24| Come Back

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NDA : je m'excuse pour ce retard, j'ai eu pas mal de boulot et impossible de trouver du temps pour écrire et j'étais crevée mais j'espère que ce chapitre vous plaira.




*Aryha*

J'étais assis sur un transat à l'extérieur maintenant qu'on avait passé un magnifique après-midi ensemble, je m'étais isolé pour découvrir le contenu de cette boite.

J'avais cette appréhension qui me comprimait l'estomac, je l'ouvris doucement, plein de petit objet s'offrit à moi, puis une dizaine de lettres, je continuais à fouiller dans l'espoir de trouver une photo de quiconque, mais rien.

Des noms étaient inscrits sur chaque lettre et toute m'était destiné, il y en avait cinq au nom d'Amy, deux au nom d'Adam, deux au nom de Lyna et un au nom de Henri.

Quelle coïncidence, les deux prénoms inscrits étaient exactement les mêmes que ce de Henri et sa femme.

Pour les cinq lettres au nom de ma mère, une numérotation était présente alors, je pris la première et en l'ouvrant, je constatais que celle-ci était accompagnée de trois photos sur lesquelles laisse apparaitre une magnifique femme.

Brune, les cheveux extrêmement longs, des yeux identiques aux miennes et un sourire étincelant, des larmes emplirent mes yeux, elle était tellement belle, mes doigts caressaient la photo, comme pour m'imprégnait de chaque détail.

Reportant mon attention sur la lettre, je commençais ma lecture.

Ma chère petite Ary,

J'ai tant de chose à te dire que je ne serais pas par où commencer, mais je vais tout simplement m'excuser auprès de toi, car si tu lis cette lettre, c'est que je ne suis plus là et que je ne t'ai pas vu grandir.

Que je n'ai pas survécu à mon accouchement et je suis désolé de te privait de ta mère, je sais ce que cela peut faire, j'ai moi-même était privée d'elle à un certain âge, mais parlons d'autre chose.

Je t'expliquerai plus en détails dans une autre lettre, tu dois avoir dix-huit si ma chère meilleure amie t'a offert cette boite, alors joyeux anniversaire pour toutes les fois où je n'ai pas pu te le souhaitait.

J'espère que ton père n'a pas était trop triste et qu'il a pris soin de toi, il n'avait personne sur qui ce reposé à part moi, j'espère qu'il te comble d'amour et qu'il te montre tous les lieux que nous avons visités.

Qu'il ait fait de toi une grande passionnée de livre comme sa mère, si ce n'est pas le cas, je viendrai lui tirer les oreilles, j'espère qu'il ne m'en veut pas trop lui aussi.

J'espère aussi que les garçons ne font pas trop souffrir ton petit cœur, le mien lui a trop souffert, je ne veux pas que la maladie qui m'a emporté t'atteigne toi aussi, je le souhaite de tout mon cœur.

Mes larmes coulent tellement que je ne voyais plus aucune écriture, il fallait que je me calme, je n'étais qu'à la moitié, mais j'avais déjà envie de me recroqueviller et pleuré toutes les larmes de mon corps.

Comme je ne sais pas si ton père va avoir le courage de te parler de moi, s'il la fait tant mieux, je suis d'origine française par ma mère et anglaise par mon père, j'ai été élever par une nourrice.

J'étais petite et je ne comprenais pas pourquoi, mais c'est quand j'ai appris le décédé de ma mère que j'ai su, elle aussi souffrait d'une maladie cardiaque depuis son jeune âge et avait lutté longtemps, mais cela avait empiré les dix dernières années de sa vie.

Elle ne voulait pas que je grandisse dans une atmosphère pareille et mon père ne connaissait même pas mon existence parce qu'il était contre une grossesse à cause de sa maladie.

For the worstOù les histoires vivent. Découvrez maintenant