@Éphémère Production
Maïssa
C'était très bien d'avoir l'envie de détruire sa famille mais il faut maintenant réfléchir correctement afin de ne pas terminer dans un cercueil blanc avant ma majorité mais avec le travail c'était une tâche très difficile mais je ne voulais pas fair face à cette difficulté. Pendant trois mois , je travaillais d'arrache pied pour savoir ce qu'il se passait exactement là-bas, Dylan était devenu le fils prodige d'Ibrahim il lui fessait entièrement confiance d'après les sources de l'autre c'était de base un simple militaire qui vivait encore avec sa famille quand il revenir de mission maintenant c'était le grand fils Traoré.
Il n'avait tellement pas d'honneur qu'on l'appelait fils Traoré cela prouve qu'Ibrahim est juste un malade.
Cela allait trop facile si on allait là-bas, on tire sur tout le monde et puis tour le monde meurt, non trop facile pour nous. Je voulais absolument qu'ils restent tous en vie absolument eux tous mais qu'ils retournent à la case départ, une vie de débauche rempli d'obstacle encore et encore des obstacle.
Donc je réfléchissais comment faire couler Ibrahim et son réseau mais faire ça de loin c'était aussi trop facile pour nous donc nous avons décider de retourner en France même si j'en avais pas envie mais je devais y retrouver voir les vides par moi même et je ne voulais pas laisser mon homme faire le sale boulot pendant que moi je serais ici entrain de crier sur les employés.
Il se fessait tard, je préparais nos affaires pour quelques semaines on partait ce soir, je n'aime pas voyager en journée, il y a un tas de bouchons donc non.
Yeza était entrain de préparer les dernières choses en bas avant qu'on démarre. Quand tout était prêt, je prends nos affaires et puis descends en bas, l'autre s'occupe de tout mettre dans le coffre et ensuite moi je remonte en haut pour prendre le dernier sac qui contenait mes ordinateurs etcétéra.
Je redescends en bas et sors de la maison en fessant attention que tout soit bien carré et ensuite je monte côté passager.
Il finit par démarrer.
- Quand tu sens que tu commences a t'épuiser dis le moi je prendrais le relais.
Il ne dis rien et continue à rouler.
Je prends mon ordinateur et l'allume, je commence à regarder un peu les trucs.
Pour réduire Ibrahim en miette il fallait toucher deux choses : L'argent et sa dignité.
On va sûrement me prendre pour une folle mais je voulais tellement le rendre vulnérable aux yeux de tous , c'était plus qu'une vengeance c'était autre chose.
Quand je vivais encore chez eux, j'écoutais un peu aux portes comme une fille de mon âge je savais que mon père avait plusieurs biens partout un peu France, quelques maisons dans le sud, un duplex au nom de Mayla et d'autres bien qui était au nom d'Alicia.