CHAPITRE TRENTRE

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Eros

Je la vois monter à toute vitesse les escaliers la tête baisser alors que mon foutu coeur se brise en mille morceaux en voyant notre soirée foirer

-t'es contente ?, demande-je a ma mère

-j..je. Mon dieu je suis vraiment désoler, murmure t-elle

-qu'est-ce que ça peut te foutre qu'on fasse des gosses demain ou dans 10ans maman ?, crie-je, c'est la femme à qui? La mienne ou la vôtre ? Hurle-je

-Eros j'ai cru que tu

-que quoi? Demande-je en la coupant, que j'étais un putain de monstre qui l'interdisais de tomber enceinte ou une merde comme ça ?

-j'ai jamais dit ça, répond t-elle

-si tu la dis et tu le pense, vous le pensez tous, je reste le méchant et froid Eros comme d'habitude, je n'ai pas de coeur, pas d'âme bah détrompe toi maman, pour une fois de ma vie je suis moi même avec une personne et non je la menace pas, crie-je alors qu'elle baisse la tête

-je suis désoler Eros

-Desoler de quoi ? Qu'elle a dû vous dire même son petit secret ? Vous voulez aussi savoir dans quel positions elle dors ou quand elle se lave ? Demande-je furieux

-je voulais pas, répond t-elle

-ouais bah t'as réussi ton coup, bordel c'est drôle j'ai aucun secret avec ma femme, rigole-je froidement, tout le monde est au courant alors qu'elle l'avais même pas encore avaler la nouvelle, bravo maman, vraiment, dit moi si tu es aussi intéressé par son sicle, je t'enverrais un message, dis-je froidement

-Eros parle pas comme ça à notre mère, me dit Enzo

-petite question, vous allez faire comment devant elle maintenant?, demande-je

-je suis sincèrement désoler Eros, je lui en parlerais pas, répond ma mère

-bien sur, c'est tellement facile pour toi maman, toujours facile, lui dis-je

-Eros, m'appela Adrianna, y'a toujours l'adoption et une femme porteuse

-elle voulais le porter, dis-je, et je voulais le voir grandir dans ma femme et pas chez une autre femme, répond-je, par contre merci infiniment d'avoir gâcher le jour de ma demande, c'est drôle pour une fois c'est pas moi, rigole-je froidement,

-je vais aller m'excuser, dit ma mère

-excusez de quoi ? Que tu m'ai traiter comme une merde jusqu'à qu'elle avoue avant de s'excuser, putain la confiance mère fils, je rêvais pas de plus, ironise-je

-elle en ai sur ?, me demanda son frère

-bordel elle sait faite violer à plusieurs reprise en la faisant bourré de pilules, elle a été mal nourri, putain elle a eu les pires merde que une personne a pu subir, hurle-je

-arrête de crier Eros, ça va nous mener à nul part, osa dire ma mère

-je passe encore pour le méchant c'est ça ? Veuillez m'excuser pour mon langage, ironise-je, vraiment allez tous vous faire foutre, dis-je en les laissant seuls.

J'ouvre la porte en la refermant derrière moi et je vois que les vêtements offert son parterre, je m'avance jusqu'au dressing où je la vois en pleure en fouillant dans chaque tiroir

-putain, cria t-elle, elle claque le tiroir et ouvre les miennes en ressortant une paire de training qui les font flotter dedans

-mia rosa, souffle-je

-non Eros, je t'en supplie non, pleure t-elle, j'ai vu leur regard, de nos mères, elles étaient tellement dégoûter, c'est pour ça que je voulais rien dire mais là façon qu'elle te traitais je pouvais pas, elle t'accusais et je pouvais pas laissé passer ça, secoue t-elle la tête, je la regarde en sachant pas quoi lui dire, c'est la première fois que je sais pas résoudre un problème

Mia RosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant