ARIA Tome 2

Chapitre 42: La fin...

Coucou ☺️

Enfin on y est 🎉

Bon le titre veut tout dire,
dernier chapitre et
j'espère qu'il vous donnera satisfaction...❣️

J'ai bossé dur sur celui-ci.

Prévoyez un peu de temps,🕗
il est plus long que d'habitude.

Alors si vous êtes prêts à embarquer 🫡, je vous souhaite bon voyage...

On se retrouve à la fin pour vos avis... 🤗

XoXo Stormy ❤️

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⚠️🔞⚠️

Maze

- Rassures moi, tu n'amène pas toutes les avocates que tu croises dans ta...

Je fis taire Mon ange, en scellant ma bouche à la sienne, sitôt la porte du car refermée derrière nous.

Implorant intérieurement tout les saints disponibles à ce moment-là, pour qu'on me laisse profiter de cet instant avec elle.

Putain, elle m'avait tellement manqué.

Ses lèvres aussi douces que dangereusement addictives, me faisaient complètement perdre les pédales. J'en oubliais presque de respirer, me perdant dans son goût, son odeur et tout les sens qu'elle éveillait en moi, à elle seule.

J'agrippais l'une de ses jambes, et malgré ma combinaison, je pouvais sentir la chaleur de sa cuisse nue s'enroulant autour de ma hanche.

Elle gémissait déjà mon prénom en enfonçant sa langue dans ma bouche, ses ongles ripant sur le cuir de ma seconde peau, cherchant désespérément le zip de la fermeture éclair.

Elle lâcha ma bouche un instant, le vert de jade de son regard légèrement noirci par le désir puis une moue boudeuse étira ses lèvres gonflées par nos baisers.

- Tu ferais mieux de l'ouvrir vite! Avant que j'arrache tout! Gronda-t-elle impatiente, en fixant toujours le fameux zip qu'elle n'avait pas réussi à faire glisser.

J'obéissais rapidement, ne souhaitant pas la contrarier plus qu'elle ne l'était déjà et repris ma course de baiser dans son cou, déboutonnant lascivement chaque boutons de son petit chemisier, alors qu'elle tirait à la hâte, de son côté pour passer ses petites mains sous mon tee-shirt.

La douceur de celles-ci sur ma peau et les gémissements qui s'échappaient d'entre nos lèvres, m'électrisaient beaucoup trop.

Comment j'avais pu vivre quinze jours sans elle ?
La vérité était qu'elle m'avait terriblement manqué, bien plus que ce que j'avais pu imaginé avant mon départ pour Vegas.
Et depuis, que je savais enfin ce que je voulais vraiment, être loin de cette femme devenait une torture pour mon âme.

Je ne me fis pas prier pour libérer ses seins de leur prison, ses tétons tendus me suppliaient de m'occuper d'eux. Je m'exécutais aussitôt, en titillant l'un des deux juste assez pour la faire s'impatienter un peu plus.

Et soudain, je me souvins dans l'état que j'étais quelques minutes avant de retrouver ses yeux de jade et je lui donnais un coup de rein avec une légère rancoeur.