Mienne à jamais

Chapitres 30

Vladimir n'avait jamais ressenti un désir aussi puissant jusqu'à aujourd'hui, les lèvres de la jeune femme étaient tellement exquis.

Il avait tellement résisté à l'envie de l'embrasser qu'il n'en pouvait plus, l'a voir si proche de lui avait décuplé tout le désir qu'il avait enfouie en lui et avait anéanti tout ses efforts.

Depuis plusieurs minutes qu'il était entrain de l'embrasser et il n'arrivait pas à s'enlacer, ce qu'il ressentait pour la jeune femme étaient indescriptible et très fort. Il se détacher d'elle à contre cœur afin de permettre à la jeune femme de reprendre son souffle.

Elle avait baissée la tête sous l'effet de la honte, de son doigt il lui releva le menton et vit que ses lèvres étaient gonflés et tout rouge. Il s'en voulait énormément de ne pas avoir été doux avec elle.

Il serre davantage sa taille en l'a ramenant vers lui d'une t'elle manière qu'il pouvait entendre sa respiration.

-Ma belle ça va ?

Elle releva ses magnifiques yeux couleur noisettes dans les siens le visage tout rouge avant de lui répondre.

-Oui..., oui je vais bien.

Il l'a fixait droit dans les yeux afin de détecté si elle disait vrai ou pas, subitement il sentait que ses jambes tremblent et sans attendre il l'a porta dans ses bras jusqu'à leur table sous les protestation de la jeune femme.

-Vladimir dépose moi à terre, tout le monde nous regarde bon sang.

Sans l'écoute il l'a déposait sur son siège et en relevant la tête il vit effectivement que tout les regards étaient tournées vers eux.

-Je m'en fou de leur regard ma belle. Répondit t'il les mâchoires serrés.

Vladimir contourne la table pour venir s'installer dans son siège car il n'arrivait pas à déceler la moindre émotion dans les yeux de la jeune femme ce qui lui plaisait pas du tout.

-Juliette pour le baisé qu'on vient d'échanger, je...

-Ne parlons plus de ça s'il te plaît. Lui répondit t'elle en lui coupant la parole.

Stupéfait il ne comprenait pas le comportement de la jeune femme. Était t'elle en colère ? Avait t'elle aimé le baiser ? Se demanda t'il intérieurement.

-Je suis fatigué, pourrions nous partir s'il te plaît.

Il hochait de la tête pour lui dire oui, appelait le serveur afin de règle l'addition et ils rejoignaient la voiture direction l'hôtel.

Une fois à l'hôtel après une bref bonne nuit de la part de la jeune femme elle traçait directement vers sa chambre sous le regard toujours stupéfait du mafieux...

******

Une fois arrivé dans sa chambre Juliette appelait sa sœur de cœur qui était toujours là pour lui donner des bon conseil.

Allongé sous la couette bien au chaud Juliette n'arrêtait pas de ressasser le baisé qu'elle avait échangé avec Vladimir.

-Mais pourquoi t'es tu comporté ainsi avec lui ma puce.

À l'instant où il avait posé ses lèvres sur les siens elle avait ressentit une telle plénitude qu'elle ne voulait pas qu'il s'arrête.

En étant une débutante il ne lui avait pas laissé le temps de bien profiter de ses lèvres car elle voulait tellement prendre son temps pour l'embrasser.

-Je ne voulais pas qu'il me dise que ce baisé était juste une erreur et que je devais l'oublier. Répondit t'elle la voix cassé.

Elle ne voulait pas oublier ce baisé car elle savait que pour le mafieux c'était juste une erreur ce qui n'était pas le cas pour elle et elle s'était promis de chérir ce souvenir jusqu'à la fin de ses jour.

-Qu'as tu ressentis d'abord quand il t'a l'embrassé ? Demanda Arielle en l'a sortant de sa torpeur.

