Monsieur le ministre

Evidence

Aziz: pape elle ne bouge pas d'ici. Tu es une gamine toi.

Moi: j'ai des médicaments à prendre tu penses que j'ai le temps de te parler si tu me laisse pas partir j'appelle la presse et je dis qu'on a coucher ensemble.

Lui: tu ne ferai jamais ça.

Moi: tente moi juste pour voir tu sauras qui je suis.

Pape: Aziz il vaudrai mieux...

Lui: je m'en fou appelle.

Il s'approche de moi avant même que je ne réagisse il me porte sur son épaule et rentre avec moi à l'intérieur de la maison.

Moi: LÂCHE MOI TOUT DE SUITE. Ne me touche plus jamais.

Il me laisse descendre. Je né veux pas qu'il me touche, je ne veux plus qu'il m'approche.

Moi: ne me touche plus.

J'essayais de me frotter les bras. Je ne veux plus de lui dans ma vie j'ai trop souffert beaucoup trop pour cet homme ça ne devra plus arriver. J'ai été tellement calme dernièrement je devais me contenir je ne veux plus faire de crise d'angoisse.

Lui: je ne te touche plus c'est bon. Si tu ne veux pas me pardonner écoute moi au moins.

Moi: je n'en ai pas envie.

Lui: on ne fait pas toujours ce qu'on veux. Je n'ai jamais voulu te quitter bébé.

Je le regardais même pas je veux juste partir.

Lui: je te jure que je ne voulais pas tout ce qui s'est passer je suis une grosse merde j'en ai conscience. Mais je t'en prie prend le temps de me pardonner. Je regrette tout ce que j'ai fais.

Moi: si c'est mon pardon, tu es pardonné monsieur le ministre. Mais moi je ne veux plus te voir. Plus passer sur le même chemin que toi. Plus respirer ton odeur. Ça m'étouffe.

Lui: bébé.

Moi: il n'y a pas de bébé, je ne crie plus, tu veux quoi que je me remettes avec toi pas de mariage rien je continue à coucher avec toi. Et puis quoi ? Jusqu'à ce que tu te décides de divorcer. Après m'avoir laisser tomber, briser le coeur comme une malpropre. Tu veux revenir comme une fleur.

Lui: écoute moi s'il te plaît.

Moi: non je t'ai écouter. Tu m'as fait du mal. Beaucoup de mal. J'ai pleurer à cause de toi, je me suis perdue à cause de toi. Tu me manquais tellement que j'ai cru qu'en essayant de me suicider je ne ressentirai plus cette douleur. Et ma famille m'a trouver inerte sur le sol. Je suis rester un mois enfermer. A prendre des anti dépresseurs tu n'étais pas là. Je refuse que tu me refasse du mal. Je t'avais demander une seule chose je t'ai supplier de ne pas m'abandonner. Tu es partis, sans chercher à te retourner et si Babacar n'étais pas venu je serai morte. Donc Abdel Aziz Gueye laisse moi vivre en paix.

Il reste silencieux pendant de longue minutes.

Lui: je t'ai chercher partout pourtant je suis rester des mois à te chercher. Je voulais juste m'excuser.

Moi: aie la conscience tranquille. Et que dieu accueille ton enfant au paradis. C'est tout ce que je peux dire.

Lui: je vais demander à pape de te ramener.

Moi: Enfin.

Je sors pour rejoindre pape.

Aziz: bon anniversaire wurus.

Je le regarde de travers et hoche la tête avant d'entrer dans la voiture.

Pape: je vous amène où Maimouna ?