Au fond, je le sais,
Rien n'est plus ce qui était,
Au fond j'espère,
Que chaque nuit soit la dernière,
Mais comment t'oublier,
Comment complètement t'effacer,
Je rêvais de nuits blanches,
De colombes et de pervenches,
Mais mes nuits sont noirs,
Se délecte de ce qui reste d'un espoir,
J'ai des armes au fonds de moi,
Chacune me perce le foie,
Je voulais m'en sortir mais j'y arrive pas,
Car t'as encore trop de moi dans tes bras,
Je voulais t'oublier et tu t'impose,
Là où je cache ma parti morose,
Sourire je peine de plus en plus,
Parce que l'amour nous tue,
A chaque pulsation,
Je pris pour que vienne ma dernière seconde,
Ne vois tu pas le mal que tu m'as fais ?
Tu ferme le yeux pour pas voir comme t'es laid,
Mais je ne t'en veux pas à toi, pardon,
J'en veux à ce cupide cupidon,
Lui qui un après-midi d'été m'as percé,
A rendu mon coeur neuf tous mutilé,
Lui qui m'as fais la plus belles des promesses,
Me mentant avec de tendre caresse,
Les nuits passe et les jours s'estompe,
Je n'ai plus de rêves à part la tombe,
Mais ça ne m'arrêtera pas,
Au non je ne pleurai pas,
Car toute les larmes ont déjà coulé,
Tard le soir devant un ciel étoilé,
Étais je aveuglé par tes belles paroles?
Était-ce le scénario de mon rôle?
J'ai bien plus qu'un sac à dos,
La peine ne s'en va pas decrescendo,
Ça fais des mois que je le tiens en cage,
Les veine frappant sa dorures sage,
Des semaines qu'il creuse pour sortir,
Du sentiment qui l'as fais pâlir,
Deux semestre de saignements,
À promouvoir les mêmes sentiments,
Ce n'est pas de lui que je parle,
Mais belle est bien de mon coeur qui lague,
Qui glitch comme un animatronique,
Lui qui a aimé de façon cosmique,
S'oubliant quand il a penser à toi,
Mourant consciemment sans fin ni loi,
Dépensant des somme d'argent,
Espérant que t'es envie de rester encore longtemps,
Mais à chaque billet dépenser,
Il se cristallisais un peu plus et moisissait,
Il n'est pas fêlé mais complètement éclaté,
J'ai ramassé chacun des morceaux à réparé,
Mais il été plus éparpillé que je le pensais,
Certain morceau dans ma peau se sont ancré,
Comme des papillons sur les pétales,
Mais ils ont le froideur des balles,
Sauf que j'espère que t'es heureux,
Je te le souhaite sincèrement sérieux,
Mais juste ne le sois pas plus qu'avec moi,
C'est égoïste je sais, mais j'en souffre depuis des mois,
Et même si personne n'y croira,
J'ai tellement de mal écrire cela,
Des semaines que je pose des mots,
Sur ce téléphone pour apaiser mes maux,
Des semaines que ce texte est laissé en suspens,
Car j'arrive pas à le terminer cette fois,
Beaucoup diront qu'il faut laisser le temp,
Mais combien de grain reste t'il cette fois,
Dans le sablier coule les grains de mon coeur,
Car il est devenu poussiéreux et ça me fais peur,
Effrayant de voir l'enfant de 8 ans que j'étais,
Lui qui ne voulait simplement qu'être aimer,
A perdu goût à cette mise mort,
N'y crois plus avec l'âge alors,
Ne me donne pas la vie éternel,
J'aimerais juste qu'elle soit belle,
Sans me dire que plus personne ne m'aimera,
Sans savoir que pour ça il est déjà trop tard,
Même mon corps a subit les éclats,
Il a pourri en voyant l'amour prendre du retard,
Le soir ou pleuvait la lune comme autopsiée,
Le soleil m'irradie et mon coeur a brûlé,
Cette flamme qu'il voulait ravivé pour toi,
C'est transformé en une masse informe de magma,
J'aimerai noyer ton souvenir dedans,
Mais c'est comme ci c'était apaisant,
Dit toi que je n'ai même plus assez de pansement,
Ils sont jaunies par le temps,
Jaunâtre de la fumée que tu inhalait,
Quand tu disais que tu m'aimait,
Sauf que la douleur est réelle,
Et les séquelles me traumatise,
T'es pire qu'une drogue au final c'est irréel,
T'as pris mon amour et a juste laissé le prisme,
Je revoit ton corps sur les gars que je drague,
J'ai toujours cette vision barbares,
Et je me sent seul dans cette océan,
Tant l'as pression a prit place au néant,
Les étoiles valse et s'entrechoquent,
Tes alter ego me provoque,
J'ai toujours ton reflet dans le miroir,
Même brisé il est là et me regarde dans le noir,
Je l'ai frappé pour t'oublier,
Mais t'es toujours là comme immunisé,
Il n'y a peut-être plus c'est 38 appels manqué,
Car je ne montre plus quand je suis déprimé,
J'ai le sourire aux lèvres de façon naturelle,
Alors que je scénarise juste pour l'être,
J'ai l'habitude de mètre ce masque lumineux,
Pour avoir l'illusion d'être heureux,
Alors que je suis mort en même temps que nous,
J'aurais pu épouser le méchant loup,
Quand je fume désormais, chaque cigarette,
Une fumée dense de douleur me crie « arrête »,
Ce texte est peut-être juste le plus vrai,
Ce qui explique pourquoi j'ai tant de mal à l'achever,
Mais je voulais juste un prince charmant,
Dirait l'enfant de 8 ans,
Lui qui dessinait des coeur aux lumières vives,
A vue le sien ce noircir de pétrole radioactif,
En ai je toujours au fond de ma poitrine ?
Est-il toujours là malgré qu'il se comprîmes?
As t'il toujours deux ou trois battements ?
Je pense l'avoir sauvé, mais Icarus ment,
Il vous ment car c'est ailes était en cristal,
L'homme a pris la plus hache en métal,
L'homme lui a tranché les plumes argentine,
Et Icarus pleure face aux débris qui s'affine,
Ensuite il a fuit vers l'opéra,
A bu des literons d'ayahuasca,
Pour éponger son taux d'alcoolémie,
Il dira « on peut rester amie »,
Alors qu'il sait qu'il l'aimera encore,
Qu'il le regardera de la même manière a tord,
Qu'il cherchera l'approbation de son coeur,
Même si le sien a déjà dit « à tout à l'heure »,
Et il sortira avec ses amie,
Rira aux éclats, le verre en main qui luit,
Alors que seul chez lui il mourra,
Allongé dans son lit il songera,
A ce qu'il ne va pas chez lui, s'il est fautif,
Oubliant peu à peu le fait qu'il attractif,
Puis il installera des applications,
Même si l'amour lui a déjà donné des leçons,
Il rencontrera des gars malgré la douleur,
Et à chaque départ prématuré de beaux parleurs,
Il prendra un impact de plus dans la tempe,
Il pense se soigner mais fais le contraire,
Il se détruit un peu plus malgré lui,
La balles fine est encore chaude,
Elle s'est coincé dans ses os,
Chaque fêlure éclose à chaque départ,
Est ce que mon coeur gelé,
Finira à jour par décongeler ?
Par ce décongestionner ?
Comment a t'il peut me tuer ?
Comment as t'il pu autant m'aveugler ?
Je pensais juste qu'il m'aimait...