Ce qu'elle avait ressentit ? Assez de choses, goûter à ses lèvres étaient un pur bonheur, jamais elle n'aurait imaginé qu'embrasser un homme pouvait être si délectable.

Ayant d'habitude d'être embrassé de force par des hommes pervers, c'était la première fois qu'elle avait pris goût à un baisé et la toute première fois qu'elle avait souhaité que ce moment ne finisse jamais.

Quand il avait posé ses lèvres sur les siens elle avait été passé par différentes émotions, ressentit beaucoup de choses et en un claquement de doigts il avait effacé toutes les traces des nombreux hommes qui l'embrassait de force juste pour s'amuser où juste pour l'a blessés.

-Ça été un moment vraiment magique Arielle j'ai ressenti assez de choses, je ne voulait même plus que ce moment prenne fin. Répondit t'elle en fermant les yeux et en se remémorant encore la scène.

-Waouh ma puce est piqué. Dit Arielle sur un ton taquin.

Juliette ne savait pas si elle était piqué ou pas mais tout ce qu'elle savait était que Vladimir l'a faisait se sentir tout chose, elle se sentait désirée et avec juste son regard il lui procurait de délicieuses frissons.

-Je ne sais pas mais ce qui est sûr c'est que je suis irrémédiablement attiré par lui mais le problème maintenant est de savoir si je lui plaît autant qu'il me plaît ?

-Donc tu n'as rien remarqué de sa part un regard, une possessivité qui montrait que tu plaisait ? Lui demanda Arielle.

Juliette avait remarqué assez de choses chez le mafieux qui montait clairement qu'elle l'appartenait mais il avait été bien clair, il n'avait besoin de personne dans sa vie.

-Oui pleine de choses Arielle mais il a été catégorique sur le fait qu'il n'avait besoin de personne dans sa vie.

-Laisse ça ma chérie je suis sur qu'il a dit ça juste pour se protéger. Maintenant c'est à toi de le faire flancher. Dit Arielle sur un ton implacable.

Elle devrait le faire flancher mais comment ? Se demandait t'elle.

-Je comprends rien ma sœur explique moi bien s'il te plaît.

Elle émit un soupir à travers le téléphone avant de lui répondre.

-Prends le dessus Juliette provoque le, fait lui changer d'avis et utilisé tes atouts pour lui faire flancher.

-Arielle je ne suis qu'une débutante, je ne sais comment le faire flancher car je n'ai jamais eu de relation auparavant. Dit t'elle le cœur battant.

Sa sœur riait à gorge déployée avant de rétorquer.

-Ma chérie je sais que tu peux y arriver certes c'est vrai que tu es une débutante mais tout viendras naturellement ne t'inquiète pas. Tout ce que je te demande est de faire tout ton possible pour le rendre fou de toi avant votre retour.

À cette dernière phrase elle émit un sourire de bon cœur car sa sœur était vraiment irrécupérable.

-Ah Arielle j'essaierai de suivre tes conseils mais je ne te promets rien.

-N'essaie pas mais fait le, réussir ma puce je sais que tu en est capable et j'ai pleinement confiance en toi.

Arielle était tellement sûr d'elle quand elle disait ça alors qu'elle même n'était pas sur de ses aptitudes ni de ses atouts.

-Ok ma sœur je te laisse te reposer, salut Maria de ma part ainsi que ton cher mari.

-Je n'y manquerai pas ma belle et tiens moi au courant bisous.

Après l'appel Juliette pousse un grand soupir de soulagement car ça lui avait fait du bien d'avoir parlé avec Arielle.

Elle fermait les yeux et se vit encore une fois dans ses bras muscles entrain de dévore ses lèvres sauvagement et de manière possessive.

À force d'y penser elle ressentait des frissons et son bat ventre se contracté.

Elle se fit alors la promesse de le rendre fou d'elle et de le faire flancher comme l'avait dit Arielle car tout portait à croire que le mafieux en pince pour elle...