Louisa
j'étais entrain de marcher dans Clamart , les yeux tremper, à penser à ma vie, ma vie clairement claquer a cette instant.
c'est dur de ce dire que je serais plus avec lui, alors que je passais clairement ma vie avec , j'habitais avec , c'est très dur.
j'étais entrain de marcher quand une voiture s'arrête à coter de moi , je ne m'arrête pas et trace ma route.
une grosse main gantée viens se plaquer violemment contre ma bouche, me faisant presque perdre l'équilibre. Mon premier réflexe est de porter mes mains jusqu'à ma bouche, tentant de retirer cette énorme paume scotchée sur mon visage.
Mais avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, un autre homme s'approche de moi et me bande les yeux, j'essaye de me débattre dans tous les sens, de crier à l'aide, de les mordre, mais je ne pouvais rien faire, les deux hommes avaient beaucoup plus de force que moi et personne n'était présent. Je prie alors pour que quelqu'un me vienne en aide.
Je l'es sent me soulever du sol, mais ayant les yeux bandés, je ne pouvais pas voir où ils m'emmenaient, mais je continue quand même de bouger, crier, pour qu'ils me relâchent.
Ils me font monter dans une voiture, et indique au chauffeur qu'il pouvait démarrer. J'essaye de distinguer, de reconnaître leur voix mais elles étaient , vides, plates, comme si pour eux c'était la routine, de kidnapper des jeunes filles dans la rue.
J'étais à l'arrière d'une voiture, avec des inconnus, tétanisée, tremblante, en pleure parce qu'il venaient de se passer. Je...je ne comprenais rien, je...je ne savais pas ce que je faisais là, ce que me voulait ces gens.
Mon cerveau me hurlait de fuir, d'essayer de me jeter par la fenêtre, de partir par tous les moyens possibles, mais... mais mon corps restait immobile, scotché au dos de la banquette.
Mon cerveau fusait, se faisait des scénarios tous les plus horribles les uns que les autres, je sentais que j'allais mourrir aujourd'hui, ici, dans cette voiture.
J'allais sûrement me faire violer, tuer. je..je...n'en avais aucune idée à vrai dire...
Ma première pensée divagua vers Mathieu, penser à lui doubla mes peurs. je ne pouvais contrôler mon corps, pleurer en silence était juste impossible, alors j'éclata en sanglots. Les voix d'hommes s'arrêtèrent, coupant court à leur conversation que je n'écoutais pas, trop perdue dans ma tête. Je ne les voyais pas, mais je sentais qu'ils me regardaient, peut être que j'avais réussis à gagner leur peine ?!
Je ne sais pas combien de temps nous avons rouler , mais le trajet me parut durée une éternité, sûrement car j'appréhendais dangereusement la suite des événements...
La voiture s'arrêta, elle se gare , les hommes me font descendre de la voiture. J'essaye tant bien que mal de deviner où nous étions à l'aide de mon ouïe, mais c'était beaucoup trop dure sans la vision, alors je l'es suit, sans contester, je devais me faire « petite » pour tenter de protéger ma vie
Les xénons du parking souterrain m'éblouissse lorsqu'ils me retirer le bandeau. Je scruta alors chaque recoin de ce sinistre endroit...
Je me trouvais ligotée à une chaise, poings et pieds liés en plein milieux d'une place de parking.
Aucune voiture n'était présente, ne serait-ce que l'énorme Audi qui venait de me déposer ici.Malgré mes larmes qui flouttaient ma vision, j'examina minutieusement le visage de mes ravisseurs, au cas où je sortais de là saine et sauve. Ils étaient trois, tous faisant près d'1m85, gros bras, épaules carrés, larges dos, armés de la tête aux pieds...autant dire que je n'avais aucune chance si je voulais essayer de m'échapper.
Le trio se trouvait à l'écart de moi, parlant à voix basse, quand un gros bruit se fit retentir dans le parking, l'écho rebondis contre les murs. Je sursauta quand j'entend ce son sourd, ne sachant d'où provenait-il quand je vis une autre grosse voiture s'introduire dans le sous-sol.
La Mercedes se gare juste devant moi, je fixais le pare brise mais je ne pouvait pas apercevoir qui ce soit du à la teinture noire. Les hommes déjà présents se retournèrent alors brusquement, un d'entre eux s'approcha de la portière et l'ouvre.
Un homme en sort, costard cravate, chauve, tatoué un peu partout, forte carrure, chevalières à ses phalanges, on aurait dit qu'il sortait tout droit d'un gang. Plus il s'avançait vers moi, plus ses traits me paraissaient familier, je l'avais déjà vu, je le savais. Mon corps se remit à trembler quand je reconnu son visage...
lui- Tiens tiens...comme on se retrouve Louisa ...
Une sueur chaude traversa tout mon dos au son de sa voix, des images défilèrent dans ma tête: drogue, Lissandro, argent, peur, balle, danger...
L'homme n'était nul autre que... Chico...
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voilà pour le chapitre 48 , l'histoire prend un tout autre tournant 🫤💗
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Impossible.
RomanceMathieu, le meilleur ami de Louisa depuis ces 12ans , essaye de faire changer cette relation , en relation amoureuse , est-ce que qu'il y arrivera? je vous laisse le découvrir 😇