CHAPITRE X

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PDV MEGANE

Je n'arrive pas à croire ce que je suis en train de faire.

Payer deux cent cinquante mille dollars pour toucher le sexe nu, je précise, de ma garde rapprochée.

Mais Megane, sois un minimum raisonnable !

Pourquoi tiens-je tant à vouloir faire ça d'ailleurs ?

Des penis j'en ai déjà vu, même si j'avoue ne jamais être tombée sur un si énorme !

Peut-être est-ce ce qui me pousse à être tant obsédée ?

Ou peut-être parce que est-ce celui d'une femme ?

Bref !

Plus vite c'est fait, moins j'y penserai !

Je me rapproche lentement d'elle et une fois à sa hauteur, je lui demande en alternant mon regard entre le sien et son entrejambe.

-Je peux ?

-C'est quand vous voulez Madame, répond-t-elle calmement.

Je pose doucement ma main sur l'endroit, ce qui nous fait tressallir toutes les deux en même temps.

Je ne sais pas pourquoi à chaque fois que j'y pose la main j'ai cette sensation qui me traverse.

J'imagine déjà le toucher sans les vêtements...

C'est tellement grisant !

Je me mets à doucement le caresser à travers le pantalon.

J'aime la sensation de sentir son sexe se durcir sous mes caresses.

C'est si existant !

Elle laisse échapper un long soupire d'aise, ce qui me conforte dans mes gestes.

-Sortez-le, il commence à me faire mal coincé là-dedans !

Son membre est en pleine érection et j'imagine déjà la taille qu'il doit avoir pris.

Elle se recule jusqu'à s'adosser contre l'immense plan de travail.

Je commence à défaire sa ceinture en ne la quittant pas du regard, un regard brillant, exitant...

Elle est si faible...

Elle doit être une esclave de sexe.

Rien qu'en la regardant dans l'état qu'elle est, me fait mouiller comme une dingue.

C'est fou l'effet que cette fille peut avoir sur moi, même pas en me touchant !

-Arrêtez avec ce regard Madame, dit-elle en détournant le sien.

Ah ce fameux regard !

Il en a fait pâlir plus d'un.

Et même elle, il ne l'a laisse pas indifférente pour mon plus grand plaisir.

Je finis de défaire la ceinture, le bouton et descends la braguette.

J'aperçois l'énorme membres tendue dans un boxer blanc qui le mets tout en valeur.

-Regarde-moi Collins, lui ordonne-je doucement.

Son regard se plante dans le mien. Je ne veux rater pour rien au monde le spectacle qui s'offrira à moi lorsque je lui saisirai sa bête.

Nos regards sombres de désir ancrés l'un dans l'autre, je passe ma main dans son sous-vêtement et touche enfin l'objet de mon excitation, l'objet de mon délire de dépenser deux cent cinquante milles dollars sans réfléchir, l'objet de mes pensées depuis plusieurs semaines.

DILEMMAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant