CHAPITRE VINGT-TROIS

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Eros....

-vous y croyez vous?, on y est, on l'a, dit mon frère

-te réjoui pas trop, on doit encore le chopper, répond Lucia alors qu'elle regarde par le hublot

C'est bientôt fini mia rosa et on sera de nouveau réuni, oui tout bientôt

-l'équipe en Albanie sont arriver ?, demande-je à mon frère

-bientôt, ils vont les retrouver, répond mon frère

Encore quelque petite heures et à moi la victoire, je serais un homme libre, plus personne osera se mettre entre mon chemin, je ne laisserais plus personne non.

On atterrie après quelque minute et je rejoint directement mes hommes dans un hangar que mon ami qui gère la Turquie a bien voulue me prêter, après tout ce que j'ai fais pour lui, il me doit bien quelque service, comme garder un œil sur Mehmet, on s'équipe tous même si ils sont pas trop nombreux, une dizaine dans une villa au bord de la mer, il se met bien le petit vieux.

Je met en place un plan au plus vite, y'a plusieurs échappatoires et il s'en servira si on est pas concentrer, j'ai besoin de cette victoire, plus que tout.

On arrive à quelque mètre de la villa, où les lumières sont allumer, je fais passer une équipe par derrière alors qu'il courent à petit pas pour faire le moins de bruit possible, une autre équipe parte vers la plage par sécurité si il veut pas s'enfuir par la mer et mon équipe on avance petit à petit mais je lève ma tête sur l'es maison d'à coter en voyant d'autres homme habiller lourdement tout en noir

-patronne à vous, on les encercler, entend-je une voix

-parfait, répond cette voix, sa voix, alors que une silhouette se dessine devant moi, une putain de magnifiques silhouettes avec des formes parfaite, Adelina

-Miguel dit moi que c'est une putain de blague, murmure t-elle

-j'en savais rien, je te le jure mais c'est pas le moment, on doit y aller, répond mon pote qui me lance un regard gêner

-les gars préparer vous et mettez les barrages, dit-elle en chargeant son arme alors qu'elle rentre dans la villa, je vois plusieurs hommes sortir par le côté et on commence à tous tirer, plusieurs balle vole alors je décide de rentrer dedans envoyer un peu plus que prévu

-chopper le, cria t-elle en prenant une table comme protection

-oui patronne, réponde les hommes, dite moi que c'est une blague la?, mon dieu je l'ai juste devant moi, je charge mon arme et commence a viser chaque ennemi en ne laissant aucun vivant et le silence revient

-ça c'est ma femme, s'écria Sergio en regardant Adelina en pleine action

Sa femme ? Elle vise le dernier homme et sors de sa cachette

-je te promet que je divorce ce soir, répond t-elle en rangeant son arme dans son étui alors qu'on est là les quatre à les regarder

-détend toi, c'était juste pour son visa, le Mexique est compliquer, dit-il en voyant mon regard de mort, Miguel tu devrais peut être lui dire hein, souffle Sergio

-patronne, on le tient, annonce un homme par le talkie-walkie

-ramenez le, ordonne t-elle en lâchant le bouton de cet objet

-alors beau gosse ça va ?, rigola Miguel en voyant que je suis prêt à le tuer

-bon comme il porte pas ces couilles, on lui a envoyer un jet, elle est venu, fin de l'histoire, dit Maria

-Adelina, souffle Lucia alors qu'elle tourne sa tête ailleurs

-je veux partir, dit-elle en parler à mon ami

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant