The Boss. Tome 2

Chapitre 23 :

Inconnu :

- Tout est en place mère.

- Parfait, continue de brassé de l'argent, tout est bientôt prêt, pendant ce temps continue de te rapprocher de Lya.

- Okay, mais à quoi ça sert ?

- Quand il perdra son entreprise il lui restera qu'elle, mais je veux qu'il ne lui reste plus rien, même pas sa jolie poupée blonde, alors il se retrouvera seul, plus seul que nous l'avons été, je veux réduire sa vie en néant.

- D'accord ... Lâche le jeune homme du regret dans la voix.

- Eh, tu me lâche pas hein ! On à commencé ensemble, on finira ensemble, je tombe, tu tombe !

- Oui mère.

- Bien.

Quelques mois plus tard :

Et voilà que le Lux est la boîte branché depuis quatre mois maintenant, presque le plus grand réseaux de trafique d'armes, de drogues : des plus douces aux plus dures, vente d'alcool, de femmes ... tout y passe. Les plus grandes organisations criminel y trouvent leur compte, et ni les flics, ni le F.B.I et le reste des poulets se rendent compte de ce qui ce passe là dedans, quand certains préfère fermés les yeux sur le trafiques d'autres sont mouillé dedans jusqu'au cou, alors ils ne vont quand mêle pas risquer leur job, pire leur vie.

Lya :

Je suis en train de me réveiller lorsque je sens le regard de Julian posé sur moi.

- Bonjour ..

- Bonjour beau gosse.

- Bien dormi ?

- Oui et toi ?

- Comme un loir.

- Dit moi, comme tu es en vacances ça te dis qu'on passe les vacances ensemble ?

- Hm oui mais toi tu as du boulot ? Lui demandais je.

- Je suis le patron, je fais ce que je veux !

- Hm c'est vrai, tu en as de la chance ! Et tu veux faire quoi ?

Julian se tourne vers sa table de chevet et sors quelque chose du tiroir et se retourne vers moi avec trois billets d'avions dans les mains.

- J'avais penser à un petit voyage en famille.

- AAANW ! Non c'est vrai ?! Où ça ?! M'exclamais je d'une voix enjouée.

- L'Italie ça te plaît ?

- Oh là là ! Bien sûr que oui !

- Okay, alors on part ce soir. Dit il s'approchant de moi et m'embrassant.

Je lui rend son baiser puis je nous glisse sous la couette, je me met à califourchon sur lui et embrasse tout son visage, son cou, son torse, toutes les parties de son corps où je peux avoir accès ...

Il se tord de plaisir pendant que je m'occupe de lui et son anatomie.

- Arrêtez de bouger monsieur Williams.

- Je crois que c'est impossible. Ralle-t-il.

Je souris de savoir que je peux lui faire autant de bien et continue ce que je fais avec ma bouche et ma langue jusqu'à ce qu'il jouisse enfin, après ça je remonte près de lui et l'embrasse et me blotti contre lui, ses bras entour mon corps nu comme un vers, nous restons là dix bonne minutes avant que je ne réalise que je n'ai qu'UNE journée pour préparer nos affaires.