4| Persuasion

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*Aryha*

Je prenais tranquillement mon petit déjeuner quand on toque à ma porte, un homme en costume et des infirmiers entre avec lui, je fronçais les sourcils, il me dévisageait un moment.

- Bonjour, y a-t-il un souci, demandais-je.

- Bonjour, désole de faire intrusion dans votre chambre ainsi, mais vous ne pourrait pas rester plus longtemps ici.

- Pourquoi donc ? demande Henri en entrant dans ma chambre.

- Monsieur, dit l'homme pour le saluer.

- Je vous écoute, quel est le problème ?

- Mademoiselle ici présente à était inscrite sur liste noire, elle ne peut bénéficier de plus de soin désolé ce sont les règles.

- Comment ça ? je demande.

- Cet hôpital appartient au Egerton et ils vous ont inscrit sur cette liste, je ne peux rien y faire.

Tout mon corps se figeait, mes tremblements prenaient de l'ampleur, mon cœur palpitait tellement que j'avais l'impression de mourir, je respirais mal, très mal, ce n'était pas la nouvelle qui me perturbe autant, c'était son nom, Egerton.

- Nous irons dans un autre hôpital si celui-ci ne veut pas d'elle.

- C'est bien ça le problème, si ce n'est pas un cas d'urgence comme celui-ci, mademoiselle Finch a été mise sur liste noire sur tous les hôpitaux des alentours et du pays à vrai dire.

- Ce n'est pas possible, c'est révoltant.

- La famille Egerton est puissante, je ne peux rien contre eux, encore toutes mes excuses et tenais une lettre pour vous.

Les infirmiers me donnèrent un calmant, mais pas un de celui qui vous endort, j'étais donc perdu au plus profond de mes pensées, j'étais partagé entre l'envie de rire et de pleurer de vomir même.

Il ne pensait pas qu'ils avaient déjà suffisamment détruit ma vie comme cela, je les détestais tous autant qu'ils étaient. Henri me regardait avec toute la peine du monde, mais tout son corps était tendu et aspirait à la colère, je le comprenais, je ressentais la même chose, je ne pourrais pas me faire soigner.

J'avais reçu les derniers analyse ce matin et ce n'était pas bon signe, mon cœur s'était affaibli avec la presque morte que je m'étais infligé, infarctus du myocarde, mon cœur s'était arrêté.

Je devais à partir prendre un traitement qui coût la peau du cul, excusez mon langage et je devais être plus que vigilante, car j'étais susceptible de refaire un infarctus voir pire un arrêt cardiaque.

Moi qui voulais mourir il y a moins de 48 h cette nouvelle m'avais mis un coup aux morales. Je savais qu'un jour, je mourrais à cause de ma maladie, ce pourquoi j'avais voulu y remédier plus tôt, même ça je n'étais pas capable de le faire.

Je n'osais pas ouvrir la lettre, de peur de voir ce qu'elle contenait, je prenais mon courage à deux mains et l'ouvris. Je lisais les premières lignes et mon estomac se retournait, il n'y avait que quatre lignes, mais elles étaient suffi à me terrifiait.


Petit cœur, oh mon petit cœur.

Je t'avais dit que je te retrouverais, où que tu ailles.

Une librairie, tu peux faire mieux, comme faire la pute c'est mieux payé.

Désolé pour ta maladie, mais je préfère que tu viennes me supplier quand ton

For the worstOù les histoires vivent. Découvrez maintenant