CHAPITRE NEUF

782 22 1
                                    

-lâche moi, crie-je en me débattant pour qu'il me lâche de son emprise

-écoute moi d'abord, dit-il en essayant de me garder prêt de lui

-j'ai compris, je suis une salope à tes yeux, juste un putain de projet, maintenant lâche moi, dis-je alors que je réussi à me défaire de son emprise

-je voulais pas dire ça

-mais tu l'as dit et tu l'as penser parce que t'es qu'une merde qui aime avoir le contrôle sur moi, Adelina fait ci, fais ça, je t'interdit ça, je t'interdit ci, l'imite-je en lui hurlant dessus

-baisse d'un ton avec moi, grogne t-il en serrant ses poings

-pourquoi? Parce que t'es le fameux Eros Cazano, mafieux de mes couilles, rigole-je de nerfs, j'en ai rien a foutre de se que tu es, t'as aucun putain de pouvoir sur moi, le menace-je en haussant la voix

-tu sais vraiment pas de quoi je suis capable ma petite Adelina, mh, menaça t-il avec un sourire froid

-montre de quoi t'es capable alors, porte tes fameux couilles parce que depuis le début tu me fais penser à ces hommes qui sont prêt à sucer pour tout avoir, le provoque-je

-bien alors je vais te montrer le vrai Eros, tu va commencer à enlever les habits que J'AI acheter et tu va dormir dehors, sur l'herbe, dit-il en aillant un visage dur

-bien, alors voilà tes habits, dis-je en commençant à me déshabiller, je lui jette à la figure mes habits et je m'en vais sans le regarder, je referme la porte derrière moi et me couche sur le hamac, c'est qu'une merde, j'aurais jamais dû être autant gentil avec lui, plus jamais il aura un sourire de ma part qu'il aille se faire foutre, je laisse cette colère se calmer pour laisser le sommeil me bercer, j'en ai vraiment besoin.

Je me réveille le lendemain matin avec un mal de tête, je me suis réveiller plusieurs fois la nuit, a cause des bruits que faisait les gardes en marchant, j'étais pas sereine alors j'ai dormi sur une oreille, je me lève et je me souvient que je suis en sous vêtement, il l'aura voulu, je fais glisser la baie vitrée et vois les quatre assis sur le canapé, ils écartent les yeux alors que là merde en question me lance un regard noir

-Bella, on peut savoir ce que tu fou presque à poile et dehors ?, me demande Enzo

-j'ai passer une merveilleuse nuit dehors, j'avais beaucoup de compagnie, dis-je en m'avançant pour aller à la cuisine

-ose même pas penser à manger ou boire dans cette maison, s'exclama sa voix qui me dégoûte

-bien, alors la salope va se faire de l'argent en baisant un de tes hommes dehors, dis-je en m'avançant vers la porte d'entrée

-tu oserais pas ?, me demanda t-il furieux

-et comment tu ose me traiter comme mon père l'a fait?, c'est toi qui devrait avoir honte dans cette histoire pas moi, dis-je en claquant la porte derrière moi, j'allais surtout pas me faire un homme pour de l'argent, j'espère que ça m'arrivera jamais

-rentre dedans, dit Enzo en ouvrant la porte

-laisse moi Enzo, dis-je en m'asseyant sous le porche

-putain reste pas comme ça devant eux, dit-il en me levant de ma place pour me ramener de nouveau dedans

-c'est pas comme si ils m'avaient pas vu hier soir, le préviens-je

-vient manger, je vais te faire un truc

-non je mangerais plus rien qui vient de lui, lui dis-je prête à tenir ma promesse

-Adelina, s'il te plaît arrête ça, souffle t-il désespéré

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant