CHAPITRE TRENTE-DEUX

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Eros

Je regarde quelque papier en lien avec Xon comme on sait allier après son départ et qu'il avait besoin de mon aide pour toute la merde que son père avait accumulé pendant ses années mais faut l'avouer ce petit m'impressionne beaucoup, en 1mois il a montrer de quoi il étais capable et plusieurs gang préféré pas lui faire chier, il est intelligent et sait ce qu'il veut et le plus important dans tout ça, il le fait avec respect et a mis à terme toute la merde que son père faisait pour être digne.

Ezio et Lucia sont parti quelque semaine, enfin moi je sais que c'est pour la demander en mariage mais elle, elle croit que c'est des vacances, je crois qu'ils sont aller en Asie du Sud.

Et mon frère est en Mexique, je vois qu'il est vraiment heureux depuis 1 mois avec son trou de balle qui le serre de mec mais je pouvais pas espérer mieux pour lui et oui je l'ai menacer par téléphone au moins trois fois qu'il a pas intérêt à lui faire du mal, tant pis il aura un beau frère diabolique.

Et ma petit femme est....je me retourne sur moi même et pose les yeux sur le jardin ou je la vois poser près de ses roses, casque sur les oreilles avec un livre alors qu'elle porte une jolie robe blanche, elle se redresse et pioche quelque chocolat dans un paquet sans lâcher le livre de ses yeux et elle les écarte en regardant autour d'elle avant de les reposer dessus.

J'ai eu sa mère au téléphone hier et toute sa famille veut débarquer d'Albanie et Sicile, pourquoi elle a autant de famille?, j'avais cru qu'elle était juste italienne alors rien à voir, le grand père de Adelina était albanais et sa grand mère italienne, bref y'a une dizaine de personne qui veulent débarquer dans quelque jours, je voulais inventer comme quoi j'ai une merde et que c'était non mais ça se voyait que ça lui tenais à coeur et c'est comme ça que je me suis retrouver à louer un deuxième jet priver, un en Sicile et l'autre à Tirana.

Je me redresse et descend directement dans le jardin en m'asseyant près d'elle, elle referme son bouquin et enlève son casque avant de me sourire

-t'as fini de travailler?, me demanda t-elle

-oui, je suis tout à toi, répond-je

-pas pour longtemps, isabella va bientôt arriver malheureusement, grimaça t-elle

-tu l'aime pas? Elle fait du bon boulot, dis-je

-mouais mais j'aime pas comment elle se comporte avec toi, souffle t-elle

-t'es jalouse ?, plaisante-je

-bah oui, avoue t-elle, « hihihihi que vous êtes drôle M.Cazano », imita t-elle notre organisatrice de mariage

-oui et tu peux me dire qui je vais marier, qui j'aime et qui m'a pour elle seule ?, lui demande-je

-moi, répond t-elle, mais quand même elle me pisse en pleine gueule en faisant exprès de te draguer devant moi

-tu sais que je lui parle à peine hein ?, tu gère tout, dis-je

-ouais ça aussi c'est le problème, je lui dit quoi faire mais elle te demande que à toi alors que tu sais même pas ce que c'est la différence entre un mouchoir en coton ou en sois, soupire t-elle alors que je lui lance un regard, bon t'as compris ce que je voulais dire

-ne te met pas dans cette état, je t'ai prouver hier soir à qui j'étais, souffle-je

-c'est vrai, souria t-elle, on recommence quand tu veux

-je peux très bien dire au homme de partir et tu me suce juste la, dis-je alors qu'elle me donne un coup sur le torse

-t'es pas possible, soupire t-elle en levant les yeux au ciel,

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant