Les années se sont écoulé,
Bon nombre de larmes que j'ai verser,
Préparer vous le temps est bon,
C'est l'heure de ma résurrection,Et oui j'ai fini par apprendre des erreurs,
J'ai fini par embrasser mon reflet,
Chacun des petit diablotins que je voulais chasser,
A vrai dire je n'ai plus peur,
De dire à quelle point ça a été dur de m'aimer,
Mais j'ai pas réussi à le réaliser,Bien trop tard le soir comme à chaque fois,
Bien trop de peine que j'ai dû soigner,
Je chercher même à être aimer,
Alors que mon âme sœur cette fois,
Et de l'autre côté du miroir sans même y songer,
Lui qui a chaque fois me regarder,Il à pris les plus beau coup,
Et les a retranscrits sur le verre polie,
A briser en fracas mosaïque la glace,
Et alors que je ne my attendais pas du tous,
A traverser ce miroir, et c'est ma place qu'il a pris,
Celle qui lui était destiné, c'était sa place,Il m'a pris dans ces bras,
M'a emmitouflée dans c'est plumes blanches,
Et ma généreusement tranché la gorge,
Je pouvais plus tomber aussi bas,
Car je m'étais déjà bien abîmé les phalanges,
Et ma colère part comme s'envole un rouge-gorge,Il m'as rendu meilleur en me tuant,
Il m'a libéré de péché et de trauma,
Il m'as regardé droit dans les yeux,
Et il m'as dit avec une voix d'enfant,
« Tu verra demain tout ira »
« Ne pleure plus tu as de si beaux yeux »C'est celui qui écrivait pour oublier,
Des mots des fois bien trop gore,
Des phrase véridique mais tranchante,
Alors qu'en fait il chercher à s'en rappeler,
Pour s'en souvenir encore,
Qu'il sera pas là sans les revanche,Souviens toi à qui tu donne,
Car c'est souvent eux qui te lâche,
Plus aucun impact sur ma carrosserie,
Je voulais plus pleuré pour les bonnes,
A l'époque où le soleil était derrière les nuages,
Je les aient chassé avec des partitions de cérémonie,Quand je repense à toutes les larmes,
Qui, s'il avaient été des diamants,
M'aurait donné richesse et fortune,
Mais j'ai dû prendre les armes,
Pour abattre les souvenir de maman,
Et le faire sans même garder une rancune,Je vis comme un americano,
Heureux comme escobar Pablo,
Rayant la toile de mes peine comme Picasso,
Beau comme Bloom Orlando,
La joie en intraveineuse comme Damso,
Sur une douce air latino,Pour apprendre à vivre j'ai dû apprendre à mourir,
Tant de version de moi même qui ont dû périr,
Dans les déflagrations qui on voulu me nuire,
De toutes ces fois où j'ai voulue en finir,
De mes douleur désormais je préfère en rire,
Car ça ne les fera pas fuir,Et le miroir cassé comme un pull en ouate,
Les peurs comme les mains moites,
Vivant sur un fil désinvolte de watt,
Je les ai eu une par une comme un cerveau croate,
Les émotions négatives maintenant je l'es doigtes,
Des Pokémon oublié comme whattouat,Parce que j'ai pas enterré la hache de guerre,
Mes ennemis sont déjà tous à terre,
Je n'ai même pas eu quelque chose à faire,
Ils se sont descendu tous seul pour pas me déplaire,
Ils étaient finalement un peu suicidaire,
Ma carapace en or aux pointes en fer,Certes j'ai connu la hess,
Dans ces jours où personne répondait à mes sos,
Et la vie m'a dicté cette leçon avec tendresse,
Toutes les chiennes doivent être tenu en laisse,
Ça sert à rien de faire le mec de la tess,
Quand la moindre chose que je dis ou fais te blesse,J'ai pas attendu les roses pour avoir les épines,
Ni pour raturer les feuilles de ma plume fines,
Et je sais que personne lira ces lignes,
Alors si t'as lu ceci répond moi « paraffine»
Pour que les dégâts soit minimes,
Mes émotions sont un peu borderline,Je sais pas où se jauge mes limites,
Dans le bonheur et la colère ça se mythe,
Chaque fois j'en fais trop ça m'élimine,
Jen Oublie que je suis épileptique,
Après tu t'en est pris à moi et mes amis,
Alors que tu dit tenir à t'as vie,Alors si tu veux vraiment le savoir,
Quand je suis loin de toi,
Je suis plus heureux que jamais,
J'aimerais mieux te le dire ou te l'expliquer,
J'aurais préféré que ce ne soit pas vrai,
Laisse moi 2 ou 3 jour pour te l'écrire,Dans mon corps règne un cercueils,
Ces là où toutes les versions de moi même meurt,
C'est là où je puisent mon bonheur,
Mon coeur et devenu un vrai recueil,
Fais attention si tu t'y heurte,
Car sinon demain les flic y verront ton corps...