Moi: Aziz j'ai dit non.
Je cours m'enfermer dans les toilettes.
Ça fait deux jours on a pas bouger de la maison il me fait l'amour tout le temps partout j'ai mal aux fesses je marche comme un pingouin alors que je n'étais même pas vierge.
Non mais Aziz il m'a tout fait payer mes insultes toute mon impolitesse tout. J'ai besoin d'un gros massage car ça ne suffirait qu'à combler la douleur que je ressens. En plus moi je n'ai aucune vergogne limite il fait de moi ce qu'il veut.
Aziz: ok sort je ne te fais rien. On part dîner ce soir.
Moi: je ne te crois pas. Dès que je m'habille tu me déshabille ça n'a plus de sens.
Il éclate de rire en plus il trouve ça drôle. Ça m'énerves.
Aziz: tu es folle sort d'ici je suis ton kilifeu.
Moi: kilifeu du sexe ouais.
Il continuais de rire derrière la porte.
Lui: je te jure je ne te touche pas.
Moi: je vais prendre un bon bain. Reposer mon corps et mes os et après tout ça je prendrais le soin de t'appeler okay.
Lui: fais toi belle vue qu'on part dîner.
Moi: t'inquiète je mettrais un jeans.
Lui:QUOI? NON! Mets une robe bébé.
Moi: non je refuse. Moi mettre une robe la blague. Tu ne parles pas à une enfant.
Lui: prépares toi en tout cas je dois passer des coups de fil.
Je me regarde devant le grand miroir de la salle de bain.
Mon corps n'était que suçons. Ses mains agrippaient mes fesses se voyait. J'étais complètement au Nord. Mon corps n'en pouvaient plus. J'adore ce mec.
Désolé mais Aziz c'est un vrai homme il m'a fait ressentir des choses que je n'avais jamais connu jusque là. Mon corps répondait à ses caresses il adore me titiller.
Mais trois jours no limite c'est malsain.
Je prend mon bain tranquillement. Après m'être maquillé et préparer je le rejoins et le trouve tout beau en costume.
Moi: bonsoir monsieur le ministre.
Il s'approche de moi me prend par les hanches et m'embrasse tendrement.
Lui: tu te sens mieux wurus ?
Moi: oui je vais bien j'irai mieux si je me reposais ce soir.
Il rigole et m'embrasse le front.
Lui: tu es une grosse trouillarde je te jure.
Moi: pas du tout t'abuse trop toi aussi.
Lui: je n'ai rien fait à part explorer la carte de ton globe.
Moi: tu te fous de moi. Tu fais une vengeance là.
Lui: je profites de mon due.
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Monsieur le ministre
AventuraLui: je suis le ministre vous me devez un minimum de respect. Moi: je dois du respect à qui je veux et vous n'êtes personne à mes yeux.