V03 D3MONIV

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Regarde ces gouttes cristallines,
Qui caresse tes pommettes calmement,
Une cascade longue et sanguinolente,
S'échappant de tes yeux écarlate,
Dit toi que c'est un peu de morphine,
Que c'est larmes t'embrasse tendrement,
Contrairement à ton ex à la bite pendante,
Que l'eau séchée feront office de latte,
Se soir tu t'endormiras tard tel Darwin,
Reflet mosaïque, âme détruite sous calmement
Mord ton désespoir comme un sirop-menthe,
Car la vie te l'as mise à quatre patte,
Un jour mort, demain le coeur sous paraffine

Amour en décapitation,
Sous accident cardio vasculaire,
Ame en décomposition,
Lame de peine dans la jugulaire,
Espoir en pleine sodomisation,
Douleur intenable dans la vésicule biliaire,
Être à moitié en réanimation,
Moelle osseuse en cocktail auxiliaire,

Leçon 1
Aime toi sans même capituler,
Ton être devrait être eucharistique,
Humain a tes genoux en position fœtal,
Leçon 2
Raille les disques de leurs voix désabusés,
Eux qui la croiront biblique,
Alors que putain tu est génial,

Regarde alors le katana coincée au tréfonds,
Entre tas peau loin des tes clavicules,
Saignant au compte goutte t'as joix,
De ce fais factuel assassinante,
Cette arme atomique bloqué tous au fond,
Près à dynamité ton être point virgule,
Croyant mais n'ayant plus le choix,
D'être parcellaire d'une mort naissante,
Seulement 21 ans pourtant en trépanation,
Chaque coup mortuaire laisse sans scrupule,
Des entailles panoramique sans texte de loi,
Des blessures presque amortissantes,
Ange a embrasser chacun des ces démons,

Rêve toujours en contaminations,
D'un virus apophysaire,
Vivre chaque jour en convulsion
Épilepsie presque pour parfaire,
Sommeil en voyant rouge d'attention,
Qui tarde chaque nuit à être évangéliaire,
Bonheur mort en précipitation,
21 ans de retard qui pollue mon air,

Sous titrage 1
Maman t'as tabassée minois du garçonnet,
Les séquelles sur ces ailes,
De plumes diamantées de tes coups au sol,
Sous titrage 2
Maman, enfant battu a fini par redresser,
Les lèvres en un V droit vers le ciel,
Paradis d'hormones sous camisole,

Homme maintenant devenu prolifiques,
Câlinant t'as colère au creux de bras bleuté,
Un océan de coup sur cette peau fragmentée,
Pansant chaque failles de son ossature,
A Dany qui a aimé chaque trique,
Elle qui n'as pas su lui dire qu'il été brisé,
Le goût gastronomique d'une vie amochée,
Sur un rhum ambré de c'est filature,
Dieu devenu qui meurt à chaque tic,
De ce carillon au sable déjà bien trop écoulé,
Le corde du temps à laquelle il se balconnets,
T'as mère là pute si t'as vie n'est pas dur,

Mère morte quand bonheur je pe-pom
De c'est lèvres, coupées à chaque cratère,
Être en approbation,
Ejac facial de bonheur prestataire,
Enfance en pls sous mes plafond,
D'une peine commerciale bien trop bancaire,
Maman vie plus je touche le fond,
Au fond rien d'autre que parasitaire,

Épilogue 1
Je suis venu, j'ai subi, je suis vaincu,
Avoir décidé d'être pour pas naître,
J'ai fini par penser mais j'ai jamais été,
Épilogue 2
Le pomme tombe jamais loin disait tu,
Je serai sûrement ce diable du paraître,
Au quel sera cette années vivra son dernier été,

C'est avec un dégoût certain qu'est venu,
Un enfant de lumière devenu obscurantiste,
Quand chaque paroles été chirurgicales,
Embrassant cette douleur abyssale,
Vivant mais pourtant défunt comme prévu,
J'aimerais mes noces funestement prothésiste,
Elle qui sera belle tél mes chacals,
La mort cette belle salope en Cardinale,

J'ai été cet homme,
Casser, fracassé, torturer,
Ce garçon qui se laissait mourir à petit feu,
Qui bouillonnait d'une souffrance mortelle,
Lui déjà partit trop loin dans l'eau delà,
Pour espérer un jour ressuscité,
De voir les anges noyé son apocalypse,
Face à des nuages blanc comme la neige,
Aspirant le CO2 à plein inhalation,
Qui a finit par solitairement d'annihiler,
Mais ce garçon est déjà mort,
Et je vais paraître cruelle,
Mais c'est bien fais pour lui,
Car l'homme d'après,
L'homme qui a soigné les plaies,
A coup de soirée alcoolisée,
Baisera t'as mère et toute t'as descendance,
Passant sur chaque branche biscornu,
D'un arbre généalogique consanguin,
Si tu tape un peu trop fort,
Protège toi,
Ça nous évitera de ne retrouver avec ton Archétype
D'un guosse pourrie gâtée,
Que la mère aurait dû avaler,
Ce qui, dit si vulgairement,
Ne m'empêchera malheureusement pas,
D'aimer chaque parcelle de toi,
Et ceux au début jusqu'à ce que la mort nous sépare,
Mais les rêves sont fais pour les nuits,
Alors à jamais dans les songes,
Malgré la réalité fatal,
Et tu finiras dans le mal,
Et moi le dieu parfait que je devrait être,
Oubli pas cette sombre vérité,
Que pardonner
C'est flageller son ego à coup de « je m'en tape t'es pathétique »...

Proses constanteWhere stories live. Discover now