1 mois plus tard - Décembre
PDV KATSUKI BAKUGO
Le jour de la veille de Noël, je suis chez Kirishima, avec Mina, Denki et Hanta. Quand ils sont arrivés, ils ont été très surpris de ma voir, et je les comprends. Mais ils ont agit naturellement presque tout de suite, comme si la rupture entre Eiiro et moi n'avait jamais eu lieu. Actuellement, nous sommes sur le canapé, enfin Denki et Hanta sont par terre, en train de regarder la télé. Le sapin est décoré, les cadeaux dessous. Je ne travaille pas cette semaine, j'ai trimé d'arrache-pied pour sortir mon single de Noël, qui passe d'ailleurs beaucoup dans les rues et même à la télé pendant quelques secondes.
- Ça ne te fait pas bizarre de t'entendre ?, demande Hanta.
- Non, on s'habitue je dirais. Plus jeune je haïssais ça, mais maintenant ça va mieux, je supporte.
- J'aime pas lire mes articles, personnellement, commente Mina.
- Moi non plus, dit Denki en mangeant du pop-coen devant le film que nous suivons à moitié.
- Et toi Hanta, demande Eijiro, la tête sur mes genoux.
- Je travaille comme chef d'équipe, je n'ai pas à me lire ou à m'entendre.C'est vrai que Sero travaille comme chef d'équipe dans une grande boîte. J'oubliais déjà son métier quand je sortais avec Eijiro alors qu'il est intéressant. Je me lève avec Mina pour aller fumer à la fenêtre, ce qui fait râler Kirishima qui était bien installé. Je parle avec elle de tout et de rien, et Denki nous demande d'abréger, le froid de décembre s'engouffrant dans l'appartement.
- Je vais acheter des bières, annonce Eijiro devant le frigo.
- Achète des chips en même temps, Kaminari a tout bouffé, ricane Mina qui venait de s'asseoir.
- D'acc, rit mon copain en partant.Quand il revient, 20 minutes plus tard, son entrée passe inaperçu comme Mina, Hanta et Denki se disputent sur je ne sais quoi. Je cuisine le repas de ce soir quand Eijiro pose le sac de course et passe derrière moi pour m'embrasser dans le cou. Il range les chips dans le placard du bas, et je le sens venir se glisser dans l'écart entre le meuble et mes jambes. Je comprends rapidement ce qu'il a derrière la tête quand il descend ma braguette de pantalon.
- Eijiro, tes amis sont là, chuchotais-je en le regardant.
-T'as juste à ne pas faire de bruit, sourit ce crétin en embrassant mon membre à travers le tissu, ce qui me fait frissonner.
- C'est irrespectueux, on le fera quand ils seront partis..., tentais-je de dire sans grande conviction avec mon membre qui durcit.
- Ça va t'incommoder, et si tu ne veux pas, met moi une pichenette sur le front, dit-il en me regardant.Je réfléchis quelques secondes avant de soupirer, n'ayant pas vraiment envie d'arrêter maintenant. Il sort mon sexe de mon sous-vêtement. Je soupire à nouveau et sers la marquise que j'étais en train d'utiliser quand Eijiro me prend en bouche. Je tente de rester calme en recommençant à cuisiner, bien que mon copain commence à faire des vas-et-viens. Dieu qu'il est bon... Mais le faire alors que ses amis sont là, la veille de Noël, il n'y a bien que lui pour avoir autant d'audace. Il passe sa langue sur mon gland, titille la fente, utilise parfois sa main en essayant d'être le plus silencieux possible. Je retiens bon nombre de gémissements, me mordant le doigt, le dos courbé en avant sous le plaisir. Il continue un moment, me torturant à devoir être silencieux. Ça m'apprendra à être expressif quand on le fait. Hanta, Denki et Mina se disputent toujours, camouflant les petits bruits provenant des succions de la fellation. Puis vient le moment de la délivrance, moment qui fait trembler mes jambes et mordre ma main à sang. Quand Eijiro avale et me sors de sa bouche, je tombe à genoux contre lui, qui sourit à pleine dents.
- Tu as aimé ?, me sourit-il.
- C'est pas la question, dis-je en lui pinçant les joues.
- Aieuuuuh !, pleurniche-t-il en se frottant les joues.Puis je viens écraser chaudement mes lèvres sur les siennes, et me penche pour murmurer à son oreille en remettant mon sexe dans mon pantalon.
- Mais oui, j'ai adoré. Bien que ce soit pervers. Maintenant tu attendras demain matin pour le reste.
Je me relève et passe ma main à l'eau avant de les laver, puis je finis le repas tandis qu'Eijiro met la table, les mains propres aussi. Ce moment devait être le plus sexuellement étrange de ma vie. Mais aussi un des plus mémorables.
PDV EIJIRO KIRISHIMA
Je finis de mettre la table sous les yeux surpris de mes amis, qui ne m'ont pas entendu rentrer pour mon plus grand plaisir. Je n'avais jamais fait ça, une gâterie alors qu'il y a du monde, et c'est assez plaisant de savoir qu'il se retenait de gémir. Je me lèche les lèvres en y repensant, impatient d'être demain matin, tandis que Mina et les autres prennent place. Katsuki met le plat sur la table et je sers tout le monde avant de m'asseoir à mon tour.
- Et donc, des futurs projets, monsieur l'artiste ?, demande Mina au milieu du repas.
- Je ne dirais rien, madame la journaliste.
- Et avec Eijiro ?, demande Denki.
- On n'en a pas reparlé, dis-je simplement.
- Peut-être revivre ensemble ?, demande Katsuki en me regardant.
- C'est une vraie question ?, je demande surpris.
- Oui, c'est le cas.
- Je... Oui, bien sûr, emménage quand tu veux !Katsuki soupire de soulagement et mes, enfin, nos amis nous applaudisse. Je ne pense pas que nous méritons cela, la moitié des affaires du musicien sont déjà chez moi. Le repas se finit dans la joie et la bonne humeur, et Mina, Denki et Hanta rentrent chez eux vers 5 heures du matin. Kat et moi ne tardons pas à rejoindre Morphée.
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Et voilà l'avant-dernier chapitre ! Spicy mais aussi doux avec une jolie demande, j'ai fais un joli combo 😂 Toujours écris en cours hein, sûrement un jour en espagnol ou en philo. Avec une voisine tout aussi impur que moi à côté. Donc aucun risque 🤣 Ça rappelle des souvenirs tout ça ! Prenez soin de vous c'est bientôt les vacances et puisse le sort être favorable à ceux qui ont des examens ! (Filez réviser faites pas l'autruche comme moi) 💕
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Coloc & Music {Kiribaku} [Terminée]
FanfictionKatsuki Bakugo, jeune prodige du piano à 21 ans, enchaîne les récitals et les apparitions publiques. Hautain et sûr de lui, inébranlable et froid, Bakugo interprète pourtant des morceaux d'une tendresse inimaginable de sa part. Eijiro Kirishima, sim...