De la haut voit tu l'idiotie humaine,
Ses frères qui tue par centaines,
Egorge des enfant a ton nom,
Ne nous prend pas pour des cons,Je repense au champs de mon adolescence,
Fleurie d'herbe et de pétunias,
Regarde ce qu'il en est advenu,
C'est une terre d'herpès ou pousse des chrysanthèmes,
Offre leur donc des miroirs assez grand pour contemplé leur ego,
Mais assez petit pour ignorer les autres,
Offre leurs des armes pour qu'ils t'assassine,
Au lieu des mains c'est t'as bouche qu'ils aurait dû clouer,
En est tu fier seulement de ce que tu as créer ?
La femme ne vaut pas mieux qu'un bétail,
Dans un récit ou manger sain est un pêcher capital,
Tu est le serpent sur cet érable,
Tu as rendu le cœur des Hommes avare,
On ne devait pas élire de faux prophètes,
Alors qu'on avait bien commencé par toi,
Allez Ève lève toi,
Fais toi justice à l'arbalète,
Tue cette ange avant qu'il ne te condamne,
Allez Ève révolte toi,
Car il sera bien trop lâche pour te reconnaître,
Et embrasse Lilith car Adam te dominera,
Tu voulais qu'ils aime leurs prochain,
Regarde il n'aime que leurs propre lendemain,
Il pleure sur les informations,
Seulement que ça la touche directement,
Seulement quand ça ce passe en France,
Ils aime le prochain d'à côté,
Mais oublie celui d'ailleurs volontiers,
Tu changer l'eau en vin,
Pour noyer tes infériorité dans l'alcool,
T'as changer l'humanité en cerbère,
Et il continue à te donner leurs prières,
Alors que t'as même pas les couilles de venir sur Terre,
T'es bien un bon marionnettiste,
Toi tu préfère dominer dans l'ombre,
Des êtres qui suivent aveuglément,
Plonger dans des marées de cyanure,
Leurs mains trempé du sang des innocents,
Devant des vitres macabres du corps de leurs victimes,
Agenouiller devant t'as croix en position fœtal,
Même Marie pleure à chaude larmes,
Des gouttes acres sur ses joues de marbre,
Face au tyran biblique que tu est devenue,
Alors imagine un peu cette noce funéraire,
Voit tes messes comme elles le sont réellement,
Et voit ta maison habiter par des pedophiles eucharistiques,
À genoux comme des moutons,Quand cessera tu le jeu ?
Quand arrêtera tu le feu ?
Quand admettras tu que manger une pomme n'est pas un crime,
Mais violer un enfant l'est ?
Rabaisser celles qui donne la vie aussi,
Faire de la femme un jouet également,
Si Serpent il y'avait tu en était le joueur de flûte,
Quand accepteras tu que 95 % de tes disciples ne mérite pas le pardon,
Que les plus grand meurtriers de cette terre croyait en toi ?
Que tu n'est qu'un bout de charbon qu'on a émigré au rang de diamant,
Que j'ai plus de force en étant ma propre divinité,
Que même si tu est le seul à pouvoir me juger,
Je montrerai la haut pour te cracher à la gueule,
En espérant que cette fois ci tu tende bien l'autre joue,
Car toute misère et tous pêcher doivent être considéré,
Sauf qu'en ton cas aucune eau benite ne sera les laver,
Bienvenue dans la réalité,
Ou tu est devenu le cancer de l'humanité,