Pourquoi? le labyrinthe

Sors!

PDV Minho:

Je me réveilla. Il avait la nouvelle de mon âge qui me regardait. Elle était assis sur une chaise. Elle avait les cheveux blond, des yeux bleus, et un corps mince. Bref le style d'une fille populaire à un collège. Elle devait m'arriver aux épaules.

- Putain de merde! Qu'est que tu fais là toi?! Demandai-je en criant.

- Je suis venue te voir dormir. Dit-elle. Tu est mignon quand tu dors.

Il a juste une personne qui a droit de dire que je suis mignon, et ses Lilia.

- Une personne a le droit de me dire que je suis mignon et ce n'est certainement pas toi. Dis-je.

Son regarda se remplissais de rage.
.
- Ces qui? Me demanda-t-elle.

Il avait de la rage dans sa voix.

- Lilia, ma petite amie. Ses la plus courageuse de nous tous. Dis-je.

- Comment sa se fait que je l'ai pas vu?

- Elle a été, rappeler par les créateurs. Elle l'a fait sans savoir dans quoi elle s'embarquait. Dis-je légèrement en pleurs.

- Et alors? Elle n'est pas là, alors j'ai le droit de te dire que tu est mignon. Dit-elle.

- Mais moi je te l'interdits. Comme je t'interdit de rentrer ici, ses mon coin de détente à moi et à Lilia. Et peut-être sa petite sœur.

- Elle a une petite sœur? Ces qui?

- Ta chef, Naomi. Dis-je.

- Cette garce? Dit-elle.

- CE N'EST PAS UNE GARCE!!! Criai-je.

Elle était terrifiée.

- D'accord, j'ai compris. Dit-elle terrifiée. Ses pas une garce.

- Sors! Dis-je.

- Quoi?

- Tu as très bien compris, sors.

- Non! attends je veux juste monter au septième ciel, si tu vois ce que je veut dire? Elle me dit ça avec un clin d'œil.

Je savais ce qu'elle voulait dire, mais il en était hors de question.

- Bah va jouer la pute ailleurs qu'ici. Compris?!

Elle me regarda.

- Quoi? Me demanda-t-elle.

- Tu as bien compris. Je ne veut pas coucher et encore moins baiser avec toi. Alors bebye. Dis-je.

Elle parta frustrée et claqua la porte de toute ses forces. Même si Lilia voulais que je fasse de nouvelle rencontre il était en hors de question.
Je voulais mettre une bonne gifle dans son visage. On cogna à la porte.

- Ouvre ces moi, Naomi.

Au début je pensais que c'était Lilia, car elles ont pratiquement la même voix. Je lui ouvris la porte.

- Quoi? Demandai-je bêtement.

- On est pas d'humeur aujourd'hui. Bref, j'ai vu la nouvelle partir en furie qu'est que t'as encore fait? Me demanda-t-elle.

- Elle t'a traiter de garce, alors je me suis énerver et je lui ai dit de partir. Avant d'être venue pour partir, bah elle m'a " Attends je veux monter aux septième ciel." Elle faisait référence à moi et elle. Alors je me suis énervé et je l'ai sortie d'ici. Dis-je.

Elle hocha la tête.

- Aussi j'ai trouver ça dans l'ancienne chambre à Lilia. Si ça peut bien te redonner sur courage à l'attendre. Me dit-elle en me tendant un coton ouaté de Lilia.

Je lui pris des bras et le renifla. Il sentai Lilia. En plus Lilia sens la fraise. Et j'aime les fraises. Tout comme j'aime Lilia. J'eus le sourire en le sentant, Naomi me souriait.

- Je vais le garder. Dis-je.

- J'ai vue ça. Me dit-elle amusée.
Allez viens manger ses près.

Je soupira.

- Je suis... commençai-je.

- Oui, tu est obligé de venir manger. Me coupa Naomi.

Je ria.

- Oui, maman. Dis-je amusée.

Elle me donna une taloche en arrière de la tête. Je lâcha un gémissement. Puis je déposa le coton ouaté à Lilia sur mon lit et parta rejoindre Naomi à la cafétéria. Arriver dans la cafétéria, tout le monde se tût. On en regardais tous. Je souria un peu et parta me chercher un sandwich. Je le pris et parta le manger dans mon arbre, lui de moi et Lilia. Sans qu'elle le sache j'ai gravé sur l'arbre " M+L=❤". Alors c'était rendu notre arbre. Je me souvena tout les moments passer avez elle ici. Puis après avoir terminer de manger mon sandwich, je parta me coucher dans ma cabane et qui aussi celle de Lilia et aussi Naomi. Je me jeta sur le lit comme une vielle crêpe. Je restais habiller, à cause de la nouvelle dans les parages. Je pris la coton ouaté à Lilia. Il le serra comme moi, comme si c'était un doudou. Je pouvais sentir son odeur à chaude respiration. C'était comme si elle était là, mais juste à cause de son chandail. Puis je m'endormis.