PDV de Sakura
Deux bons jours que je ne voyais plus Sasuke. On vivait dans la même maison et pourtant on aurait dit qu'on était des étrangers. Je mourrais d'envie de le voir. Peut-être avais-je fait quelque chose de mal et qu'il ne voulait pas me voir.
En fait, des milliers de questions résidaient dans ma tête en attente d'une réponse. Avais-je mal fait de vouloir embrasser mon mari ? Encore aujourd'hui lorsque je suis parti lui donner son déjeuner, je ne l'avais pas vu étant aussi occupé que la veille. Et sa secrétaire qui me crachait des mots à la figure soit disant que je perdais mon temps à vouloir le séduire. Mais, c'est mon mari et je le séduis si je le veux, il n'y avais que lui qui pouvait me dire d'arrêter et puis je ne voyais pas par où je le seduisais, pour le moment j'essaye juste de me rapprocher de lui rien de plus. Je mentirais si je disais que ça ne m'avait pas énervé de l'entendre me dire ça. Quelle le dise clairement qu'elle aime son patron, non ?
J'étais assise sur mon lit, perdue dans mes pensées repensant à ce qui s'était passé au bureau ce matin le visage renfrogné lorsque la porte s'ouvrit sur Rena et Sarada.
Rena : désolée de ne pas avoir toquer madame, la petite avait l'air pressée de vous voir.
Moi : ce n'est rien Rena. Alors tu viens me dire bonjour ? Dis-je à l'attention de Sarada en lui tendant mes main.
Elle accourut de ses petits pieds avec un grand mal à monter sur le lit toute seule.
Moi : tu me dis bonjour ? Tu dis bonjour maman ?
Sarada : bonjou.. mama..
Moi : bonjour à toi aussi mon petit cœur. Merci Rena. Repris-je en m'adressant à elle
Sarada : essi..lena...
Elle sourit avant de nous laisser seules en refermant la porte derrière elle.
Moi : ça va bien mon petit amour ?
Sarada : ça..a..bien..mon..tamour.
Je ris en l'entendant essayer de dire les mêmes mots que moi.
Moi : non toi tu dis ça va, dis ça va !
Sarada : ça va.
Moi : oui bravo ! Acclamais-je
Sarada : blavo ! M'imita t'elle
J'éclatais de rire et contre toute attente elle éclata de rire comme moi. Savait elle pourquoi ou de qui je riais ?
Moi : non Sarada c'est brrravo, brrr, brrr, brrrrravo !
Sarada : blllllavo, blll !
Moi : tu sais quoi, laisse tomber c'est pas la peine !
Sarada : pasa peine. Secoua t'elle la tête
Cette petite, qu'est-ce qu'elle est mignonne !
Je riais en la déposant sur mes cuisses. Qu'est-ce qu'elle venait de changer mon humeur, c'est toujours bien quand je suis avec elle.
Moi : je t'aime énormément ma petite chérie si tu savais !
Sarada : t'aime...je..je...mément moi...ssi maman !
Oh elle est trop craquante.
Je la prends dans mes bras pendant un long moment avant de la lâcher et de commencer à m'amuser avec elle. J'essayais aussi de lui apprendre quelques mots de plus, ce qui me faisait marrer tout le temps. C'était tellement mignon quand elle se forçait à dire un mot sans y arriver correctement. On resta ainsi jusqu'à la soirée, maintenant qu'elle marchait assez bien et qu'elle voulait tout savoir, Sarada ne s'endormait pas tôt, pour le faire, il faudrait d'abord qu'elle soit très épuisée. Alors en continuant notre apprentissage, la porte s'ouvrit sur Sasuke.
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Sasusaku : Remariage
Fiksi PenggemarUn père célibataire et une femme médecin célibataire, ça fait la paire non ? Oh non plutôt le trio parfait.