Je venais de finir de travail depuis une heure Aziz m'attendait. Je me suis disputer avec lui donc je ne voulais pas le voir il m'énerve.
Hier soir j'ai reçu un message de Carl. Ce con voulait me revoir et je lui ai répondu que c'était pas possible. Et Aziz a demander pourquoi je n'avais pas bloquer tout ces contacts. J'y pensais même plus donc je ne comprend pas pourquoi il s'énerve. Il pense qu'il peut s'exciter tout le temps à me crier dessus comme si j'étais sa fille alors qu'il me fait l'amour quand il veut. TCHIP.
William: tu vas encore le fuir?
Moi: non je vais y aller.
Will: je n'arrive toujours pas à y croire vous deux je n'ai rien compris.
Moi: un jour je t'expliquerais.
Will: vous êtes très beaux ensemble.
Moi: merci beaucoup Will j'aime vraiment ce type.
Will: ça se sent a des kilomètres.
Moi: bon je vais y aller avant qu'on ne se fâche encore plus.
Je sors dehors et le vis devant sa voiture dans le parking il m'avait trop manqué ça fait trois jours qu'on ne s'est pas vu car il était en voyage.
Il me fait un petit sourire lorsqu'il me voit arriver.
Je m'approche de lui et entouré mes bras autour de sa taille même si on est fâché je veux juste l'embrasser.
Lui: je t'ai manqué ?
Moi: t'es plus fâché?
Lui: je suis toujours fâché.
Moi: tu m'as manqué quand même.
Il rigole.
Il se baisse et pose ses lèvres sur les miennes. Quand il se penche pour m'embrasser le goût de la victoire est plus doux, ses lèvres effleurent les miennes, une fois, une seconde fois puis sa langue s'insère entre mes lèvres et viens caresser la mienne. Il me maintient de dos et m'attire contre lui nos langues se livrent à une guerre mondiale, sa main entre dans mon t-shirt et quand je sens sa mains chaude sur mes reins je gémis contre sa bouche. Je ne voulais pas m'arrêter. Je ne voulais pas que sa bouche s'arrête. Je soupire contre lui lorsqu'il s'arrête.
Lui: putain.
Je voulais l'embrasser encore j'étais dans l'euphorie totale j'ai tellement envie de lui que j'en ai mal au ventre.
Lui: tu me rend complètement fou.
Moi: toi aussi.
Il m'ouvre la portière. Et je rentre dans la voiture.
Moi: on va où?
Lui: on va aller manger chez moi demain soir.
Je te dépose juste aujourd'hui chez toi et je dois aller à un interview.Moi: un interview ?
Lui: oui je penses qu'on va me poser des questions sur toi.
Moi: pourquoi tu penses cela?
Lui: parce que c'est vrai. Ils vont me faire chier avec cela.
Moi: ne t'inquiète pas ça va bien se passé.
Lui: ouais espérons. J'ai parler à ton père d'ailleurs pour le mariage.
Moi: et il a dit quoi ?
Lui: il est ok, j'ai parler à tes frères et à Babacar aussi pour leur demander ta main.
Je lui fait un grand sourire. Je voulais l'embrasser encore.
Lui: si tu m'embrasse à nouveau je te baise tout de suite dans cette voiture je me retiens depuis je ne sais quand ne me provoque pas aujourd'hui.

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Monsieur le ministre
AventuraLui: je suis le ministre vous me devez un minimum de respect. Moi: je dois du respect à qui je veux et vous n'êtes personne à mes yeux.