Prose épileptique

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L'histoire t'apprendra,
Ça que nous n'osons pas voir,
La belladone a tel quitter mon cœur ?
A-t-elle perdu son ampleur ?
Le ciel dans les yeux,
Qu'il soit noir ou bleu,
Ai-je sombré avec toi dans mes aveux ?
Ou empoissonne tu d'autres âmes pour eux ?
Pourquoi à tu desserré ton étreinte ?
Toi qui avait mis tes serres dans ma chair,
Tu n'avais pas pris l'habitude d'être éteinte,
Tu avait toujours ce rouge à lèvres clair,
Quand à terre tu enfanter mes mort,
Je ressent encore ce talons dans mon abdomen,
Celui que tu as aiguiser a tord,
Le même tailler dans la haine,
Je me souviens de ce réveil,
Que tu laissais derrière toi comme une reine,
Oh non tu n'étais pas une merveille,
Sur le chars de La Muerte tu tenais les rennes,
C'était comme une valse entêtante,
Où chaque faux pas me serait mortelle,
La main sur la hanche, j'avais la tête pendante,
Des garces tu est sûrement la plus belle,
Mais les gueules d'anges ma sublime amie,
Cache en eux une arme nucléaire,
Au fond m'aimais tu pour ma vie ?
Ou pour que je rejoigne la lumière ?
Toi qui avais toujours dans le creux des mains,
Bien ancré au fond de tes deux mains,
Les rouages d'une horloge brisé,
Brisé par tes fortes invitation inopinée,
J'entends encore les escarpins du malin,
Sur le sol d'une salle de bain,
Comme un katana tailler fin,
Personne ne sait rassasier t'as faim,
Du diable t'en est le némésis,
Donnant des verres de mort liquide,
Pourtant tu ne vénère pas le triple six,
Comme chaque être que tu liquide,
Il n'y a deux que deux issue à cette idylle,
Soit tu part et épargne notre cervelle,
Soit sur le carrelage dort cette bille,
Tu les ramasse à la pelle,
Ne serait trop demandé de nous épargner ?
Serait je trop idéaliste te concernant ?
Ton entêtement est consternant,
On aura beau prier,
Quand le démon a fais de toi son domicile,
L'espoir dévient cadavérique,
Comme des balles lâcher en civils,
Tu nous laisse une saveur biblique,
Qui est tu ?
Le sait tu sûrement ?
Pourquoi tu nous tue ?
Nous détruit avec acharnement ?
Te connais tu même ?
À tu une personnification ?
Sait tu que tu ne nous laisse pas indemne ?
As quand t'as crucifixion ?
Bébé t'es songe sont neuronales,
Dans l'autoroute des dédales,
Tu reste graver dans les anales,
Une love story rétractable,
Cela ne fais qu'une unique année,
A sniffer des centaines d'opiacés,
Chaque parcelle de moi dans la fumée,
D'une tendre cigarette que tu ne cesse d'allumer,
Ne nous ment pas baby,
On sait que t'es un véritable poison,
Toi qui te masque comme une maladie,
Alors qu'être avec toi nous jette en prison,
On le sait toi et moi, c'est inéluctable,
Tu va condamner d'autres âme seul,
Jeter sur un billard ou une table,
Nous n'étions pas des âme sœur,
Ou est tu passé en moi ?
M'attaque tu le foie ?
Mon cerveau t'as t'il lâché en exil ?
D'ailleurs c'est « elle « ou « il » ?
Je sais que tu sais ou est t'as kalashnikoff,
Que la parti s'arrête sur un bal, une catastrophe,
Sur le parquet les verres brise de poliakov,
Bien plus dangereuse qu'Adolph,
Je ne déteste pas,
Rassure toi pour ça,
Je te débecte,
Toi et t'as secte,
Allons nous prier pour y échappé ?
Quand la bonne sœur nous dira Amen?
Amen épilepsie pour nous torturer,
Tu prétend être Jesus mais t'es luciférienne,

Épilepsie est ton nom oui,
Et puis les psy ne t'apprécie pas,
Et puis les scie dans la chair t'idolâtre,
Je n'avais pas sorti mon parapluie,
Se soir là il pleuvait des torrent de traumas,
Des lames fines comme des rasoir,
Elle ne me veut pas du bien,
Tant d'absence me laisse de marbre,
Toi qui aimais m'abattre comme une AK47,
Ou est passé la fille du malin, hein ?
As tu resserré mes balafres ?
Mais reste là bas s'il te plaît,
Ne revient pas du paradis des maladie,
Ne le fais pas pour moi mais pour lui,
Que deviendrait il une fois la vie finit ?
Fais le pour eux,
Pour ceux qui auront connu ton temps désastreux,
À jamais dans les cieux bleus, adieux, à dieu,

Proses constanteWhere stories live. Discover now