Un Amour Perdu

33 - regard glacial

Lucas, Université 

Aujourd'hui M. Abberline a  voulus faire participer son neveu a notre cours, car selon lui nous sommes sa classe préférais. Le cours me parais d'un ennuis aujourd'hui. Nous travaillons sur l'oeuvre "Germinal" de Zola. Mais du mal a me concentré Elena m'inquiète elle sembler apeuré l'autre jour. Je dois me montré plus doux encore. 

- MONSIEUR KOURAN ! 

 Ouille M. Abberline crie. En voila une nouvelle. Je le regarde le fixe il me regarde sévèrement. Les autres élèves me regarde. Ils attendent quelque chose de moi ou quoi. Je regarde a nouveau monsieur Abberline il semble très mécontent. 

- Vous m'avez appeler ? 

- En effet. Je vous est poser au moins cinq fois la question. Mais je constate que vous nette pas avec nous monsieur Kouran. Ce qui est surprenant venant de vous. 

- Qu'elle était votre question Monsieur ?  

Je remarque une peu plus loin neveux, si me souviens Elias. Qui me fixe. 

- Je vous demande qu'elle élément vous a plus dans cette oeuvre. Qu'elle est l'analyse de ce texte. 

- Je ne sais pas monsieur, tout le monde murmur et ce regarde les un les autres.

- Vraiment ? 

Je   baisser la tête est de de prendre mon stylos et de le fixer. Je sens le regard de monsieur Abberline. Puis mes yeux lui jette a un regard avant de ce baisser a nouveau vers mon stylos. Il souffle puis reprend son cours.

Pendant l'heure je me tiens a carreau et prend des notes. Je tente de ne plus rêvasser. Puis ma sonnerie arrive. Tout le monde s'empresse de ranger c'est affaires. Moi Je ne range rien. Je le sais que cette fois je vais être le derniers a sortir. Je regarde Monsieur Abberline range c'est copie. Je reste assis sur ma chaise attendant la sanction que je mérite. Il relève la tête puis me fais un demie sourire. Il s'approche de mon bureau. 

- Monsieur Kouran j'aimerais comprendre. En ce moment vous vous détourner du droit chemin ce qui ne vous ressemble pas. Vos autre professeur et moi même nous faisons du soucis. 

- Je suis désolé pour votre cours monsieur. 

- Cela fais deux que tu es mon élève Lucas je ne suis pas idiot. Il a quelque chose qui vous tracasse l'esprit, dit il en montrant sa tête. Avant oui vous aviez des heures absences mais ce n'étais que quelque petit heure la  vous les enchainer. Est ce que vous souhaitez en parler ? 

- Ce n'est que des histoire de famille monsieur. Je vous pris de m'excusez mais je souhaiterais rentrée. 

- Oui reposer vous et revenais en forme. 

Soudain on toqua  a la porte. M.Abberlin et moi nous  retournons. 

- Entrée,  Lance monsieur Abberline. 

La porte s'ouvre. Sur le neveux de mon professeur. Il entre dans la salle de classe. Ce type crois pourvoir entrée comme il veut dans l'école c'est aberrant. Je me lève de ma chaise attrape mon sac. 

- Bonjour mon oncle je suis désolé de vous déranger je ne savais pas que ....

- Ce n'est rien Elias nous avions finis. Mais que fait tu ici. 

- Oh je souhaiter vous présentais cette femme don je vous ai parlé. 

-  Vraiment.