Installée dans le canapé du salon Juliette était très inquiète pour Vladimir et pour mettre fin à sa panique elle commençait par faire des aller, retour dans le salon.
Elle priait pour que rien ne lui soit arrive car elle avait fini par l'accepté telle qu'il était.
Quelques minutes après elle entendit le bruit de sa voiture et immédiatement elle éteignait la lumière du salon et la plongeait dans le noir.
Elle se mit dernière la porte quand le mafieux ouvrir la porte et alluma la lumière. Une fois la porte refermer, elle émit un crit de peur à sa vue.
Quand ses yeux tombaient sur la jeune femme, Vladimir faillit s'étrangler mais que faisait t'elle là ?
-Retourne te couche immédiatement. Ordonnait t'il à la jeune femme en lui tournant le dos.
Après cette phrase il régnait un silence de mort dans la pièce avant que la jeune femme en décider autrement.
Elle se mit devant lui une fois la peur passé.
-Regarde moi dans les yeux Vladimir. Dit t'elle fermement.
Vladimir serrait les mâchoires, c'était la dernière chose qu'il voulait et il ne voulait pas qu'elle le voit dans cet état.
-Pourquoi tu te cache de toi. Continuait t'elle.
-Pour ne pas voir cette peur que je vois dans tes yeux. Répondit t'il froidement.
Elle releva sa main pour caresser son visage, ce qu'il refusa en s'éloignant.
-Laisse moi te toucher le visage Van Zyl. Dit t'elle d'une voix implacable.
Ce que ressentait Juliette était un mélange de peur et d'un autre côté un sentiment plus puissante.
L'homme qu'elle voyait tout les jours était différent de celui qui se tenait à présent devant elle.
Le mafieux était méconnaissable avec les vêtements tâches et les mains ensanglanté. Il avait fait ressortir sa nature monstrueux et apparemment il ne voulait pas qu'elle le voir ainsi sûrement parce qu'il l'a trouvait trop fragile, trop jeune et comme une sainte nitouche. Mais ce qu'il ignorait était qu'elle n'avait pas peur de le voir dans sa nature monstrueux, elle avait déjà subir tellement de chose horrible et avait déjà vécu dans la cruauté humaine que souffrir était devenue une habitude pour elle.
Sa conscience lui dictait de s'enfuit loin de cet homme dangereux car il n'était pas faite pour elle mais une chose plus puissante l'a poussait à se rapprocher de lui et à s'intégré dans son monde obscure. En plus elle avait un désir vorace de lui venir en aide pour qu'il puisse connaître la paix du cœur, elle voulait l'aider comme lui même le faisait avec elle.
Pour cela elle avait décidé de ne plus avoir peur de lui, d'apprendre à mieux le connaître et de passer étape par étape pour pouvoir l'aider à avancer dans la vie.
-Va prendre un bain pendant ce temps je vais te faire un café chaud. Dit t'elle.
Le mafieux l'a fixait avec un regard hésitant et elle lui souriait tendrement afin de l'inciter à lui obéir
Il montait les escaliers pour se rendre dans sa chambre et elle en profitait pour lui prépare son café comme il aimait.
Quelques minutes après elle le vit descendre les escaliers seulement vêtu d'un bas de jogging, en le voyant torse nu des bouffées de chaleur lui montaient aux joues, elle le trouvait tellement beau et séduisant chaque jour qui passait.
Il s'installait devant elle égal à lui même a présent qu'elle voyait le mafieux dans sa nature humaine et disons qu'elle était impressionné par son self contrôle.
Juliette prit un grand inspiration avant de lui demander ce qui s'était passé.
-Que s'est t'il passé ?
Vladimir essayait de sonder la jeune femme mais en vain il n'arrivait pas à comprendre le pourquoi elle était toujours devant lui sereine alors qu'elle aurait dû prendre ses jambes à son cou.
Avant de répondre à sa question il prit une gorgé de café et là fixait droit dans les yeux.
-J'ai encore tuer ce soir. Déclare t'il comme si s'était une chose normal.
-Combien de personnes ? Et pourquoi ? Demanda la jeune femme sans crainte et tout en soutenant son regard.
-Je ne pourrai te dire le nombre exact mais j'ai pu finir avec celui que je visais. Dit Vladimir à la jeune femme le visage rembrunir.
Elle mordait les lèvres dans un geste innocent ce qui l'a rendait de plus en plus sensuelle.
-Je voulais en finir avec le cerveau qui était à la tête du trafic de petites filles mais à mon plus grand étonnement celui que j'ai tuer était juste son bras droit et il avait refusé de me donner le nom de ce monstre qui tuait des petites filles. Disait t'il avec une haine profond.
La jeune femme devant lui était tétanisé par cette révélation, ça lui faisait froid dans le dos.
Face à son silence le mafieux continuait.
-Tu te souviens de la petite fille que j'avais sauvé ?
Elle opinait de la tête et il continuait toujours avec froideur.
-C'était le trafic d'être humain notamment pour les petites filles.
Horrifié elle répondit.
-Mais c'est vraiment horrible, qu'elle cruauté.
-Ça fait déjà plusieurs mois que Marx était sur leur piste, hier il m'avait informé de leur opération raison pour laquelle m'étais rendu sur le lieu et ce que j'avais vu m'avait mis hors de moi. Déclare t'il avec rage.
Pour la première fois Juliette était heureuse de savoir qu'il s'était débarrasser de ses pourriture à temps car ils méritaient amplement la mort.
-Tu avais vu quoi ? Demandait t'elle les lèvres tremblante.
Le mafieux se levait avec rage et lui tournait le dos.
-Ils étaient entrain d'embarque des petites filles et leurs mère dans des camions, elles étaient blessés de partout, maltraitées et détruite, ce qui m'avait plus mis en fureur était que les enfantes n'étaient que des petites filles qui n'avait même pas 3 ans. Déclara t'il avec une voix brisé.
Juliette observait Vladimir de dos et elle remarquait que son dos était crispé, il souffrait car ses petites filles lui rappelait sa sœur raison pour laquelle il était si affecté.
-Tu crois vraiment qu'il n'était pas le boss ? Demanda t'elle.
Il hochait de la tête pour dire oui avant de se retourner ver elle.
Il avait le visage tourmenté, Juliette pour le consoler et pour lui faire savoir qu'elle était là pour lui se levait, de ses minuscule bras entouraient la taille de Vladimir.
Ce dernier prit du temps avant de l'a serré dans ses bras tout en humant son odeur...
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Mienne à jamais
RomansaComment ne pas se muré dans un silence total si on n'est pas tout le temps sur le qui vive et quand on vit dans la peur d'être à nouveau torturée, battue par différente hommes on n'est plus la même personne on se sans complètement détruite quand on...