19- Une bousculade

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Elena, Buenos Aires 

Dans le hall de Start light nous dirigeons vers la sortis quand Elio s'arrête au niveau de la sortie. 

- Quelque chose ne vas pas Elio ? 

- Je suis seulement surprise par la grandeur de ces lieux. 

- Je vois. Nous devrions nous mettre en route. 

- Oui madame. 

Nous hélons un taxi puis nous lui donnons l'adresse de notre hôtel. Nous avons pris la décision pour c'est deux prochain jour de loger dans un hôtel.

Une fois a l'hôtel je me dirige vers ma chambre pose mes affaires. Je saisi mon téléphone. Une notification apparais sur l'écrans de verrouillages. Je le déverrouille. C'est un message de Klaus. 

" De: Klaus 

A:  Elena 

Si tu le souhaite la maison est ouverte. Tu peux t'installer. "

Je pose mon téléphone sur mon lit puis me rend dans le salon. Nous avions payer une suite afin d'avoir chacun notre espace mes une pièce commune. Elio est sur le canapé son téléphone en mains. Je fais le tour des lieu. Puis me dirige vers une fenêtres. Nous sommes en plein centres de Buenos Aires. Cette ville me rend un peu nostalgie. Je contemple la ville me plongeant dans mes pensée. Soudain un migraine me prend puis les même images apparaisse. Qu'est ce que essaie de me dire ma tête mon sang. Je prend pose ma mais sur mon front. 

- Madame tout vas bien ? 

 Je tourne ma tête vers Elio il est a quelque mètre de moi. Son visage affichant un air inquiet. La tête pencher sur le coté. Le yeux plisser. 

- Je vais bien ne t'en fait pas. 

**

 Le reste de l'après midi étais calme. Elio sortis pour découvrir la ville tendis que moi. Je me poser dans ma chambre. Ce qui fut une maigre réussite. Je me réveiller toutes les heures. Avec des peurs. Assis sur le bord de mon lit je regarde par la fenêtre une mains poser sur mon front. Mon passé essaie de me dire quelque chose mais je ne sais pas quoi. Que m'arrive t'il. Des flash de chose qui me semble a la fois familier et étranger m'apparaisse. Mais celle qui reviens s'en cesse. " Ma mère et moi dehors assis sur un banc, dans une sorte de grand jardin. Une femme est assis coter de ma mère tendis que je suis assis sur l'herbe par terre. La brise faisant balancer mes cheveux. Les deux femmes parle. Puis elles lève la tête vers moi elles affiche un grand sourire. Mais ce n'est pas moi qu'elle regarde c'est derrière moi. Puis ce petit garçon qui ne dois pas être beaucoup plus âgée que moi. Qui a un air sérieux. Mais nos regard ce croise il est plus détendus." C'est migraine sont insupportable. Je me rend dans le salon me sers un verre d'eau.  Quand je remarque que la nuit est tombée. Puis La chambre de Elio s'ouvre. 

- Vous êtes enfin réveiller ? J'ai bien crue que vous dormirais jusqu'à demain. 

- Navrée le voyage étais épuisant. 

- Souhaitez vous descendre dîner ? 

- Je j'arrive. Laisse moi récupérais mes affaires. 

Je me rend dans ma chambre récupère mon sac et mon portable. Elio m'attend devant la porte. Nous descendons dans le hall de  l'hôtel.  Nous rendons au restaurant un serveur nous installe a une table. Nous mangions dans le calme est le silence. Elio me raconta des anecdotes. Tanis que moi je disais pas un mots. Je l'écouter. A  la fin du repas. Je décide de monté dans la chambre Elio lui voulais allé au bar. Je me rend dans le hall pour prendre l'ascenseur. Quand on me boscule faisant tomber mon téléphone que j'avais en mains. 

- Vous pouvez pas faire attention ! 

Je récupère mon téléphone puis me tourne vers la personne qui vient de me bosculer. 

- Navrée... oh Elena c'est toi. 

- Sébastian ? 

- Ravie de te revoir. 

 Je suis surpris de le trouver ici. Je regarde autour de moi. Mais il a l'air d'être seul. 

- Je suis navrée t'ai je fais mal. Je ne regardais pas ou j'allais. 

- Ce n'est rien je vous d'excuser mon emportement. 

 Je hoche la tête pris congé je me précipite vers les ascenseurs. Une des cabine s'ouvre. Je m'engouffre dedans.  Je reprend ma respiration puis m'empare me mon téléphone pour regarder l'heure. Il n'est as très tard. A peine vingt est une heure. Une fois a mon étage je rentre dans la suite puis me dirige dans ma chambre. Je m'allonge sur mon lit. Les yeux fixant le plafond. 

Un Amour PerduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant