Enfant je rêvais,
Aujourd'hui j'idéalisai,
Demain je réaliserai,Et c'est quand le soleil se couche,
Que Morphée me prend dans ses bras,
Pourtant petit j'étais dans la platitude,
J'avais en tête cette vie calme et ennuyante,
École, jeux enfantin, sommeil enivrant,
Et c'est à la maison que je jouer,
Aux pères de famille soucieux,
A la maîtresse maternelle,
Au comptable d'un pays imaginaire,
Des jeux que peu d'enfants avait,
Des jeu, d'adultes,
J'étais libérer seulement au crépuscule,
Sûrement pour ça que je préfère vivre de nuit,
Car la bas mes démons ne me suivent pas,
Car en c'est lieux je suis qui je suis,
Et pas celui qu'ils ont façonné,
En créant cette dure réalité,
Une massue un guide d'épée,
Au fil bien trop esquinté,
Un Damoclès au talon écorché,
La nuit je sniffer les rêves,
Des rails de fantaisie utopique,
Pour un garçon à la gueule peter,
Le soir je vivais sous cortisone,
Oubliant juste cette pauvre conne,
Cette pute anarchiste qui m'avait détruite,
Fuyant ça réalité,
S'en délaissant sur moi,
Alors que je n'avais que 8 ans,Seulement aujourd'hui j'ai idéalisé,
J'ai mis un mot sur l'océan de ma peau,
Sur les tranchées triomphalement miennes,
D'un coeur mitraillé par la vie,
D'une âme qui a atteinte son âge d'or,
Atteignant les noces de platine,
Et plus que jamais je vis,
Regardant le monde tel qu'il est,
Avec ce lapis-lazuli dans les pupilles,
Ou chaque larmes verser été des diamants,
Qui ont créer la richesse que j'ai,
Pas une richesse physique,
Une richesse qu'un coffre serait détenir,
Qu'une banque serait sécurisée,
Qu'un dieu en serait que contrefactrice,
Et je le dit sans même en avoir peur,
J'aime la vie, j'aime mon monde,
Même si il c'est montré tortueux avec moi,
A chaque balle dans la cage thoracique,
Je n'ai jamais cessé de me relever,
En battant, en vibrant mon coeur,
De coup en stéréo sur des enceintes idylliques,
Et à chaque plumes arraché,
J'ai toujours continué à les déployer,
Et même sans les plumes je volerais,
Car le ciel est toujours plus beau d'en haut,
Et le soleil brille plus fort derrière les rempart,Si j'en suis là c'est grâce a toute les personnes,
Toutes celles qui m'ont côtoyé,
Bonne ou mauvaise,
Qui m'ont donné le courage de voguer,
Même quand la tempête soufflait,
La vie,
C'est naître en ayant un rêve,
Vivre le jour j,
En atteignant son but,
Sa satisfaction,
Sa plénitude,
Demain c'est l'idéaliser,
Comprenant qu'il sera jamais mieux,
Car tu es déjà là meilleur version de toi même,