Comment ne pas se muré dans un silence total si on n'est pas tout le temps sur le qui vive et quand on vit dans la peur d'être à nouveau torturée, battue par différente hommes on n'est plus la même personne on se sans complètement détruite quand on...
Assise dans son siège Vladimir attendait impatiemment sa captive, eh oui c'était le nom approprié car elle était à lui à jamais, elle demeurera toujours avec lui et elle n'ira nulle part.
Chaque jour qui passe il avait encore plus envie de là fait sourire et de là rendre heureuse, peut être que Maria avait raison, ils avaient besoin de s'aider mutuellement car ils étaient tout les deux des âmes blessés mais dans immédiat le cas de la jeune femme était le plus important.
Quelques minutes après il entendit des pas devant lui, il releva la tête et vit la jeune femme belle comme jamais.
Vladimir se levait et lui tirait une chaise, la jeune femme s'installait timidement la tête baissée tout en ce tortillant les doigts.
-Avez vous passez une bonne journée ? Demanda t'il
Elle relevait la tête et la remuait pour lui dire oui.
Sans un mot Vladimir lui servit différents mets avant de déclarer.
-Manger un peu s'il vous plaît, vous avez besoin de force. Continua t'il.
Juliette regardait les mets qu'il avait disposé dans son assiette devant t'elle et subitement elle se rappelait que c'était ce que Jeremy faisait à chaque fois quand il voulait qu'elle satisfait des clients.
Elle se demandait alors si c'était la même scène qui voulait se répété ? Elle ne voulait plus de cette vie, elle voulait s'en défaire.
Sans pouvoir se retenir elle commençait par suffoquer et finis par faire une crise de panique.
Le mafieux se leva à temps pour la rattrapée avant qu'elle tombe de sa chaise et il commençait par lui tapoter la joue tout en là rassurante.
-Juliette regardé moi s'il vous plaît, je ne veux aucun mal je voudrais juste que vous vous nourrissez et Maria vous fera visiter la villa.
Il continuait à la rassuré du mieux qu'il pouvait jusqu'à ce que sa respiration devienne normal.
Les yeux de la jeune femme étaient remplir de larmes, une fois encore ses démons du passé venaient de la tourmenté en plus de ça le regard insistant qu'il a du lui lançait n'arrangerait pas sa situation.
Il avait le visage tout crispé comme si il souffrait, sans aller au bout de ses pensées il l'a réinstallait correctement sur son siège et l'incitait à avalée quelque chose.
Quelques minutes après....
-Dans quelques heures un médecin viendra vous ausculté et si vous avez besoin de quoi que ce soit n'hésitez pas à parler avec Maria. Lui déclarait t'il en quittant précipitamment la table.
Dans la soirée....
-Docteur dites moi tout..
-Monsieur Van Zyl votre femme à beaucoup de blessure physique très endommageant, tout son corps est couvert de blessures. J'ai déjà prescrire des pommades qu'elle pourrait utiliser pour les faire cicatrisées.
Debout devant sa fenêtre Vladimir observait le paysage le visage tendu.
Tout ce qu'il avait retenu dans la phrase du docteur était qu'il avait cru que la jeune femme était sa femme, ça sonnait tellement bien pour lui mais la réalité était tout autre.
-Et que s'est t'il passé avec sa voix. Demanda t'il au médecin.
Le médecin ajustait ses verres de lunettes avant de lui déclarer.
-C'est volontaire.
Vladimir lui jettait un regard incrédule et lui intimait de continuer.
-Elle s'est murée dans cette silence pour se protéger en quelque sorte, je pense que dès qu'elle se sentira en confiance et en sécurité elle pourra de nouveau parler. Je ne sais combien de temps ça prendra mais ça dépendras de comment elle se sent psychologiquement et émotionnellement.
Donc c'était ça ? Il était certains que Jeremy là punissait à chaque fois quand elle s'exprimer alors pour éviter toute punition elle avait finir par se ternir dans le silence pour éviter toute sorte de punition.
-Compris, alors vous me recommandez quoi ?
Le médecin le regardait droit dans les yeux et lui dit.
-Faites en sorte qu'elle se sente bien, protégée, épanouie et surtout qu'elle se sente en sécurité et aimée. Lui dit t'il d'un trait.
Après cette phrase il congédiait le médecin et il se dirigeait vers la chambre de la jeune femme.
Il s'installait à ses côtés et fixait son regard sur elle.
Elle ressemblait à un ange endormie comme ça, elle avait l'air tellement apaiser quand elle dormait mais en réalité elle souffrait énormément, ce qui le préoccupait plus que de raison et il ne comprenait pas pourquoi.
Il se promit alors de faire tout ce qui était en son pouvoir pour lui redonner le sourire et pour la sauver.
Il voulait touché ses cheveux mais se ravisa à la dernière minute et quittait la chambre sans regarder à dernière.
Juliette ouvrir les yeux le cœur battant, elle avait sentir la présence de son geôlier depuis qu'il avait fait son entré dans sa chambre et elle n'arrivait pas à comprendre le pourquoi il se comportait ainsi avec elle.
Trois jours plus tard...
Depuis trois jours Juliette ne sortait plus de sa chambre, ses cauchemars devenaient de plus en plus fréquent ce qui l'empêchait de dormir.
Elle s'était beaucoup rapproché de Maria, elle avait apprit à la connaître et à l'apprécié mais elle n'arrivait toujours pas à parlé.
Aujourd'hui comme d'habitude elle était assise dans son lit entrain de lire un livre car elle aimait beaucoup ça.
Déjà trois jours qu'elle n'avait pas vu son geôlier et elle se demandait si il allait bien sans même savoir la raison.
-Ma fille, viens que je te montre quelque chose. Lui dit Maria en la tirant par la main.
Sous l'effet de la surprise elle faillit tomber ce qui arrachait un sourire à Maria.
-Oh doucement ma chérie. Lui dit t'elle.
Maria l'entraînait dans le jardin et elle ouvrit grands les yeux toute stupéfait.
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Maria se mit à l'écart et Juliette s'avançait vers le gazon près des différents fleurs, elle les touchait en riant de toute ses dents.
Elle aimait beaucoup les fleurs car quand elle était petite elle aimait aider sa mère à faire de la jardinage.
-Alors tu aimes ? Lui demanda Maria.
Elle la regardait les yeux brillants et lui souriait tout en hochant la tête.
Elle commençait alors par courir entre les fleurs tout en émettant un sourire franc et sincère depuis sept ans.
Au bout de quelques minutes elle constatait que quelqu'un était entrain de l'observer, alors elle leva les yeux vers le balcon et vit son geôlier qui la comtemplait comme si elle était la chose qui comptait plus à ses yeux....
