Chapitre 45

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Les larmes lui coulent sans arrêt quand elle vit son soit disant oncle debout au centre de la pièce le corps remplir de sang avec une armes à la main et incapable de prononcer quoi que ce soit car elle était tétanisé par la peur elle ne se contenter que de regarder.

-Ma poupée, n'es tu pas contente de me revoir après tant d'années ?

Elle avait une folle envie de lui craché au visage tellement il l'a dégoûté et son cœur ne faisait que battre de plus en plus vite car elle avait vraiment très peur de lui.

Vladimir je t'en supplie reviens vite. Se dit t'elle intérieurement.

Son oncle commençait par se rapprocher d'elle le visage couvert de sang ce qui lui donner envie de vomir et alors qu'elle voulait lui échapper il lui agrippe fermement les cheveux.

-Où crois tu aller comme ça ? Déclara t'il.

-Lâche moi espèces de monstres. Cria t'elle en se débattant.

Il l'a retourne vers lui et lui donna une bonne gifle ce qui l'a fit tomber, instinctivement elle ressentir une douleur au bas ventre.

Sa première pensait se dirigeait directement vers son enfant et elle priait pour que Vladimir soit bientôt de retour.

-Tu es comme ta mère une pute et une chienne en chaleur. Déclare t'il en l'a rouant de coup.

-Ne parle pas de ma mère comme ça tu m'entends.

Il s'accroupit devant elle et commençait par l'étrangler le visage remplir de haine, Juliette commençait par suffoquer et par avoir du mal à respirer pendant un moment de d'inattention de sa part elle lui mordre le bras avant de prendre la fuite jusqu'au jardin.

-Juliette espèce de chienne je te hais, je te hais comme tes incapables de parents.

Caché dernière un grand arbre elle essaye de reprendre son souffle la main sur le cœur, sa tête lui faisait mal et ses joues étaient en feu.

-Juliette ma poupée où te caches tu ? Chantonnant t'il en tirant des coups de feu en l'air.

Juliette mit ses mains sur les oreilles en pleurant comme une madeleine, cet homme était vraiment un psychopathe très dangereux, elle était dans ses pensées quand elle sentit une arme pointé sur sa tempe.

-Tu essaies de faire quoi ? Dit moi tu pensais gagné du temps afin que ton imbécile de mafieux vienne à ton rescousse ?

Le respiration haletante elle ne pouvait bouger car elle avait peur pour sa vie.

-S'il te plaît laissez-moi m'en aller, tuer mes parents ne t'a pas suffit ?

Il lui lance un regard noir et tirait sur son cuir chevelure afin de l'a fixer droit dans les yeux.

-J'aurais dû en finir avec toi aussi depuis longtemps mais j'ai eu tord de penser que tu pouvais être différent de tes parents mais non je vois à présent que tu es comme eux. S'enquit t'il en l'a poussant parterre.

Juliette eu pour la deuxième fois une grande douleur au bas ventre à cet stade elle risquerait de perdre son enfant même si elle ne savait pas encore de combien de mois elle était enceinte alors elle se couvrir le ventre avec ses mains.

Sans lui laisser le temps de respirer ce monstre prit sa tête qu'il cogna à mainte reprise au sol.

-Pitié, arrêt ça tu vas finir par me tuer. Déclare t'elle à bout.

Sans lui répondre il lui donnait des coups de pieds un peu partout sur le corps et elle criait comme une folle tant la douleur qu'elle ressentait était insupportable.

Quelques minutes après il s'accroupit devant elle un sourire victorieux sur les lèvres.

-Maintenant je suis plus que satisfaire et que ça me fait du bien de savoir que bientôt tu ne seras plus de ce monde...

Juliette se sentait déjà partir tout son corps souffrait atrocement et son seule envie était de mourir pour que tout sa souffrance prenne fin.

Elle sentit son arme sur sa tempe et ouvrir les yeux pour le regarder une dernière fois.

-Ton heure à sonné, tu vas pouvoir rejoindre tes chers parents ma poupée. Déclare t'il le sourire aux lèvres.

Dès qu'elle sentit ses dernières forces l'a lâché elle vit que quelqu'un venait de donner un coup de pied à Félix ce qui le fit lâchait son arme et il tomba un peu plus loin.

Avec un peu d'effort elle vit que Vladimir était là mais ce n'était plus Vladimir l'être humain qui était là mais ça nature monstrueux.

Il avait le visage complément enragé, ensanglanté et haineux comme jamais sans lui jetté un coup d'œil il se dirigea directement vers Félix qui se leva difficilement.

Sans lui laisser le temps de revenir dans la réalité il commençait par lui frapper coup sur coup.

-Comment as tu osé touché à ce qui m'appartient ? Lui demanda Vladimir.

Vladimir le soulève par la suite par le col et le frappa au visage à plusieurs reprises pour lui brisé les mâchoires qui ne cesse de faire du bruit.

-Regarde l'état dans lequel tu l'a mis, tu me le paierai espèce de fumier. Commenta t'il avec une voix qu'elle ne connaissait pas.

******

Il n'arrivait pas à se contrôler et tout son être était rempli de colère et il avait l'impression que même si il le tuer il ne sera pas satisfait.

Il avait laissé libre cours à sa nature monstrueux pour prendre le dessus sur sa nature humain et plus il regardait l'état de la femme qu'il aimait plus son envie de le massacre prenait le dessus sur lui.

Alors il se mit à son niveau et commençait par l'étrangler et en même temps cognant sa tête par terre jusqu'à ce qu'il commence par saigné du nez et par la bouche.

Il avait tellement envie de le torturé et de le faire souffrir mais quand il regarda sa femme il savait qu'il ne pouvait se permettre de perdre du temps.

-Si je meurs ta femme aussi me suivra. Déclare t'il en riant.

Il se leva et tira deux balles dans chacun de ses genoux et Félix émit un crit de douleur ce qui lui faisait un bien fou.

-Ma femme sait que je suis là pour la sauver mais toi qui est là pour te sauver ?

Tout en lui posant cette question Vladimir appuyer ses pieds dans les blessure de son genoux et Félix se mit tout d'un coup à crier de douleur et d'amertume.

-Vlad... Vladimir. L'appella Juliette avec difficulté.

Suite à son appel Vladimir su qu'il était tant d'en finir alors il mit plusieurs balles dans sa tête à un tel point que toute sa tête était déchiqueté.

Tout son visage ainsi que ses vêtements était rempli de sang il était méconnaissable mais sans attendre il courut vers sa femme qui petit à petit était entrain de fermer les yeux.

-Notre... notre bébé.. Déclare t'elle avant de fermer complètement les yeux.

Mienne à jamais Où les histoires vivent. Découvrez maintenant