Et puisque rien ne parlait de toi,
Alors que chaque histoire,
Me ramène à la notre,
Celle où chaque nuit était séropositive,
Et voilà enfin ma matraque dans les parois,
Qui brisera notre vie de 100 coup d'un soir,
Détruire notre relation et ces apôtre,
Une auto mutilation trop créative,
(S)ex, la premières fois avec tes yeux,
(Y)oyo, faisait t'es doigts dans ma nuque,
(M)ort subite, à fais mon coeur dans tes bras,
(O)ctogonal, de tes mensonge filandreux,
(N)octurne, d'une pipe finalement trop bien taillé,
Comme quoi les nuages disait vrai,
Sur t'as personne,
Sur mon présent, sur mes névroses,
Un soleil bien trop lumineux,
Qui cache derrière Mona Lisa,
Un succube abbatial,
Mais dis moi qui est tu ?
Préfère tu être le mithraïsme du vrai ?
Personne sonne, appel manqué sur tél-phone,
Embrasse chacune de mes nécroses,
Et je ferai à tous jamais mes adieux
Cupidon avait tord pourtant il tira,
Une désinvolture cruciale,
Tuant mon oxytocine et c'est vertu,
C'est pas toi c'est moi,
Bien sûr que c'est toi,
Car jamais je me ferai subir cette merde,
En repensant que j'avais malgré ça,
Sécher les larmes de celui qui m'en causera,
Quand amour sentiment elles perdent
Je gardais sur les yeux se voile,
Blasphémer pour t'idéaliser,
Alors que ton être était chimérique,
Pourtant je voyais l'ange du début,
Celui qui aimer mes pupilles, loyales,
Celui qui prit dans ces mains mon coeur imbibé,
5% de globules rouges 100% idylliques,
Une overdose de cul mis à nue,
Je croyais que tu était bon,
Que jamais tu me ferait de mal,
Que tu m'aimais tendrement,
Que les roses sentait comme du Givenchy,
Coeur cellulaire derrière barreau de prison,
En oubliant que tu es un mâle,
Tu respire l'air comme un « tu ment »,
Aimer seulement ton être cet anarchie,
Et c'est quand la nuit se lève,
Que j'ai jamais vue aussi clair,
Toi qui m'avait ouvert les portes du paradis,
Regarda l'homme que tu « aimer »
Sombrer dans ton enfer,
Un résumé de mot pour t'expliquer,
Que tu mourra comme tous ça est né,
Regard,
206,
Yeux,
Croiser,
Amour,
Parole,
Parent,
Schlass,
Mensonge,
Tromperie,
L'ange de la haine dans le regard,
Un chargeur de balle en ayant 206,
Vérité revolver dans le reflet de mes yeux,
La mort amoroso qu'on a fini par croiser,
Toi qui m'a Droguer d'un fake amour,
8 eme merveille du monde était t'es paroles,
La vérité poudreuse cocaïnée a tes parents,
Cupidon me tua de son putain de schlass,
La foudre percutante de chacun de tes mensonges,
Le parfum amer d'une fac-similés à la tromperie,
Alors baise, SEX,
Avec moi, ME,
Et toi, YOU,
Sur notre, ON,
Nécromanie, NECROMANIA
C'est ce qu'on c'était pourtant dit,
Mais je le vois autrement aujourd'hui,
Car parmi nous un seul SEX,
L'amour pour toi c'est fait baiser,
Et il n'y a plus de ME and YOU,
Parce que ma bite sera plus jamais sûr ON,
En offline d'un corps qui a fini par la dégoûter,
Une NECROMANIA pornographique,
Et finalement je l'ai fais,
Un texte qui parle de notre histoire,
Je pensais en être le scénariste,
Mais t'as décidé de partir en improvisation,
Tu c'est le mal de ce que tu as fais,
Du platine profané de notre histoire,
Qui restera dans ta gorge comme prophétise,
L'histoire qui saignera sur toi les répercussions,
Entre toi et moi finalement:
(A)mour,
(X)énomorphe,
(E)clesiastement,
(L)ibertin,
Albiceleste sur du ARKHAM ANTHEM !
