CHAPITRE VINGT

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Je vois seulement une lumière au dessus de moi, le ciel, je me retrouve coincé dans un trou, le visage de mon père appairait au dessus de moi, ses lèvres bouge comme si il me parlais mais j'entends rien, je vois juste un homme près de lui avec une pèle entrain de m'enterrer, j'essaie de me débattre de toute mes forces mais je suis coincée, je hurle mais aucun son ne sors de ma bouche, je suis de nouveau prisonnière.

Je me réveille en sursaut dans le lit toute transpirante, le même rêve depuis une semaine, je me redresse du lit en manque d'air, j'ai besoin d'air au plus vite, je palpe la place à côté de moi, Eros n'est pas la, il m'a abandonné.

J'essaie de me frayer un chemin jusqu'à la porte mais je vois flou alors que je suffoque en manque d'air, j'arrive jusqu'au couloir mais je m'effondre sur la commode en faisant tomber le vase parterre, l'image de moi sous terre me revient et je me vois dedans, je commence à hurler pour que quelqu'un vienne m'aide, sortez moi de la.

Je me fais enveloppé par des bras que je reconnaîtrais entre mille puis son visage appairait en face de moi

-je suis là mia rosa, ça va aller, souffle t-il en me prenant dans ses bras

-t..tu...tu m'a abandonné, sanglote-je en me réfugiant dans son torse

-non mia rosa, jamais je le ferais, répond t-il en me soulevant dans ses bras, je passe mes jambes autour de sa taille et m'accroche à lui, tu veux aller voir les roses?, me demanda t-il pour que je pense à autre chose et ça marche parce que je hoche la tête.

Arriver devant mes roses je le lâche en me mettant à genoux pour regarder si elles vont bien, je les entretient bien, c'est le seul truc que je suis fière d'avoir fait, il me ramène mes outils et je me perd de le monde des roses pendant plusieurs heures, à regarde chaque pétale, chaque tige ou si y'a des mauvaise herbe qui les entoure et Eros à du temps libre pour lui parce que il sait que j'aurais jamais de crise d'angoisse en m'occupant de ce que je tient le plus dans ce monde

-xon m'a écrit, il est persuader qu'elle est morte mais la dernière fois qu'il l'a vu été à Tirana depuis il se cache et ne dit rien, entend-je Eros

-bah qu'il reste cacher, on le retrouvera, répond son frère, sinon comment elle va ?

-j'en sais rien, là elle est occuper avec ses roses, elle est tranquille pendant quelque heures mais après je devrais plus la lâcher, soupire t-il

-c'est beau qu'elle fasse encore confiance à un homme après tout ça, dit Enzo

-je ferais n'importe quoi pour que tout ça ne soit plus dans sa tête, souffle Eros

-envoie la loin pendant quelque temps pour qu'elle se repose, proposa Enzo, cette idée me déplaît pas

-t'es malade toi, elle pourra pas rester sans moi, répond Eros

-non c'est plutôt toi qui pourra pas rester sans elle, glousse Enzo

-ferme la, grogne t-il alors que j'entend leur pas s'approcher de moi

-coucou Bella, me salue Enzo en se baissant à mon niveau

-salut, murmure-je en coupant une mauvaise herbe

-ça te dirais de sortir avec moi aujourd'hui?, je me suis dis que une bonne glace te ferait plaisir, dit t-il

-si tu veux, souffle-je

-moi je veux bien mais toi?, me demandant-il

-oui je viens, souffle-je en me levant de ma place

-je t'attend ici va te préparer, dit-il excité

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant