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- Je vais tomber !
Souleymane - Mais n'importe quoi arrête de crier.
- Fais moi descendre pardon pardon.
Il finit par me faire descendre.
- On va rejoindre les autres ?
Souleymane - Non pourquoi tu veux rejoindre les autres ?
- Je ne sais pas, comme ça.
Souleymane - Non on reste à deux.
On était sur un banc.
On avait maintenant un rituel on allait se poser avec de la nourriture sur un banc et on discutait jusqu'à tard le soir, j'avais l'autorisation de maman car maintenant il venait me récupérer à la maison pour aller en cours.
Souleymane - Tu voulais être avec eux ?
- Non Souleymane c'est bon.
Souleymane - Je vois en plus tu commences à parler avec Sami.
- Mais toi arrête Sou. Dis-je en rigolant. Ça ne marche pas avec moi ton jeu de possession.
Il ne dit rien.
Il était très possessive celui-là, il rigolait mais je savais qu'il préférait que je sois avec lui qu'avec les autres.
- C'est bientôt mon anniversaire.
Souleymane - Ah ouais ?
- Oui, je ne sais pas si je le fête ou pas.
Souleymane - Tu veux faire quoi ?
- Je ne sais pas un truc simple partir à un parc d'attraction.
Souleymane - La foire du trône ?
- Je vais te taper je t'ai dis que je voulais partir à un truc d'idiots ?
Souleymane - Bah gros c'est un parc d'attraction.
- Non, je veux aller à Astérix.
Souleymane - Avec qui ?
- Zara, toi et les garçons c'est tout.
Souleymane - Tu sais très bien que la miss vie de pas parce que son frère voudra pas. '
- Je verrais avec lui.
Souleymane - Comment ça ?
- Bah je sais pas mais bref je veux y aller, je vais voir les places ce soir tu viendras ?
Souleymane - Carré.
- Ok.
Nous continuions à parler de tout et de rien, il me racontait sa vie jusqu'à ce qu'on voit Walid venir vers nous.
Souleymane - Oh non pas lui gros.
Walid - Ferme ta gueule p'tit con.
Ils se tchèques et ensuite il s'assoit à côté de moi.
Walid - Tu dis quoi ?
- Ça va et toi ?
Walid - Ouais maintenant tu calcules que ce noir.
Souleymane - Dit W'Allah que tu es jaloux ?
Walid - Qu'est-ce que tu raconte gros ?
Souleymane - Non je vois tu commences à parler un tas.
Walid - W'Allah que non.
- C'est bon maintenant chut vos W'Allah me font très mal au crâne.
Walid - Mais toi tu es pas musulmane ?
- Non.
Walid - Chrétienne genre ?
- Je ne sais pas j'ai grandis avec deux religions à la maison, mon père est musulman et ma mère chrétienne donc pour le coup je ne sais pas sur quel pied danser.
Walid - Ah gros on t'invite chez nous.
- Une invitation ?
Et de la c'était parti pour un débat, il essayait de me convaincre à suivre sa religion mais cela me fessait plus rire qu'autre chose car lui même n'était pas dans le droit chemin il pensait que j'allais le suivre lui ?
(...)
Ibrahim.
Jonas - Ça va être chaud on sait même pas où il se situe le petit.
Bacary - Je vais demander au p'tit du quartier qui vit là-bas.
On était dans la voiture, j'étais entrain de fumer ma clope en regardant mon téléphone. J'étais revenu du Sud mais j'étais toujours pas rentrer à la maison je devais régler cette histoire avant de rentrer.
Depuis le gymnase, je ne dormais plus je réfléchissais encore et encore comment je pouvais toucher le point sensible d'Ahmed sans pour autant toucher son gosse c'était trop facile je devais faire autre chose.
Ma princesse était maintenant marqué à vie à cause de ce fils de pute.
Bacary - C'est bon.
- Quoi ?
Bacary - Je sais ou il est, démarres Jonas.
Jonas démarre.
- Comment tu sais ?
Bacary - J'ai localiser son téléphone.
Je ne dis plus rien et le trajet se passe dans le silence.
C'était loin le délire , un peu reculée de la ville.
Bacary - C'est pas loin ralentis un peu.
Il se met à ralentir un peu. On regardait un peu partout, je regardais vraiment partout surtout qu'il commençait à se faire tard un peu mais on finit par le voir de dos avec un mec à côté de lui.
- Avance rapide rapide.
Jonas avance et sans que personne s'en rends compte je baisse la vitre rapidement et tire, il était de dos il tombe directement. Je ne voulais pas l'abattre encore une fois c'était trop facile, j'avais viser la jambe pour le déséquilibré et en même temps je tire sur son bras.
J'entends des hurlements, c'était des cries de femme quand il était tonner j'avais vu une fille se mettre au sol avec lui pour vérifier sûrement si il était encore en vie.
Jonas - Gros tu joues à quoi on bouges !
Bacary avance directement.
Bacary - Pourquoi t'es comme ça toi ?
Jonas - C'est bon c'est ce que tu voulais gros.
- Il était pas seul.
Jonas - Ouais on n'a vu ii était avec un mec et une pute.