Les Soeurs Meurtries. ( En Cours De Modification)

Chapitre 28. Tu n'as rien vu venir avoues ?

Peter ne sait plus où se donner la tête, il marche de façon erratique en prenant ses mains dans sa tête.

- Mon amour, on avait dit qu'on allait s'en occuper.

- Excuse-moi mais votre idée était nulle... mon chéri, je n'ai pas besoin de tout cela, je ferai tout pour vous protéger toi et ta famille.

- Tu ne nous dois rien du tout.

- Ta famille n'était pas obligé d'être gentille avec moi... c'est mon choix, je ne regrette pas.

- Comment tu peux être sûr qu'elle ne te trahira pas ?

- J'ai confiance en elle, aussi bizarre que cela puisse te paraître. Octavia n'a qu'une seule parole, si elle dit qu'elle fera une chose elle le fera.

- Tu n'aurais pas dû, on aurait trouver une  solution.

Callie prend sa main dans la sienne.

- Je suis désolée pour hier soir, je n'aurais pas du laisser cet appel  joué sur mon humeur jusqu'à gâché notre moment..

Peter lui sourit doucement avant d'effleurer son visage de son autre main libre.

- Ne t'en fais pas mon coeur.

-  Et pour me faire pardonner, Ce soir, je t'invite à dîner.

- Où cela ?

- Ça, c'est une surprise.

La jeune femme se lève de son  fauteuil pour lui faire face. À ce soir, dix neuf heures. dit-elle en lui embrassant doucement avant de quitter la terrasse.

Peter esquisse un léger sourit en secouant la tête.

Il se presse d'attraper son téléphone qui sonnait dans sa poche.

Nelly attrape le cadre photo qui était posé sur la table de son bureau à côté de son ordinateur un sourire échappe de ses lèvres en regardant avec tendresse la photo de son père. Une photo qu'elle avait réussi à prendre sur la contrainte. 

- Tu me manques papa.

Elle se presse d'essuyer ses larmes en entendant la voix d'Ella derrière elle.

- Vous allez me manquer mademoiselle.

Elle dépose le cadre dans sa boîte qui était posé sur le bord de table.

- Ella, je t'ai dit que tu pouvais me tutoyer. Tout va bien ?  lui questionna cette dernière inquiété.

- Je voulais te remercier d'avoir insisté pour que ta mère et ta soeur puisse me garder encore ici.

- C'est normal, je ne vois pas qui pourrait te remplacer Ella.

Les deux femmes se prennent dans les bras pour se dire au revoir.

- Je voulais aussi te parler de quelque chose que j'ai entendu.

- Qu'est-ce que c'est ?

- C'est une conversation que j'ai entendu entre ta mère et ta soeur Joyce, elle lui disait où Callie habitait, et a cité ton nom en disant que c'est toi qui lui a donné ces informations. Elle a dit aussi que c'était Callie qui t'ait demandé d'accepter le poste pour découvrir ce qui cachait derrière la mort de Valentin.

- Ella, tu es sûr de ce que tu dis ?

- Je suis sûre.

- Je comprends mieux la motivation de maman pour que je parte de l'entreprise. Joyce ne changera jamais.