
Il fallait que je me lève, j'allais rejoindre la salle de bain attenante à sa chambre, quand je remarquais un mot, plier en deux sous le gigantesque bouquet.
